Histoire 2 : Une journée « bien rempli » chez Manu

Story by lolofr on SoFurry

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#2 of Les Aventures de Loïc


Note : cette histoire fait suite à l'histoire que j'ai publiée ici ainsi que sur scatboi.fr :

  • Histoire 1 : L'initiation de Loïc (7 novembre 2012)

Elle est purement fictionnelle (hélas)

Merci pour vos commentaires, suggestions, encouragements, autre... ! Je suis très ouvert à vos propositions et critiques ; et je serais très heureux de lire vos fantasmes les plus fous. Contactez-moi à mon adresse : [email protected]

Et puis, même si je ne suis pas prêt à endurer tout ce que je fais subir à mon personnage Loïc, ni à prendre de risque par rapport aux MST, sachez qu'aujourd'hui, en janvier 2013, je n'ai hélas toujours pas eu la chance de me rouler dans la pisse et la merde avec un garçon attiré par les mêmes fantasmes... mais je ne désespère pas ;-)

Loïc

Chapitre 0 : Prologue

Mots clés : plan webcam, étalage

Depuis ma première expérience scat avec Manu, lorsqu'il était venu à la maison pour s'occuper de l'entretien de ma chaudière, ma soif de le revoir et de renouveler une telle expérience, n'a cessé d'augmenter. Une à deux fois par jour, je me branle dans les chiottes au boulot en pensant à lui. Le soir, quand Bruno (mon mari) me fourre sa bite dans le cul, et m'envoie son foutre au fond de mes entrailles, j'attends en vain qu'il me remplisse le cul de sa pisse comme Manu me l'avait fait : c'était tellement bon !

Ces derniers jours, chaque matin je pars un peu plus tard au travail... En effet, je reste 30 à 60min après le départ de Bruno, pour travailler sur mon PC au montage vidéo du film que j'avais enregistré ce jour-là : mon solo dans la baignoire, le matin avant que Manu arrive, puis les magnifiques moments que nous avons passés ensemble l'après-midi. Le montage prend beaucoup de temps, d'une part car je ne peux travailler dessus que lorsque je suis seul et Bruno au travail. Mais surtout car mon excitation me rend peu efficace. Souvent, je suis assis nu sur ma chaise, un petit plug dans le cul, et je visionne les scènes, recadrant les différents plans, zoomant ici et là, suivant les scènes. Par exemple, hier encore, je travaillais sur le montage de mon solo du matin. Tandis que ma main gauche astiquait ma bite fièrement dressée, avec ma main droite je manipulais la souris, pour retoucher la scène : ici, je cadrais sur ma main écrasant ma merde sur le torse ; là, zoom sur mon trou du cul poussant un nouvel étron ; là, je programmais un traveling partant de ma bite envoyant de la pisse jusqu'à ma bouche grande ouverte pour la recevoir... C'était la 2èmefois que je retouchais ce montage, et je ne pus m'empêcher de jouir encore une fois sur le bureau ! Je léchais le sperme parsemant de blanc mon vieux sous-main en cuir, avant de reprendre le montage... Il m'a fallu 6h en tout pour monter le film de mon solo, mais trois fois plus pour monter celui de notre cession avec Manu... Et je n'ai pas encore complétement fini, mais presque.

Depuis sa venue, nous avons échangé plusieurs fois, que ce soit par téléphone, ou par MSN. Un matin, alors qu'il ne travaillait pas, il m'a contacté en me disant de me connecter sur MSN, avec la webcam, dès que j'étais seul. J'ai accepté, même si je ne pouvais pas me libérer longtemps, devant être au travail à 9h au plus tard. Ainsi, dès que Bruno était parti, je me connectai donc sur MSN, et l'appelai. J'étais nu devant mon ordi, un plug dans le fion, comme convenu. A peine 10 secondes plus tard, je vis mon Manu, nu aussi, à genoux dans sa douche, en train de régler l'écran de son portable pour que le cadrage soit adapté.

« Coucou mon cochon » me dit-il tout en se redressant et s'asseyant contre le mur de sa douche. Sa bite était gonflée à bloc, un cockring la rendant encore plus grosse et longue que dans mes souvenirs. A cette vue, ma queue - qui était déjà raide d'excitation - se mit à lâcher quelques gouttes de pré-semence...

« Bonjour mon beau » lui répondis-je.

« Je sais que tu n'as pas beaucoup de temps... alors trêve de bavardage, attrape ta queue et mate le spectacle »

Et joignant le geste à la parole, Manu attrapa sa bite alors qu'un gros jet de pisse s'en échappait. Il l'orienta vers sa bouche et but goulument ce précieux liquide jaune et fumant. Pendant ce temps, il amena son autre main sous ses fesses, écarta et souleva ses jambes, et poussa un magnifique étron dans sa paume. Une fois qu'il eut fini de pisser, il se redressa et s'approcha de la webcam, pour me montrer sa merde de plus près, avant de mordre dedans et d'en prendre un morceau en bouche. Je me branlais énergiquement en le voyant écraser le reste de sa merde sur son visage, laissant de grosses trainées sur sa joue gauche, puis dans son cou, joue droite, front, nez. Il retourna s'assoir, puis poussa une nouvelle crotte, qu'il écrasa sur sa belle queue et utilisa pour se branler. Je ne pus résister davantage, me mis debout devant ma propre webcam, et me branla cette fois-ci furieusement.

« Vas-y Loïc, branle-toi et jouis en me regardant me recouvrir de merde » me dit-il en étalant sa merde sur son torse. C'en était trop, je crachai de longs jets de sperme dans la paume de ma main gauche, tout tremblant d'excitation. Alors que Manu enveloppait sa queue d'un gros paquet de merde qu'il remuait de haut en bas avec ses deux mains, jusqu'à jouir à grosses gouttes sur son torse, je léchais mon jus dans ma main gauche.

« Ouah, rapide, mais trop bon ! Vivement qu'on puisse remettre ça, mais ensemble cette fois » lui dis-je, essoufflé.

« Eh bien, est-ce que tu peux te libérer mardi ? Pas demain, mais le suivant ? J'aurai ma journée ! »

« Mardi en huit ? A priori oui...Je vais te confirmer ça dans la matinée ! Ouah, j'ai trop hâte ! »

« Par contre... » repris Manu, « ... tu vas avoir certaines règles à respecter ! Cette fois, j'ai vraiment envie de trouver ton cul bien plein avant d'y planter ma langue, mes doigts, ou ma queue... Il va falloir donc que tu travailles pour te retenir de chier le plus longtemps possible, tout en mangeant beaucoup pour nous faire une bonne merde ! Dès aujourd'hui, tu vas manger copieusement à tous les repas. Et tu vas m'envoyer par SMS toutes les heures auxquelles tu vas aux chiottes. Aujourd'hui, tu dois déjà facilement tenir 12 à 15h...ton objectif est de rajouter chaque jour plus d'1h d'espace entre 2 vidanges, jusqu'à mardi ! »

« OK... ça ne va pas être facile, mais je vais tenter... J'ai moi aussi très envie de sentir ta queue fouiller ma merde au fond de mon cul »

« Bien sûr, idem pour la pisse »

« Euh... OK, même si je sais déjà que ça va être très dur : j'ai beaucoup de mal à me retenir habituellement »

« Eh bien au pire tu pisseras dans ton froc, mais je ne veux pas que tu ailles aux chiottes au moins 24h avant de venir me voir. »

« Oui, maître ! » dis-je en rigolant

« J'aime quand tu m'appelles comme ça ! Enfin, dernier défi : ne plus te branler jusqu'à mardi »

« QUUUUOIIII ? Mais je ne tiendrai jamais !! Je me branle 2 fois par jour en ce moment, et à l'idée de passer une journée ensemble, mon excitation ne va pas baisser, bien au contraire !!! »

« Raison de plus ! Je veux te trouver plein à ras bord ! Tu n'en seras que plus excité, et plus excitant ! Bon, maintenant file travailler... Moi, je vais continuer à jouer un peu : j'ai encore pas mal de merde dans le cul... Bonne journée !»

Je sens que la semaine va être bien longue !!!

Chapitre 1 : 05h55 - 10h30

Mots clés : sodo, piss, scat, Bareback, étalage

8 jours après, mardi matin...

5h55, le réveil sonne. Mais je ne dors pas, depuis 2h je tourne dans le lit, la queue douloureusement raide, la tête pleine d'images de corps recouverts de merde... A côté de moi, Bruno se réveille et s'étire. Je lui fais une petite bise et me lève pour aller préparer le petit déjeuner. Bien sûr, comme chaque matin depuis 3 - 4 jours, j'ai une énorme envie de pisser... mais il faut que je tienne ! Une fois les biscottes, le bol de café au lait et le verre de jus de fruit engloutis, je file à la salle de bain. Alors qu'habituellement, je prends mon temps pour me préparer le matin et laisse Bruno partir à son travail avant moi, ce matin c'est différent : je prétexte une réunion chez un fournisseur (ce qui entre nous n'est pas totalement faux :tout dépend ce qu'on entend par « fournisseur » J) pour passer en premier dans la salle de bain, et me préparer en express. Un petit brossage de dent, je ne me rase pas (Manu ne m'en voudra pas !). Et me contente d'une douche rapide (à quoi bon gaspiller du savon, vu ce qui m'attend aujourd'hui !). Je laisse la place à Bruno, et file m'habiller. Pour être plus crédible par rapport à mon alibi, je mets un costard et la cravate (ce que je ne fais que pour de grosses réunions) et prépare ma sacoche. Dedans, je glisse discrètement le film - enfin terminé ! - de mon dernier solo scat et de ma rencontre avec Manu ! Lorsque je suis prêt à partir, Bruno est assis sur le bord de la baignoire, en train de s'essuyer après sa douche.

« Oh mais tu t'es fait tout beau ! » me dit-il

« Et oui... il faut bien qu'il serve un peu de temps en temps, ce costume ! »

Il m'embrasse sur les lèvres, et dit « Eh bien, passe une bonne journée, et bonne réunion ! Bon courage ! »

« Merci ! Ça va sans doute être très chiant... mais bon ! Allez, j'y vais ! Ne m'attend pas de bonne heure ce soir ! Passe une bonne journée toi aussi ! »

Et je pars prendre le métro, direction Paris centre.

Debout, tassés les uns contre les autres, le trajet en métro me semble bien long, tellement j'ai la vessie pleine. Côté cul, ça va encore : même si j'ai bien envie de chier, ce n'est pas aussi urgent et douloureux que l'envie de pisser. Et heureusement que j'ai mis un slip étroit, car sinon je n'aurais jamais pu cacher mon érection ! Même comme ça, je garde ma sacoche devant moi pour masquer autant que possible la bosse qui déforme légèrement mon futal de costard.

J'arrive enfin au bon arrêt de métro, et sors mon Smartphone pour finir de trouver la rue de Manu. Dix minutes plus tard, je suis à sa porte, et sonne à l'interphone. Il est presque 7h30. Je sautille sur place tellement mon envie de pisser devient urgente !

« Oui ? »

« C'est Loïc ! »

« Alors, depuis combien d'heure n'as-tu pas pissé ? »

« Eh bien, 25h environ... mais je ne pense pas pouvoir tenir une heure de plus !»

« Et depuis combien d'heure n'as-tu pas chié ? »

« Ca fait 2 jours »

« 2 jours ? Pas mal du tout pour un début ! ... Et la dernière fois que tu t'es branlé ? »

« Je ... » mais je m'interromps, une mamie passant tout près de moi dans la rue... Une fois qu'elle s'est éloignée, je reprends :

« Je me suis retenu depuis ton coup de fil la semaine dernière... du coup, je sens que je vais exploser dès qu'une main touchera ma bite ! »

« Bon, tu as tenu tes engagements, tu peux monter. 3ème étage, à droite »

Aussitôt, j'entends le clic signalant le déverrouillage de la porte, et je la pousse. Visiblement, pas d'ascenseur : c'est donc avec une certaine excitation que je monte les escaliers, sautant une marche sur deux. Arrivé au 3ème étage, je vois la porte de droite entre-ouverte. Je la pousse timidement, et aperçois Manu qui m'attend derrière la porte, complétement à poil, la bite fièrement dressée, énorme et longue. Alors que mon regard balaye de haut en bas son corps bien proportionné, ni trop maigre, ni trop gras, modérément musclé, poilu mais soigneusement entretenu, son visage souriant, avec sa barbe de 3 jours qui lui va si bien, ses cheveux courts, ses yeux bruns, il s'approche de moi, et ferme la porte derrière moi.

« Eh bé, tu t'es super bien sapé pour venir me voir ! Ouah, tu es super bandant avec la cravate » dit-il en attrapant celle-ci et en me tirant vers lui, ses lèvres s'approchant des miennes... Je sens sa bite raide contre la mienne, qui souffre à l'étroit dans mon slip.

« Suis moi, je vais te faire visiter mon palace de 45m². Tu es là dans la pièce principale, qui fait cuisine et salon... » La pièce était assez confortable, moderne, impeccablement rangée, avec un clic-clac contre un mur, la TV écran plat en face, entre deux portes fenêtres donnant sur un petit balcon. A gauche, derrière un retour qui fait aussi office de bar ou de table à manger, se trouve un petit coin cuisine : un évier, un frigo congélateur, un four ainsi qu'un micro-onde, et quelques étagères avec vaisselle et conserves. A droite, un petit couloir menait vers trois portes. Manu tirait ma cravate pour m'amener dans ce couloir et poursuivre la visite

« Ici, les toilettes, mais je doute qu'on en ait besoin aujourd'hui. Ici, la salle de bain ». Bien que très petite, elle a beaucoup de charme : d'un côté, une colonne avec lavabo et placards dessous et dessus, en bois exotique ; et de l'autre côté de la pièce, sans aucun rideau ni vitre, une douche à l'italienne avec une belle mosaïque de galets au sol, et un enfoncement dans le mur carrelé où s'étalent différents flacons et tubes de produits divers. Mais je ne reconnais pas la douche où j'ai vu Manu via MSN la semaine dernière...

« En fait » m'explique-t-il après que je lui ai fait la remarque « je me suis fait installer une autre petite douche dans ma chambre. Viens, je vais te montrer »

Et toujours en me tirant par ma cravate, comme on tire un chien avec une laisse, il me fait entrer dans la dernière pièce de l'appartement. En fait, la pièce est quasiment aussi grande que le salon avec son coin cuisine ! Mais ce qui me laisse bouche-bée, c'est ce qu'elle contient. Toute carrelée en noir au sol, les murs carrelés également, soit en gris clair soit en beige ; une fenêtre éclaire la pièce de façon feutrée, grâce au voile clair placé devant. Plusieurs bougies sont allumées ici et là. Dans un coin de la chambre, la douche en question, à l'italienne, complétement ouverte elle aussi : juste un grand siphon au croisement des pentes pour évacuer l'eau (et le reste...). Le lit, dont la tête est contre le mur, n'a ni couverture ni couette, juste un drap blanc déposé sur un drap housse, blanc lui aussi. En face du lit, un grand écran plat est fixé au mur, relié à un PC portable posé sur un bureau en face du lit. Il diffuse un film porno, où un jeune minet est en train de se faire pisser dessus par un beau brun, tout en se faisant ramoner le cul par un troisième... hum, tout un programme ! A côté du bureau, il y a un frigo-congélateur ainsi qu'un micro-onde. Sur le bureau, une cafetière à capsules. Et sous l'écran, des étagères avec biscuits et brioches, ainsi qu'une sorte d'armoire métallique, ou de mini-frigo, je ne sais pas trop, d'un mètre de haut environ. Mon regard revient sur l'écran, où les jeunes s'excitent et poussent des râles de plaisir.

Je détourne mon regard de l'écran pour m'attarder sur l'accessoire qui m'avait frappé en entrant, et que je n'avais vu jusque-là que dans les films : un sling. Suspendu au plafond par quatre grosses chaines, un morceau de cuir noir brille et se reflète dans un miroir au plafond.

« Ouah, tu as un sling chez toi ! Je n'ai jamais essayé, mais je suis sûr que je vais aimer »

« Ce sera pour tout à l'heure, mon mignon... Mais pour l'instant, j'ai envie de te mater un peu. Tu m'excites trop, dans ce costard ! Attend, j'attrape mon appareil photo. »

« Si tu veux... mais ne soit pas trop long, je ne suis pas sûr de pouvoir me retenir encore longtemps »

« Là, regarde-moi et prend un air sérieux » Clic « Maintenant, mets-toi la main sur le paquet et avec l'autre, remonte le nud de ta cravate ! » Clic « Enlève ta veste et porte la par-dessus ton épaule » Clic « Puis ouvre ta braguette, et sors ta queue et tes boules par-dessus ton slip. » Les choses deviennent sérieuses. Une fois ma braguette ouverte, je libère ma queue qui n'attendait que ça, et délicatement, fais passer mes boules par-dessus l'élastique du slip. Je me touche le moins possible la bite, sachant qu'avec l'excitation, sans parler du fait que je n'ai pas joui depuis 8 jours, je pourrais exploser très facilement... Mais en fait, le contact avec l'air me donne surtout une soudaine envie de pisser que je peine à retenir

« Manu, je sens que ... » mais trop tard, l'urine monte le long de ma verge dressée, et j'envoie un long jet de pisse aux pieds de Manu, qui alors se met à me bombarder de photos, avant de finalement poser son appareil et se mettre à genoux, dans la flaque qui grandit sur le carrelage, et attraper ma queue qui continue à déverser des litres de pisse. Il s'arrose un peu la tête, avant de poser ses lèvres sur mon gland et de se mettre à boire au robinet. Je continue alors à me soulager dans la bouche de Manu ; il me regarde droit dans les yeux, en bas de ma cravate, la glotte qui monte et descend rapidement alors qu'il boit toutes mes réserves.

Après m'avoir vidé, Manu se redresse et m'embrasse avec passion. Je goute à ma pisse par la même occasion.

« Ça va mieux ? On ferait mieux de finir d'enlever ton costard, avant qu'il ne soit complétement trempé » et joignant le geste à la parole, il commence à déboutonner ma chemise. Mais il s'arrête et me demande de continuer, alors qu'il reprend son appareil photo.

Manu continue ainsi de me dicter mon strip-tease, tout doucement, devant l'objectif, jusqu'à ce qu'il ne me reste plus ma cravate. Après une dernière photo, il me dit

« Ça te dirait, un vrai collier, plutôt que cette simili laisse de jeune cadre dynamique ? » Il part alors ouvrir un tiroir de sa commode, qui est rempli de sex-toys divers et variés. Il sort un collier de cuir avec des clous, et revient vers moi. Il m'enlève ensuite ma cravate, et me met le collier au cou. Il me demande de me mettre à quatre pattes sur le lit, tandis qu'il ramasse toutes mes affaires pour les mettre à l'abri dans un coin de la pièce. Je m'exécute, un peu honteux de me laisser dominer de la sorte ; mais aussi et surtout très excité. Je suis surpris par la chaleur qui se dégage du lit, on dirait qu'un couple vient juste de baiser dedans tellement il est chaud, mais pourtant les draps sont propres et repassés !

« Alors, ma petite chienne en chaleur ! Tu es bien, là, à quatre pattes sur mon lit ! Que dis-tu de mon nouveau matelas chauffant ? Pas mal, hein ? Ça maintient bien excité, c'est parfait pour une chienne comme toi ! Et en plus, ça maintient la pisse et la merde à température : tu verras, c'est royal. Bon, prêt à te faire défoncer cul plein, cette fois ?»

« Il me tarde d'essayer ça, et de sentir ta grosse queue pousser ma merde au fond de mon cul »

Manu éclate de rire : « Attend un peu avant de dire ça, on en reparlera. Pour l'instant, suce-moi un peu » Et monté à genoux sur le lit, il me présente sa bite à hauteur de mon visage. Etant à quatre pattes, difficile de m'aider d'une main : c'est donc uniquement avec mes lèvres que j'attrape son délicieux gland en bouche et que je commence à le pomper. Manu m'attrape alors la tête et accentue les mouvements, poussant sa queue profondément dans ma gorge, manquant de peu, à plusieurs reprises, de me faire vomir. Après deux ou trois minutes, il retire ses mains et recule, pour me pisser sur la tronche, mouiller mes cheveux, et revenir à ma bouche pour me faire un peu boire de sa pisse.

« C'est tout pour l'instant, gourmand. Gardons-en un peu pour ton cul ! Tiens, tourne toi que je m'en occupe, justement ». Toujours à quatre pattes, je me retourne et lui présente mon cul, cambrant le dos pour bien faire ressortir mes fesses rondes et fermes.

Manu vient alors me lécher la rondelle : je sens son haleine souffler sur mes lèvres de cul bien mouillées, avant de sentir sa langue entre mes fesses. Il pousse sa langue contre mon anus, explorant le plus profondément possible. J'ondule du cul de plaisir. Mais après quelques minutes, Manu retire sa langue, et vient appuyer son index contre ma rondelle qui s'ouvre à lui. Il pousse, et très vite rencontre un étron qui l'attend au chaud

« Oh oui, tu es bien plein ma salope » Il retire son doigt et en rentre deux. En poussant, il pousse ma merde. Je suis tellement plein, que l'impulsion remonte asse loin, et appuie sur ma prostate, sur ma vessie. C'est un sentiment mêlé de douleur et de plaisir qui me fait tressaillir.

« Hmmm, tu aimes ça, hein ? Sens moi ça !» et il ressort ses doigts, avec un peu de merde au bout. Il vient les essuyer sur mon nez, avant de les replonger dans mon cul.

« Ta merde a l'air très ferme. Je préfère te prévenir, ça ne va pas forcément être une partie de plaisir tout de suite ; tu veux quand même continuer ? »

« Oh oui, depuis le temps que je rêve de sentir une grosse queue pousser ma merde dans le cul ! »

« Hmmm, on va voir ça » Manu ne souriait pas, je sens qu'il y a quelque chose qui le tracasse.

Il ajoute un 3èmedoigt dans l'entrée de mon cul et fait quelques allers-retours, de plus en plus rapides. J'essaye de me détendre, mais j'ai du mal. D'une part parce que c'est un peu douloureux, en tout cas plus que ce à quoi je m'attendais. Et aussi parce que j'ai peur que si je me détends, je vais me mettre à chier tout ce que j'ai dans le cul, alors que je veux au contraire tout garder pour savoir ce que ça fait de se faire mettre cul plein.

Manu retire ses doigts ; il essuie la merde qui traine au bout, sur sa queue, l'étale bien en se masturbant légèrement. Puis il présente son gland sur ma rondelle et commence à pousser... OUUUILLLE, rien à voir avec la douceur et ma progressivité de ses doigts, ni même avec la sensation que je peux avoir quand je fais mes plans solo dans ma baignoire avec mon gode favori. NON, là ça fait vraiment mal, jamais il va pouvoir rentrer, il n'y a plus de place pour sa grosse pine ! Manu a du comprendre qu'il me faisait mal car il s'arrête... mais en fait non, sa pause ne dure que quelques secondes, et au contraire il pousse encore plus fort et plus vite !

« Aïe, arrête Manu, Aïe, non, tu me fais mal » et je tente de ralentir sa progression en avançant le bassin, et en le repoussant d'une main... mais tout ce que ça provoque, c'est que je perds l'équilibre et que mes épaules tombent sur le lit. Manu m'attrape alors plus fermement à la taille et me remonte.

« Allez, fais pas ta chochotte : cette sodo cul plein, tu l'as rêvée, tu l'as réclamée, alors assume » dit-il en m'enfonçant sa pine d'un coup au fond du cul. Je hurle de douleur, et une larme me coule dans le coin de l'il. « Oh, c'est bon, toute cette pression sur ma queue, oh oui, j'aime ça ! » chante Manu.

Il ressort un peu sa pine et la rentre aussitôt à fond. Nouveau cri de ma part : ça fait vraiment mal ! Au passage, un peu de ma merde est sortie : Manu la ramasse et l'étale entre mes fesses. Il sort à nouveau sa pine, un peu plus, et ramasse encore plus de merde pour me l'étaler sur les fesses et le bas du dos.

« Vas-y, pousse un peu, tu vas voir tu vas finir par t'y faire et apprécier » me dit-il, en commençant un mouvement de va-et-vient de plus en plus ample, tandis que je mords le drap pour ne pas crier. Pour l'instant, on ne peut pas dire que je prends du plaisir à cette sodo, bien au contraire. Tout ce que j'aurais pu lire dans les histoires scat, ne serait que des conneries ? Mais Manu, lui, a l'air de prendre un plaisir fou, alors je ravale ma fierté et le laisse profiter de moi. J'essaye de me détendre, et sur ses conseils, essaye de pousser légèrement ma merde vers l'extérieur, en même temps que lui cherche à la pousser vers l'intérieur... qui va gagner ?

« Oh oui, oh tu es tellement plein » dit-il en accélérant le rythme. « Il y a de plus en plus de merde qui sort de ton cul ! Tiens j'en ramasse un peu... » il s'arrête, sa pine au fond de moi, et racle toute la merde qui s'accumule entre mon cul et ses bourses. Il en a une pleine poignée, qu'il vient écraser et étaler sur mon visage. Et il reprend son mouvement. Peut-être est-ce parce que je commence à m'habituer, à me détendre... ou alors parce que mon cul s'est un peu vidé (mais si peu...)... ou alors parce que avec les mouvements de va-et-vient de la bite de Manu, ma merde commende à ramollir et à mieux lubrifier la paroi de mon trou... toujours est-il que la douleur s'estompe petit-à-petit.

« Mmmm ! Prends ma pine, salope ! Je vais aller chercher ta merde au plus profond de toi et te nettoyer le fion ! » Il accélère le mouvement, et je commence à relever la tête. Je ne suis pas le seul, d'ailleurs : ma queue aussi redresse la tête, elle qui s'était tout recroquevillée à la première pénétration. Manu s'amuse désormais à sortir complétement sa queue, suivie d'une bonne dose de merde, qu'il repousse aussitôt dans mon cul avec sa pine. Là, je commence vraiment à prendre plaisir, et je reconnais que c'est bien plus intense qu'une simple sodo. Et la grosseur, la chaleur de la bite de Manu n'a rien à voir avec mon gode chéri qui me sert de partenaire dans ma baignoire ! Sans parler de l'imprévisibilité des mouvements de Manu, qui alterne majestueusement entre des petits mouvements rapides la bite bien au fond de mon cul, et des mouvements très amples et plus lents. Ou encore, quand il décule complétement pour me la renfoncer d'un coup sec. Régulièrement, en regardant entre mes jambes, je vois de la merde tomber sur le lit. Manu la ramasse de temps en temps, et me l'étale sur les hanches, sur le dos. J'aimerais tellement me branler en même temps, mais ma position ne me le permet pas.

Au bout d'un temps incalculable (10 minutes ? 30 ? Je pers la notion du temps !), Manu sors de mon cul :

« Retourne-toi, et allonge toi sur le dos, s'il te plait. Voilà, comme ça » En même temps, il descend du lit et se met debout. « Approche-toi de moi, met-toi au bord et lève les jambes. Pose-les sur mes épaules. » Je le vois attraper sa bite, elle est entièrement recouverte d'une couche d'au moins 1cm d'épaisseur de merde. Elle parait énorme !!! Il a de la merde plein les couilles aussi, ainsi que dans les poils, du nombril jusqu'aux cuisses. Il est charmant : je lui fais un grand sourire, tandis qu'il remet sa bite au chaud. Dès qu'elle est au fond de mon cul, il se penche et m'embrasse.

« Tu es craquant avec cette merde qui commence à sécher sur ton visage, tu sais ? »

« Non, je ne sais pas, je ne me vois pas !» lui dis-je en riant « Mais je peux te dire que toi aussi tu es super bandant, avec ta queue qui a quasiment doublé de volume avec tout cette merde dessus ! »

« Et tu l'aimes bien au fond de tout cul, hein ma petite cochonne ! Tu la sens bien ! Ça va mieux, maintenant, non ? Là, ce ne sont plus des cris de douleur, mais des cris de plaisirs ! Tiens, prends ça »

Etant sur le dos, les jambes en l'air, ses mouvements de va et vient dans mon cul encore bien plein, sont encore plus agréables. J'attrape ma queue et commence à me branler en rythme avec les coups de reins de Manu. Mais celui-ci m'arrache aussitôt la main de ma queue

« Qui t'a autorisé à te branler, petite merde ? Toi, si tu veux jouir, ce sera du cul ! Interdiction de toucher à ta bite tant que je ne te l'ordonne pas ! »

« Mais... »

« Il n'y a pas de mais qui tienne. C'est qui le Maitre, ici ? »

« Je... » Mais je ne finis pas ma phrase, et me contente de profiter du plaisir qu'il me donne en venant écraser ma merde contre ma prostate. Pour éviter toute tentation, je lève les bras, et les croise derrière la tête. Ce qui me permet, par la même occasion, de me redresser un peu et de mieux l'observer. De plus en plus de merde sort de mon cul. Il l'étale sur mon ventre, sur mon torse, mes jambes, ma figure... mais évite soigneusement ma queue. Il ne veut pas que je jouisse par accident. Et pourtant, je ne suis pas loin du tout. Je sens même que s'il continue comme ça, je pourrais jouir sans me toucher !

Et Manu accélère encore. Quel sportif ! Des gouttes de sueur coulent sur son visage et sur son torse ; il faut dire que son appart n'est pas climatisé, et il y fait très bon. Manu change un peu de position, il recule les jambes et pose ses mains sur le lit, en se couchant presque sur moi. J'ai toujours les jambes sur ses épaules, du coup je suis presque plié en deux, les genoux proches des épaules. Cette position me fait encore plus sentir la pression de sa bite contre ma prostate

« Oh oui Manu, encule moi, oh c'est bon ! Oh que ta queue est grosse... Oh, je... je sens que je vais jouir... oh OUI, OOOUUUI » et là, sans même me toucher, je sens ma jute monter : tout ce sperme que j'ai épargné pendant plus d'une semaine, sous pression, sors de ma queue pour atterrir directement sur mon front, puis mon torse, mon ventre. De mémoire, jamais je n'ai connu un orgasme aussi intense, et surtout une telle production de sperme. Manu râle de plaisir, et décule d'un coup. Il empoigne sa queue, ou du moins ce que je pense être sa queue au milieu de ce gros tas de merde. Il écarte mes jambes de chaque côté de lui, et grimpe sur le lit, ses genoux à côté de mes cotes. Il approche son bassin de ma tête, et m'envoie un premier jet de foutre sur la tronche. Puis il attrape ma tête et la tire vers sa queue. Affolé à l'approche de toute cette merde, je cherche à reculer et tourner la tête, du coup je reçois un jet de sperme dans l'oreille. Mais Manu me tire rapidement la tête et engouffre sa bite dans ma bouche où il y dépose ses dernières munitions blanches. J'ai un gros haut le cur, et me débat. Mais Manu me tiens désormais la tête avec ses deux mains. Il enfonce sa bite et encule littéralement ma bouche. C'est trop pour moi, j'ai des convulsions et sens mon petit déjeuner qui remonte ma gorge. Seulement, mon vomi ne peut sortir, j'ai la bouche pleine. Je commence à paniquer, à étouffer. Des larmes me montent à nouveau aux yeux, je ne me sens pas bien.

Manu, sans doute hésitant et sentant qu'il est peut-être allé trop loin, se retire et me regarde avec tendresse, tout en me maintenant la tête. En même temps qu'il se retire, un mélange de sperme, de merde et de vomi dégouline de ma bouche sur mon menton, et mon torse, tandis que je reprends mon souffle.

« Ça va ? » me demande-t-il

Je ne réponds pas, ne sachant pas quoi répondre. Non, ça ne va pas, Manu est allé trop loin. Il sait que je n'aime pas avoir de la merde en bouche, surtout que là sa queue était vraiment recouverte d'une quantité colossale de merde, et il me l'a enfoncée au plus profond de la gorge. Le fait de vomir mais de devoir garder toute cette acidité en bouche, m'a fait peur et est loin d'être agréable. Et il l'a fait volontairement, en m'empêchant de m'échapper. Il veut me dominer, m'utiliser, abuser de moi. Et en fait, au-delà de mon dégoût premier, je dois bien admettre qu'être dominé de la sorte me plait bien. D'ailleurs, ma queue est raide bandée, ce qui traduit bien mon sentiment profond. Je fixe Manu des yeux, et sent une certaine gêne dans son regard, une certaine peur.

Il se penche vers moi et m'embrasse.

« Excuse-moi, je suis sans doute allé trop loin » me dit-il tout tremblant, les yeux brillant.

Mon mâle dominateur redevient petit chaton. Il se veut Maître, mais il n'est encore qu'un jeune Padawan... A ce moment précis - allez savoir pourquoi - je me mets à penser au Chat Potté de Shrek, quand il fait sa moue adorable... et j'éclate de rire. Manu me regarde bizarrement, mais il se calme et sourit aussi. Il vient se coucher sur moi et m'embrasser tendrement. Nous restons ainsi quelques instants, reprenant notre souffle...

Quelques minutes plus tard, il se « décolle » de moi et roule sur le dos, contre moi. Il regarde l'heure : il n'est même pas 9h00, et je suis déjà bien couvert de merde, de pisse, de gerbe et de sperme ! Ouah, cette journée va être extra !

« Tu veux un café, avant de continuer nos petits jeux ? »

« Volontiers ! »

En allant vers le bureau, Manu s'arrête et active un interrupteur près de l'armoire métallique que j'avais repéré en arrivant. Puis il rouvre son tiroir à sextoys, et attrape un plug assez large

« Je vais te mettre ça dans le cul pendant que nous faisons un petite pause : tu es encore bien plein, et ta rondelle est bien ouverte après cette bonne enculade, aussi je ne voudrais pas que tu échappes la merde qu'il te reste dans le cul par terre, ce serait dommage !»

Nous buvons notre petit café, en matant la vidéo qui passait sur l'écran (je crois reconnaitre une scène de Slurrybois). Manu attrape une brioche et m'en coupe une part assez conséquente.

« Mange ! Il faut refaire le plein, pour cet après-midi !!! Et tiens, bois aussi beaucoup ! » dit-il en attrapant une grande bouteille de thé glacé dans le frigo.

Une fois rassasiés (voire gavés !), on retourne au lit. Manu me pousse sur le dos, et monte sur moi, ses genoux de chaque côté de mes cotes. Il m'embrasse, puis se redresse et s'assoit progressivement sur ma queue. Lui aussi est bien plein : je sens sa merde s'écraser tout autour de ma bite. Mais lui ne dit rien et se contente de me fixer dans les yeux : quelle maitrise de lui ! Tout en s'enfonçant sur ma bite, il se met à me pisser sur le corps, et à me masser avec son urine et la merde que j'ai sur le corps, qui ramollit sous ses doigts. Il en attrape aussi de la fraiche au niveau de son cul, et me l'étale sur le ventre et la bite tout en continuant à monter et descendre sur mon membre viril. Mais il arrête assez vite, au bout d'une dizaine de minutes, et change de position. Il se retourne, en position 69, et présente son cul au-dessus de ma gueule. Il a plein de merde entre les fesses, sur le cul, mais surtout devant au niveau de la bite et des bourses.

« Je veux te chier sur le visage. Ne tourne pas la tête, garde bien mon étron sur la tronche. Si tu veux tu peux ouvrir la bouche mais je ne te force pas : on va y aller progressivement »

Et en même temps que je sens sa bouche me pomper et lécher la merde qui s'est accumulé sur mon gland et ma verge, je vois son trou du cul s'élargir et un point marron grossir au milieu. De ce point de vue, sa rondelle semble énorme. L'étron sort et grossit très rapidement. Il me touche la bouche, mais je garde les lèvres serrées. Le tube de merde continue à descendre, et vient se coucher à côté de mon nez, sur l'il droit que je ferme aussi. Il poursuit sa croissance, sur le front, et revient sur l'il gauche. Ayant désormais les 2 yeux fermés, je ne vois plus rien mais sens toujours la chaleur de sa merde s'accumuler sur mon visage. Je ne sais pas comment il arrive à sortir autant de merde, de façon continue. Je commence à sentir un sacré poids d'excrément sur ma tronche.

La succion sur ma bite s'arrête, et je sens Manu se lever.

« Ouah, je ne pensais pas avoir chié autant de merde ! Putain, ce que tu es bandant avec ce gros tas sur ta tronche ! Il faut que j'immortalise ça, je vais prendre quelques photos. Ne bouge surtout pas... Voilà » Et clic ! Dans la boite ! Puis je sens la merde bouger sur ma tronche : les mains de Manu parcourent mon visage et répartissent, en couche épaisse, toute cette chiasse sur mon visage. Il me masse l'intérieur des lobes d'oreille, le cuir chevelu, le cou.

« Oui, c'est super, à partir de ton cou, au-dessus du collier que je t'ai mis, désormais on ne voit plus ni ta peau, ni tes cheveux, rien : juste un gros tas de merde... Essaye d'ouvrir les yeux ? »

Je force sur mes paupières qui sont lourdes, et ouvre les yeux, d'abord partiellement. Je cligne un peu, puis les ouvre en grand.

« Excellent ! » dit Manu en riant « tes yeux paraissent étrangement blancs au milieu de tout ce marron, c'est trop bizarre ! ». Je lui réponds avec un gros sourire.

« Et là, avec tes dents blanches, c'est encore plus drôle », dit-il en riant. Puis il vient m'embrasser. « Bouge pas, je veux te prendre en photo... Quel beau portrait !... Maintenant, il ne me reste plus qu'à te badigeonner tout le corps de merde. Par contre... » commence-t-il en se retournant « ... je n'ai pas assez de merde dans le cul pour te recouvrir entièrement. Mais j'en ai mis suffisamment de côté au congélateur ces quinze derniers jours... » Et il ouvre la petite armoire métallique qu'il avait allumée tout à l'heure. « Grâce à cette étuve, elle est désormais décongelée et même chauffée à 45°C... Un peu plus que la température du corps, mais ça refroidit tellement vite ! » Il attrape un grand récipient métallique dans l'armoire et la referme. « Je vais commencer par te l'étaler sur le dos, alors allonge-toi sur le ventre, en posant délicatement ta tête sur tes bras »

J'ai la bite tellement raide d'excitation, qu'elle me gêne pour me retourner. Je l'attrape donc et la plaque contre mon ventre tout en me mettant sur le ventre, puis croise mes bras sous ma tête que je pose délicatement dessus, pour ne pas trop enlever de merde. A peine installé, je sens Manu monter sur le lit, ses genoux de chaque côté de moi, et il pose le plat de merde à côté. Il s'assoit sur mon cul, prend une pleine poignée de merde dans le récipient, et me l'étale sur les épaules. Mmmm c'est chaud, c'est mou, c'est gras, c'est... c'est trop bon ! Manu me masse et étale la merde en couche épaisse sur tout le dos, les épaules, les bras. Puis il descend et me recouvre désormais les fesses et les jambes. Il passe régulièrement entre les fesses, en profitant pour appuyer fortement sur le plug que j'ai dans le cul. En faisant ça, il pousse ma merde contre ma prostate, me faisant contracter de plaisir. Ma bite glisse alors entre mon ventre et le matelas, lubrifiée par toute la merde qui imprègne le drap autrefois blanc. Tout en poussant des gémissements de plaisir, je ne peux m'empêcher d'onduler du cul et ainsi de me branler en remuant le bassin sur le drap. Je me prends alors une violente fessée de Manu.

« Mais as-tu fini de chercher à baiser le matelas, oui ? » - Slack, une autre fessée - « Espèce de sale chienne en chaleur - Slack - Je vais t'apprendre, moi, à te branler sans autorisation - Slack » Manu me baffe le cul, envoyant à chaque gifle de la merde un peu partout sur le lit. Bien que j'aie cessé aussitôt mes mouvements de bassin, Manu continue encore un peu de me cogner, avant de calmer mes douleurs en recouvrant mes fesses meurtries de merde, apportant une douce chaleur apaisante. Puis il continue sur les cuisses, les jambes, et les pieds. Cette dernière partie est particulièrement difficile pour moi : étant chatouilleux, je dois me concentrer pour ne pas avoir de mauvais reflexes et donner un coup de pied incontrôlé à Manu : je sais qu'il ne me le pardonnerait pas. Une fois qu'il m'a ainsi recouvert d'une bonne couche de merde sur ton mon arrière, il me retourne délicatement sur le dos. Il part cette fois des pieds et m'étale sa merde partout jusqu'aux cuisses. Il contourne soigneusement ma bite qui donne des soubresauts de plaisir, comme pour l'appeler, et passe directement à ma taille. Manu attrape une bonne dose de merde dans le récipient, et me la dépose en tas sur le nombril. Puis il vient s'empaler sur ma queue, poussant sa merde autour de ma queue au fur et à mesure qu'il descend son bassin sur moi. Une fois que mon gland est arrivé contre sa prostate et que mes couilles sont bien écrasées contre ses fesses, Manu étale le tas de merde sur mon ventre, mon torse, mes bras, tandis que je lui caresse les abdos et pectoraux avec mes mains toutes merdeuses. Le massage dure ainsi plusieurs minutes, avant que Manu commence à monter et descendre son bassin sur ma queue, et à s'enculer vigoureusement, tout en se branlant. Il continue ainsi jusqu'à ce qu'il gémisse de plaisir et envoie de longs jets de sperme blanc sur mon torse tout marron. Il n'en faut pas moins pour que je libère toute ma sauce dans ses entrailles, en criant ma joie et en me contractant de jouissance à chaque jet de foutre qui sort de ma queue. Une fois que nos battements de cur ont retrouvé un rythme plus normal, Manu soulève le bassin et libère ma bite qui ressort toute fripée et sale de merde, puis il se retourne et présente son trou au-dessus de mon visage. Il chie alors ton mon sperme fraichement recueillit sur ma tronche. Bien que je ne le sente pas vraiment étant donné l'épaisseur de la couche de merde que j'ai sur le visage, j'imagine que j'ai des coulées de jus blanc qui me coulent le long du nez et sur les joues... Manu se lève du lit et me contemple :

« Hmmm, je crois que j'ai fini mon uvre d'art : je vais chercher mon appareil photo pour immortaliser ça ! » Et Manu prend quelques photos, avant de me demander de me lever :

« Les draps sont tellement couverts de merde qu'on a du mal à te distinguer dessus ! Pas assez de contraste... Viens plutôt poser devant le mur, ici... Comme il est clair, ça te mettra en valeur... Voilà, c'est bien... Mets-toi à quatre pattes, maintenant, en cambrant bien le dos... Hmmm, trop chaud : regarde, ma bite se redresse encore ! ... »

La mienne est bien remontée aussi. Je jette un coup d'il au réveil : 10h30. Ouah, que me réserve encore la suite de la journée ? Manu me demandait de venir bien « rempli » pour pouvoir jouer ; mais à ce rythme-là c'est la journée qui va être bien « remplie » ! Pour mon plus grand plaisir !

Chapitre 2 : 10h30 - 11h30

Mots clés : sodo, piss, scat, bareback, cuisine spéciale

Manu pose son appareil photo, après m'avoir mitraillé, dans différentes positions mais avec toujours la même tenue : une épaisse couche de merde, me recouvrant entièrement du bout des orteils à la pointe des cheveux. Puis il vient se serrer contre moi tout en m'embrassant vigoureusement. Ses mains me caressent le dos et les fesses, tandis qu'il frotte son ventre contre le mien, l'épaisse couche de merde entre nous deux jouant alors un rôle de lubrifiant. Nos queues raides se branlent l'une contre l'autre. Soudain, je sens un liquide chaud sur mon ventre : Manu est en train de nous pisser dessus. J'ai envie de reculer pour voir, mais il me maintient collé contre lui en tirant mes fesses contre lui. Une marre de pisse commence à se former à nos pieds. Nous continuons à frotter nos bas ventres mutuellement, queue contre queue. Alors que Manu vide ses dernières gouttes, je sens à mon tour l'urine monter dans ma verge, et me mets moi aussi à pisser des litres entre nous deux.

Une fois vidés, Manu relâche sa pression sur mes fesses, et me repousse délicatement. Mais au niveau du ventre, la merde nous maintient « collé » et c'est avec un drôle de bruit de ventouse que nous finissons par nous séparer, morts de rire tous les deux. Une fois calmés, Manu prend la parole :

« Je te propose de faire une petite pause avant de baiser à nouveau. Je te propose de cuisiner ensemble, et notamment de préparer le dessert de ce midi. Ça te va ? »

« Pourquoi pas, j'aime bien cuisiner... Par contre, on devrait peut-être aller se laver avant, non ? »

« Après tout le mal que je me suis donné pour te recouvrir de merde ? Ça va pas, non ? Non, tu restes comme ça jusqu'à ce soir ! J'ai déjà prévu et apporté les ingrédients ici, dans la chambre. On va préparer le gâteau ici ; et le temps qu'on prépare la pâte, ça va nous permettre de sécher, et on pourra amener le plat dans la cuisine pour le mettre au four, sans salir les autres pièces. Car autant ici, tout est prévu pour qu'on n'ait pas à se soucier de où on chie ou on pisse, autant à côté je préfère éviter ... »

J'en profite pour regarder autour de moi : c'est vrai que pris dans l'excitation du moment, et entrainé dans l'action par Manu, à aucun moment je ne me suis tracassé de où je posais mes fesses pleines de merde, ni de où je déversais ma pisse... Et ça se voit : si les draps du lit sont totalement imbibés de pisse et de merde, le sol n'est guère mieux avec des flaques d'urine un peu partout, des empruntes marron ici et là, et des amas de merde parsemés sur le carrelage ! Les murs carrelés semblent épargnés pour l'instant. Ce n'est que maintenant que je remarque les dispositions prises par Manu pour protéger son PC et sa TV, par exemple : les télécommandes, souris et clavier, sont recouverts d'un discret film étirable en plastique ! Astucieux !

Je me retourne à nouveau vers Manu, qui vient d'attraper un classeur, sur lequel je peux lire « Recettes Cochonnes pour Cuisine Erotique »...

« C'est quoi, ces recettes » lui dis-je en souriant

« Tu verras au fur et à mesure que je te donnerai les indications, mon p'tit chou... En attendant, enfile ce tablier ! ». Sur le tablier en question, de la série « Broie du Noir », je lis :

Secouez les olives,

Lavez la carotte,

Préparez la rondelle,

Ajouter un filet d'huile sur l'oignon,

ARRETEZ, ÇA M'EXCITE !

« Très drôle ton tablier ! J'aime beaucoup !! »

« Cadeau de ma sur ! Moi aussi il me plait bien, et il te va à ravir, surtout sur ton beau corps tout couvert de merde »

« Bon, je vais aller me laver les mains ! »

« Mais tu n'as toujours pas compris ? Je veux que tu restes comme ça. Et si je te dis de te lécher les doigts pleins de merde, tu te lécheras les doigts pleins de merde, OK ? Je comprends que tu es encore novice en scat, mais j'ai bien l'intention, avant la fin de la journée, de réussir à te faire bouffer un peu de merde sans que tu sois pris de spasmes de dégoût ! »

« Mais... tu sais pourtant bien que je n'aime pas ça ! Pourquoi veux-tu me forcer à .... »

« Tu n'aimes pas ça pour l'instant, mais si tu ne te forces pas un peu, tu n'aimeras jamais ça ! Fais-moi confiance ! Et puis, je veux te dresser, te dompter, te posséder. Je veux que tu sois une pute docile, à ma merci, prête à faire tout ce que je te demanderai ! »

« Je... je... » Je baisse les yeux, ne sachant plus trop où j'en suis... « Bon, je vais essayer... je te fais confiance pour y aller en douceur, progressivement, en prenant en compte mes limites »

« Bien, je préfère ça... Bon, commençons... D'abord, tu vas réunir et peser tous les ingrédients nécessaires :

Pour réaliser un cake au chocolat noir et aux fèces fondantes, il ...

_ _

« Aux FECES ? Tu veux dire ... que tu veux que je fasse un cake à la merde ? »

« Tu as très bien compris. C'est un moyen fun et progressif de t'initier à la bouffe scat, tu ne trouves pas ? »

« Euh... oui, sans doute » réponds-je en baissant les yeux. Je suis sceptique. Mais visiblement, mon corps l'est un peu moins, vu comment ma queue tend le bas du tablier entre mes jambes...

« Reprenons, alors :

Pour réaliser un cake au chocolat noir et aux fèces fondantes, il vous faudra

_ _

2 ufs,

1 yaourt,

150g de farine,

170g de sucre semoule,

1/3 de sachet de levure,

10 cl d'huile de tournesol,

200g de chocolat noir à forte teneur en cacao

_ _

Ainsi qu'un jeune cuisinier mâle, totalement dévêtu, prêt à produire une quantité suffisante de fèces fraiches, d'urine fumante et aux bourses bien pleines...

... »

« Le dernier ingrédient semble me correspondre... Mis à part le tablier qu'il faut peut-être que je retire ? »

« Non, non, garde-le ! Alors... pour commencer, tu trouveras les ufs et le yaourt dans le petit frigo ici... et les autres ingrédients sur les étagères là. J'ai apporté la vaisselle et les ustensiles nécessaires ce matin, et les ai posés devant les étagères, ici...»

Je rassemble et pèse les quantités demandées par la recette. Malgré moi, je fais attention à ne pas mettre de merde dans la bouffe, notamment quand je pèse la farine et le sucre... Il faut dire que l'expérience m'excite plutôt beaucoup, comme ma queue me le démontre... Une fois que j'ai devant moi tous les bols avec les doses nécessaires, je me tourne vers Manu pour écouter les instructions suivantes...

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Dans un saladier, travaillez bien au batteur électrique les ufs et le sucre jusqu'à ce que le mélange blanchisse

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Je m'exécute : j'attrape le batteur et y installe les 2 fouets, puis le branche sur la multiprise à côté du PC. 2 min après, le mélange sucre & uf a la bonne texture, et Manu, qui s'est collé dans mon dos, me dicte la suite de la recette, tout en se frottant contre moi, et en massant mes pectoraux et mon ventre avec la merde accumulée sur mon corps, sa bite raide glissant entre mes fesses contre le gode que je garde toujours dans le fion.

_ _

Ajoutez le yaourt, puis la farine et la levure. Mélangez

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Jusque-là, rien de bien sorcier... recette très classique ! Je m'applique, mais avec le batteur, je m'envoie un peu de farine sur le bras. C'est là que je constate à quel point la farine ressort bien sur mon corps tout merdeux !

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Incorporez petit à petit l'huile. La pâte doit être lisse et sans grumeaux.

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Là encore, tout se passe bien. Ma pâte est superbe, sans aucun grumeau

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Tout en continuant à remuer, approchez votre queue du saladier et incorporez progressivement l'équivalent d'un bon verre de pisse bien fumante au mélange

Ah, ça y est, ça commence à dégénérer. En même temps que Manu me souffle ça dans l'oreille, je sens sa queue qui gonfle encore plus contre mes fesses. Je soulève le tablier et présente ma queue bien bandée vers le saladier. Le problème est que là, je n'ai pas vraiment envie de pisser, surtout que je me suis bien vidé peu de temps avant ! Voyant cela, au bout de quelques minutes, Manu part chercher une grande bouteille de 2L d'eau. Il me force à la boire au goulot, doucement. En même temps, il se remet contre mon dos, suce son index droit et le passe, mouillé, sur le gland de ma bite, en faisant de légers petits cercles autour de l'orifice du gland, comme s'il voulait rentrer son doigt dans l'urètre. Tandis que je continue à boire, il remet son index dans la bouche et le mouille encore plus, avant de revenir sur mon gland et de reprendre ses caresses qui me donnent des frissons.

« Regarde la TV » me dit-il. La TV, qui tourne en boucle depuis ce matin, diffusant divers DivX bien hard, montrait actuellement une scène uro où un jeune blondinet était allongé dans des douches collectives, avec un Tee-shirt noir pour unique vêtements, et une bite dans le cul appartenant à un autre minet bien foutu qui, allongé derrière lui, lui donnait de vigoureux coup de reins. Autour d'eux, il y avait une dizaine de jeunes mecs à poil, la bite à la main, qui pissaient sur le couple, envoyant plusieurs jets d'urine partout sur leurs corps, sur le Tee-shirt du blondinet, sur la bite qui entrait et sortait de son cul, sur leurs gueules gémissantes. Je continue à boire à la bouteille tout en les regardant s'amuser.

« Regarde, Loïc... Tu aimerais bien être à sa place, là, non ? » me dit Manu tout en continuant à me caresser le gland avec son doigt mouillé. « Trempé de pisse, dans les douches... tous ces éphèbes autour de toi, te pissant dessus. Tous ses jets de pisses, cette douche de pisse... Tu baignes dans la pisse, tu te noies dans la pisse, tu bois toute cette pisse... »

J'éclate de rire, crachant un peu d'eau au passage. « Tu fais quoi, là, tu invoques le dieu de la pisse ? »

Manu glousse également, mais me donne une claque sur la cuisse : « Concentre-toi, au lieu de rire ! J'essaye de t'aider, moi ! »

Quelques minutes plus tard, je ne sais dire si c'est grâce à toute l'eau avalée, au spectacle visionné sur la TV, aux caresses de Manu ou encore grâce à son « invocation à la pisse », sans doute un peu de tout ça à la fois, toujours est-il que je finis par la sentir arriver, cette pisse. Je présente ma queue légèrement débandée au-dessus du saladier, et continuer à fouetter le mélange alors que le chaud liquide se mêle à la pâte. Seulement, une fois parti, je n'arrive pas à m'arrêter ! Je me dépêche de déplacer le jet de pisse à côté du saladier pour éviter de noyer la pâte, et j'en mets un peu partout sur la table avant de finalement orienter le jet de pisse sur moi. Je me penche en avant pour essayer d'en boire un peu, mais c'est à ce moment que le débit commence à diminuer. Manu a le réflexe d'attraper un verre sur la table, et d'y recueillir quelques centilitres de ma précieuse pisse avant que la fontaine soit complétement tarie.

« C'est bien, cuistot » me dit Manu qui est mort de rire « Allez, la suite maintenant »

Pendant ce temps, faites fondre le chocolat et versez-le aussitôt dans la préparation. Mélangez bien.

_ _

Je casse la tablette de chocolat en petits morceaux dans un bol, et m'apprête à y ajouter un peu d'eau pour le faire fondre au micro-onde, quand Manu me passe le verre de pisse :

« Utilise ça plutôt que de l'eau, ça donnera plus de goût ! »

Je verse une partie du verre dans le bol avec le chocolat, et au moment de reposer le verre sur la table, Manu me prend le poignet et guide le verre à mes lèvres pour que je le finisse. Je passe ensuite le bol une minute au four à micro-onde, et avec une fourchette, je finis de faire fondre le chocolat dans la pisse et mélange jusqu'à ce que le tout soit bien lisse. J'incorpore ensuite le contenu du bol dans le reste de la préparation. Comme à la maison, je ne peux m'empêcher de porter ensuite la fourchette à la bouche pour lécher le chocolat chaud qui reste dessus : j'adore ça... sauf que là, je ne suis pas seul !

« Oh, excuse-moi Manu ; tu en voulais, peut-être ? »

« Oui, mais pas grave, il y en a encore dans le bol ! » Et avec ses doigts pleins de merde, il ramasse du chocolat fondu sur le bord du bol, et les lèches ensuite avec gourmandise

« Vas-y, prends-en ! », me dit-il

« Euh, non, ça va... » En fait, j'ai tellement de merde moi aussi sur les mains, que je n'ose pas trop

« Ce n'était pas une autorisation, mais un ordre !! » me répond sèchement Manu...

Sous la contrainte, je m'apprête à faire comme lui, et racle le bol avec ma main gauche mais au moment où je rapproche mes doigts de la bouche, je marque une pause

« Allez, vas-y », encourage Manu

Je poursuis le mouvement et lèche un doigt après l'autre. En fait, la merde a déjà bien séchée, et du coup ma langue ramasse surtout du chocolat. Par conséquent, le goût reste tout à fait acceptable, et c'est sans haut-le-cur que je lèche tout. Manu me fait nettoyer tout le bol de chocolat. Mais plus je me lèche les doigts, et plus je sens le goût de la merde (peut-être parce qu'elle finit par se ramollir un peu et se détacher de ma peau ?)... Mais j'en vient à bout sans trop de difficulté, et repose un bol bien propre !

« Bien, la suite maintenant... c'est là que ça devient intéressant » poursuit Manu.

Détachez les fouets du batteur électrique, et pénétrez-les dans votre cul de jeune cuistot mâle bien rempli. A l'aide de quelques mouvements d'aller-retour dans le fion, et en poussant bien fort, remplissez-les de merde, et remettez-les sur le batteur. Incorporez à la préparation jusqu'à obtenir une pâte homogène.

_ _

Je digère les paroles de Manu. Un frisson me parcours. Je regarde les fouets du batteur : ils sont gros ! Ça représente une sacrée quantité de merde ! Et il va falloir que je mange ça après ? Déjà, comment vais-je faire pour m'enfoncer ça dans le fion ? D'un air paniqué, je regarde Manu qui me souris en retour et dit

« Ne t'inquiète pas, ça va bien se passer ».

Il part ensuite chercher son appareil photo et me photographie ainsi, avec le tablier, devant la table, le batteur électrique à la main. Il me demande ensuite de me pencher en avant et de lui montrer mon cul. Il attrape le plug qui le bouche depuis quelque temps, et tire doucement dessus. Il est totalement recouvert de merde ; Manu en lèche un peu puis le pose sur la table. Pendant ce temps, j'éjecte les 2 fouets du batteur, et sans me soucier de le nettoyer, présente le premier contre ma rondelle encore ouverte par le port du plug. Manu est à genou entre mes jambes, et photographie la scène de près. Je pousse le fouet contre ma rondelle et essaye de me détendre, mais rien à faire, ça ne veut pas rentrer

« Essaye de te détendre » me dit Manu « et pousse un bon coup, comme si tu voulais chier toute ta merde »

J'essaye, mais je n'arrive toujours pas à enfoncer le fouet dans le cul. Alors Manu approche sa main et insère un doigt dans mon trou. Il fait quelques allers-retours, puis insère un 2ème doigt. Il me masse et me détend le fion comme ça pendant quelques minutes, et va jusqu'à 4 doigts. Il me demande ensuite de réessayer. Cette fois je me sens plus détendu, et arrive à faire rentrer le fouet, non sans avoir un peu mal quand même... Je marque une pause, et le pousse entièrement dans le cul. Mais je l'ai poussé trop loin : ma rondelle se referme derrière son passage. Du coup, quand je veux retirer le fouet, il me faut à nouveau forcer et ça me fait mal... Mais bon, en serrant les dents, j'arrive à le ressortir. Il y a un peu de merde dedans, mais il est loin d'être plein ! Manu, qui est à genoux derrière moi et regarde tout d'un il attentif, la bite dressée et l'appareil photo en main, me dit

« Vas-y, enfonce le fouet mais pas trop loin, je te dirais quand arrêter... Voilà, là c'est bien : seul le manche et la base des quatre branches du fouet sont apparents ! Maintenant, chie tout doucement, pousse ta merde... Oui, continue à pousser ! Oh, c'est trop bon : ta merde est coupée en quatre morceaux par les quatre branches du fouet ! Maintenant, tire sur le manche tout doucement, tout en continuant à pousser ton étron... oui, encore un peu, voilà, le fouet est sorti, arrête de pousser »

Je ramène le fouet devant moi : il est plein de merde, il y en a pas mal qui dépasse en bas. Avec ma main gauche, je coupe ce qui dépasse et le garde dans la main tandis que je fixe ce fouet rempli sur le batteur, et attrape l'autre, vide. Je m'essuie la main gauche dessus, raclant la merde avec les branches du fouet. Puis je le présente sur mon trou et recommence l'opération. Je pousse, tout en tournant le fouet sur lui-même à l'intérieur de mon cul. Manu s'excite avec l'appareil photo, qui ne cesse de mitrailler : de son point de vue, ça doit être très bandant, vu le rythme auquel il se branle en même temps ! J'ai beau pousser, j'ai l'impression que je suis vide. Je retire doucement le fouet et constate que bien que je me sois complétement vidé, il est plein. Il a même l'air encore plus rempli que le premier, et je le fixe sur le batteur à côté de l'autre. Pendant ce temps, Manu se relève et se colle à mon dos. Il pousse sa bite dans mon trou bien ouvert par le fouet. En même temps qu'il m'encule doucement, il me dit :

« Maintenant, il te faut incorporer ça dans la pâte du cake au chocolat ! »

Je mets en route le batteur, et là je me prends sur la tronche un morceau de merde projeté à toute vitesse. Je coupe aussitôt le batteur. Mince, j'ai foutu de la merde un peu partout, sur la table, le tablier, le mur ! Manu est plié de rire :

« Eh bé alors ! Idiot ! Enfonce bien les fouets complétement dans la pâte, sinon tu vas en foutre partout ! »

Heureusement (ou pas ?) il en reste encore beaucoup dans les fouets ! Je penche le saladier de façon à ce que la préparation recouvre entièrement les fouets, et allume à nouveau le batteur. Je mélange bien le tout, pendant quelques secondes, jusqu'à ce que ce soit bien homogène... enfin, à peu près, car il y a des petits morceaux dans ma merde (qu'ai-je mangé déjà hier ? je ne sais plus...). Manu, toujours la bite bien calée au fond de mon cul, me souffle la suite de la recette dans l'oreille. Pas facile de me concentrer sur ce qu'il dit, tellement je suis excité. Par reflexe, ma main droite attrape ma queue qui réclame un peu d'attention, et je commence à me branler. Mais Manu m'attrape le poignet et retire ma main de mon sexe.

« Garde ça pour tout à l'heure » me dit-il « et écoute la suite, encore une fois ! Concentre-toi, c'est quasiment fini »

Versez le tout dans un moule beurré - ou mieux, tartiné de merde - et fariné.

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Je ne demande pas à Manu s'il préfère que je beurre le moule à cake, ou que je le tartine de merde : je connais déjà sa réponse. Je passe donc ma main sous mes couilles, et avec ce que j'ai ramassé, étale une fine couche sur tout l'intérieur du moule. Je dépose ensuite une bonne cuillérée de farine dans le plat et le tapote pour répartir la farine uniformément sur la pellicule de merde. Je verse le contenu du saladier dans le moule, en raclant bien le saladier avec mes doigts (au point au j'en suis...). Pris dans le jeu, je me lèche les doigts. Le goût n'est pas si mauvais : c'est avant tout sucré et chocolaté, avec un arrière-goût un peu bizarre mais acceptable.

Déposez ensuite délicatement un bel étron fraichement pondu dans la longueur du moule. Enfoncez-le légèrement et délicatement, de façon à ce qu'il affleure la surface de la pâte.

Ouah... rien que ça ! Mais je ne pourrais jamais manger une telle monstruosité !!! En plus, je n'ai plus de merde en stock... Je me suis complétement vidé avec le deuxième fouet. Je le signale à Manu, qui me répond :

« Ne crois pas pouvoir t'en tirer comme ça, petit malin ! Moi, il m'en reste encore pas mal. » Et sans retirer sa queue de mon fion, il présente sa main droite entre ses cuisses et pousse un bon coup. Je le sens, en même temps, pisser dans mon cul (mais je reconnais qu'il est difficile de chier sans pisser quand on a la vessie pleine !). Il me présente sa main, avec un beau boudin de 20cm de long et 4cm de diamètre.

« Tiens, voilà de quoi continuer la recette me dit-il ». Je prends délicatement l'étron avec mes deux mains, et le dépose dans le moule. Il s'enfonce de lui-même dans la préparation, j'ai à peine à appuyer un peu dessus pour finir de l'enfouir. J'attrape ensuite le moule et le présente à Manu : Voilà, il n'y a plus qu'à faire cuire. Mais Manu me demande de le reposer sur la table. Il attrape ma taille fermement, et accentue son enculage. Je me cambre bien pour mieux sentir sa queue. J'ai trop envie de me branler, mais résiste. Après quelques minutes Manu se retire, attrape sa queue et se rapproche du moule. Il se branle énergiquement, jusqu'à jouir de longs et épais jets de sperme sur toute la longueur du cake, en râlant de plaisir.

« C'est ma petite touche personnelle », me dit-il une fois qu'il a retrouvé son souffle.

Nous allons ensuite dans la cuisine pour lancer la cuisson. La recette se poursuit par :

Mettez au four chaud à 180°C pendant 35min

A déguster tiède de préférence, accompagné par exemple d'un bon verre de pisse ou de sperme...

_ _

Une fois la cuisson lancée, je retire le tablier et me tourne vers Manu pour lui demander ce qu'il a prévu comme plat principal, à déguster avant ce « dessert »

« Tu verras, surprise... Mais en attendant, nous avons ½ heure devant nous ; il est 11h30, on peut se prendre un apéro, qu'en dis-tu ? J'ai une très grosse envie de pisser ! »

Chapitre 3 : 11h30 - 14h30

Mots clés : sodo, piss, scat, bareback, godes, remplissage de cul, baise à plusieurs, cuisine spéciale

Manu et moi sommes debout dans sa chambre super bien équipée. Nous sommes totalement nus et recouverts d'une bonne couche de merde : si Manu en a pas mal sur lui de la tête aux pieds, surtout autour de sa queue et sur le cul, pour ma part on ne voit plus du tout ma peau, et même mes cheveux sont dans la merde (au sens propre comme au figuré, je crains). Nous buvons, en guise d'apéritif, un cocktail à base de vodka, glaçons, grenadine et... pisse fraichement issue de la queue de Manu. La pisse a vite refroidi au contact des glaçons, donnant ainsi une boisson globalement fraiche, ce qui n'est pas un mal car la matinée nous a donné bien chaud ! Nos mains merdeuses attrapent des cacahuètes et autres gâteaux apéro dans un bol posé sur la table. Dans la pièce à côté, le cake au chocolat et aux fèces fondantes que nous venons de préparer, cuit dans le four. Manu siffle son verre et se tourne vers moi :

« Avant de passer à table, il faut que je te reconditionne pour cet après-midi »

« Comment ça, me reconditionner ? »

« Tu vas voir ! Tiens, allonge-toi sur le lit, sur le dos... Et mets ces coussins sous ton cul pour le surélever » Pendant qu'il me dit ça, Manu rouvre l'armoire métallique qui est en fait une étuve, et attrape un nouveau récipient plein de merde. Dans son tiroir à sextoys, il attrape ensuite un appareil, une sorte de très gros pistolet à mastic, avec un piston qui pousse dans une grosse cartouche en plastique... Oh là là, j'ai déjà vu ça dans des films porno : il va me remplir le cul de merde, mais par la sortie ! J'ai toujours rêvé de vivre une telle expérience ! Tout en remplissant la cartouche de merde chaude à pleines poignées, Manu se tourne vers moi :

« Soulève tes jambes et maintiens les avec tes bras tout en me présentant ta rosette bien ouverte ! »

On ne peut pas dire que la position est très confortable, mais je me remue comme je peux pour que je sois le plus à l'aise possible. Une fois bien calé sur les coussins, Manu s'approche de moi et, sous mon nez, monte la cartouche remplie de merde sur le pistolet et actionne la poignée pour faire avancer le piston et pousser la merde vers la buse, qui doit faire facilement plus de 5~6 cm de diamètre ! Un beau boudin de merde en sort, qu'il sectionne et pose sur mes lèvres que je maintiens serrées.

« Ouvre un peu la bouche, pas pour avaler car je sais que tu n'es pas encore tout à fait prêt, mais au moins pour maintenir ce boudin de merde en place ! Je te préviens, quoiqu'il arrive, il n'a pas intérêt à tomber ! ». A regret, j'entrouvre la bouche, mais me contente de maintenir l'étron avec le bout des lèvres. En même temps, Manu présente la buse entre mes fesses, et la pousse dans mon trou, heureusement bien dilaté. Il appuie doucement sur la poignée, et je sens une agréable pénétration dans mon fion, molle, chaude : c'est comme si je chiais vers l'intérieur de moi ! Trop bon ! Il vide ainsi toute la cartouche, sans difficulté particulière. Il retire la buse de mon cul pour refaire le plein, et la remplace aussitôt par sa queue bien raide, pour éviter que tout ressorte. A moins que ce ne soit pour pousser la merde un peu plus loin ? Ou tout simplement pour se faire plaisir... Tout en donnant de virils coups de reins, il remplit la cartouche pour une deuxième tournée. Une fois pleine, il retire sa queue (et un peu de merde au passage), et remet la buse en place. Il actionne à nouveau la poignée pour pousser le contenu dans mes boyaux. Arrivé aux deux tiers de la cartouche, la sensation du remplissage commence à changer : sans que ça soit douloureux - au contraire - je sens plus de pression sur mes intestins et sur ma prostate. Ma bite, bien que super raide, se met à lâcher un peu de pisse. Arrivé au bout, Manu recommence le processus avec une troisième cartouche, sans oublier de m'enculer un peu pendant la transition. Là, dès la moitié de la troisième cartouche, je commence à manifester les premiers signes de trop plein. Je me mets à pisser de façon incontrôlée, et mon ventre me fait un peu souffrir. Manu, qui l'a remarqué, ralentit la vitesse à laquelle il pousse la merde avec le pistolet. Mais il va quand même jusqu'au bout. Une fois vide, il retire une nouvelle fois la buse de mon cul et la remplace par sa grosse queue bien bandée. Cette fois, je sens qu'il pousse la merde au plus profond de moi ; je devine même qu'une partie de la merde doit s'échapper autour de sa bite et ressortir du cul. Tout en me pistonnant le cul, je le vois remplir encore la cartouche, pour une quatrième tournée !! J'aimerais lui dire que je ne plus en prendre, mais la merde que j'ai entre les lèvres m'empêche de parler.

« Mmmm Mmmmm » dis-je avec les yeux grands ouverts

« Quoi ? Tu as quelque chose à dire ? Si oui, avale ce petit morceau de merde que tu as au bout des lèvres, et exprime-toi convenablement... Ou sinon, tu te tais ! Je te mets encore une cartouche, et après j'arrête, promis. Mais avant de te la vider dans les entrailles, on va faire un peu de place... »

Et en disant ça, il pose la cartouche à côté de moi sur le lit, et tout en gardant sa bite en moi et en m'enculant doucement, il se met à me masser le ventre, en appuyant bien fort. Cela a pour effet de me faire pisser copieusement ! Manu attrape ma bite d'une main et s'amuse à m'arroser un peu partout le ventre, tout en continuant à me masser de l'autre main. Il ramollit ainsi la merde de ce matin qui avait bien durci en séchant, et la ré-étale. Il me branle en même temps, pendant quelques minutes, doucement pour ne pas me faire jouir. Son massage me fait le plus grand bien. Puis il se retire et reprend le pistolet qu'il présente à mon trou.

« Allez, dernière ligne droite ! Décontracte-toi et avale toute cette merde » dit-il à mon cul.

A chaque poussée sur la poignée, je ressens dans tout mon corps la nouvelle portion de merde qui est rentrée en moi. J'ai l'impression que je vais exploser. Si ça continue, la merde va me ressortir par la bouche ! Manu prend son temps, je ferme les yeux pour mieux me détendre. Après ce qui me semble une éternité, j'entends enfin Manu qui me signale que ça y est, toute la cartouche est vidée

« Maintenant, je vais retirer la buse. Je te demande de bien serrer les fesses et de ne surtout pas pousser, pour ne rien faire sortir ! »

J'essaye de me retenir, mais j'ai comme une superbe envie de chier, c'est très dur ! Je vois mon hôte partir rapidement vers le tiroir et attraper un gros plug, court mais large à la base. Il revient et me le met rapidement dans le cul, ce qui me permet de relâcher un peu le sphincter : ça y est, je suis bouché ! Il se penche ensuite vers moi, et avec sa bouche, attrape l'étron que j'ai entre les lèvres, et se met à le mâcher et l'avaler, avant de m'embrasser. Puis il se redresse et me dit :

« Lève-toi, maintenant, tout doucement... Voilà. Ça va ? »

Je marche un peu. Je me sens un peu ballonné, mais je n'ai pas mal. Je vais finir par m'y faire.

« Bon, maintenant, à toi de me remplir un peu... Mais avant, il va falloir me dilater un peu ! Je crois bien que mon cul a oublié le goût de ta bite ! Vas-y, rafraichit-lui la mémoire ! »

Et sans même solliciter mon aide, il s'allonge sur le dos, coussins sous les fesses, et passe ses bras sous ses genoux pour me présenter son trou. Sans plus attendre, et sans préparation, je lui fourre ma bite bien à fond dans le cul et l'encule furieusement. Il ne me faut pas longtemps pour lui cracher toute ma purée dans le fion tellement je suis maintenu excité depuis ce matin ! En retirant ma bite de son orifice, un peu de jus s'écoule, que je ramasse avec mes doigts merdeux et fait lécher à Manu. Puis j'attrape le pistolet, démonte la cartouche que je remplis de merde encore tiédasse. Je remets tout ça en place, et pousse une première dose dans ses entrailles. Manu me dit d'y aller franco, alors j'y vais. Je vide la première cartouche. Puis une deuxième. A la troisième, Manu ne manifeste aucun signe me poussant à arrêter. Au contraire, il a attrapé sa queue et se branle en même temps que je le farcis. J'entreprends alors de lui mettre une quatrième cartouche. Par reflexe, me souvenant encore fraichement de la difficulté à digérer cette intrusion à ce stade, j'y vais tout doucement, d'autant plus que Manu n'a pas eu droit à un massage abdominal comme moi. Je suis vraiment bluffé par sa capacité à tout prendre sans broncher. Arrivé au bout, je lui demande s'il veut une cinquième tournée. Il ne répond pas tout de suite, tourne la tête et regarde l'heure (non mais ça veut dire quoi, ça ?) puis toujours sans répondre, abaisse ses jambes et se met doucement debout, tout en continuant à se branler. Ça doit vouloir dire non, j'imagine. Il m'appuie ensuite sur l'épaule pour me faire mettre à genoux, et oriente sa bite vers mon visage. Il me crache plusieurs jets de foutre sur la figure, sur les cheveux, le front, la joue. Même si je ne vois pas, j'imagine les traces blanches de sperme contraster sur mon crâne et ma face recouverts de merde !

Je me relève et embrasse mon beau brun à pleines lèvres.

« Tu ne te mets pas un plug, toi aussi ? » je lui demande

« Non, je n'en ai pas besoin, j'ai un sphincter encore assez... » Manu s'interrompt, car un bruit de sonnette retentit dans la pièce... Il regarde la pendule, je suis son regard : il est 12h05

« Ah, le cake est cuit », me dit-il. « Allons voir ça ! »

Je le suis dans la cuisine, en faisant attention de ne rien toucher avec mes mains ou mon corps, pour ne rien salir. Il ouvre la porte du four en ayant pris soin d'utiliser un carré de Sopalin pour ne pas trop salir son four, et sort le cake, qui a bien gonflé. Une belle croute dessus, craquelée au centre, laisse apparaitre l'étron de Manu qui a fondu avec la cuisson. Il a une fière allure, même si je suis déçu qu'on ne voie plus aucune trace de la belle trainée de sperme qu'il avait ajouté sur le cake. L'odeur est particulière, on sent bien le chocolat mais aussi un peu la merde (en fait, vu que ça fait plus de 4h que j'ai en permanence de la merde sous le nez, il n'est pas impossible que mon odorat s'y soit fait... et que l'odeur de merde soit en fait prépondérante !). Il attrape un plat et démoule le cake dedans.

« Le dessert est prêt ! On n'a qu'à mettre le couvert, dans la chambre : on mangera au chaud dans les draps en matant un film... Au fait, tu as pensé à prendre ton petit film ? »

« Ah, oui, il est dans ma sacoche ! Mais... je ne vais pas pouvoir l'attraper sans m'essuyer les mains»

« Alors je vais le faire ! » Manu revient dans la chambre, et se met à se pisser sur les mains tout en les frottant l'une contre l'autre. Il enlève ainsi le plus gros de la merde, puis s'essuie les mains sur un coin propre des draps. Il cherche alors ma sacoche et attrape le DVD qu'il met dans son ordi. Il lance à peine le film, qu'un nouveau bruit de sonnette résonne, différent du 1er.

« Tiens, il est 12h12... Ce doit être le livreur de pizzas ! »

« Le... le livreur de pizzas... tu rigoles ?!? »

« Non, je suis sérieux, pourquoi ? La dernière fois, tu avais bien aimé les pizzas, non ? J'ai pensé que ça te ferait plaisir ! »

« Oui, ce n'est pas ça... c'est juste que... comment tu peux recevoir un livreur dans une tenue pareil ?! » lui dis-je en me désignant de la tête aux pieds.

« Bah, t'inquiète pas, ils doivent en voir d'autres ! D'ailleurs, vas vite ouvrir car il vient de sonner à nouveau ! »

« Moi ? Mais... »

« Tu vas obéir, oui ? » me dit-il sans rire et avec une claque sur les fesses « Tu n'as rien à régler, j'ai payé à la commande... Allez, avance, je te suis »

Je me dirige vers la porte d'entrée. Sur celle-ci est collé un grand miroir qui me montre à quoi je ressemble. Je ne me reconnais pas du tout. On ne voit rien de mon visage à part les yeux et la bouche si je l'ouvre. Le sperme de Manu est bien visible, sur mon front et ma joue droite. Le corps est tout marron, voire noir par endroits, aucune trace de peau nulle part. Un collier en cuir et pointe d'acier, brille autour de mon cou. Ma queue pend entre mes jambes, complétement débandée par l'angoisse de me montrer ainsi à un inconnu. Par endroit, la merde a séché et forme comme une croute. J'ai aussi de la gerbe séchée sur le torse. Je suis inhumain. Une grosse merde géante... Un monstre... Un Yeti tombé dans la boue... Un bonhomme Cetelem décrépi à l'automne... Une truie géante qui se tient debout... Un ver terreux avec deux bras et deux jambes...

« Bon, quand tu auras fini de t'admirer, tu pourras ouvrir la porte ? » me siffle Manu derrière moi !

Avant d'ouvrir, je lance un timide « C'est pour quoi ? » à travers la porte

« Vos Pizzas, Monsieur » me répond-on

Bon, il faut y aller... Manu est derrière moi. Si moi je suis mort de trouille, lui est tout excité : je sens sa bite gonflée contre mes fesses. Du coup, je me dis que ça ne peut être qu'un coup monté de sa part : c'est un complice, un ami à lui, qui est derrière la porte. Oui, ça doit être ça, ce n'est pas possible autrement... Même si je doute encore un peu, dans un élan de courage (ou de folie ?) je tourne le loquet et entrouvre la porte. Je n'ose pas me montrer, je... je suis bloqué.

« Euh, il y a quelqu'un ? » dit-on dans le couloir

« ...Euh, oui, allez-y, entrez » dis-je timidement, en ouvrant davantage la porte, mais en restant en retrait. Mon cur bat à un rythme fou, ma main tremble sur la poignée. Heureusement, Manu est derrière moi sans quoi j'aurais sans doute repoussé la porte.

Je vois alors 3 boites de pizza entrer, portées par 2 bras recouverts d'une veste en cuir rouge et blanc ; puis une silhouette fine, d'environ 1m70 comme moi, dans les 70kg à vue d'il, une chevelure soignée, mi-longue, châtain, posée sur des épaules larges, un dos puissant, débouchant sur un magnifique petit cul rebondi mis en valeur par un pantalon en cuir noir. Le livreur, qui jusqu'à maintenant nous tourne le dos, se retourne et je croise ses yeux verts, magnifiques... du moins avant que s'affiche sur son visage une expression de peur et de surprise. Il me dévisage de haut en bas, et je le vois trembler, la bouche ouverte. Manu reste planté derrière moi, sa queue bien raide poussant mon gode entre mes fesses, tandis que la mienne pendouille lamentablement entre mes jambes. Nous restons ainsi quelques longues secondes, avant que le jeune livreur (il doit avoir entre 20 et 25 ans ?) et moi-même ne nous mettions à bafouiller en même temps :

« Je... Vous...»

« C'est... euh... »

Nous paraissons aussi gênés l'un que l'autre, et restons là comme des idiots. C'est alors que j'entends derrière moi Manu éclater de rire, mais son rire est étrange. En fait, non, ce n'est pas que son rire est étrange, c'est... c'est qu'il y a une autre personne qui rit aussi ! C'est alors que j'aperçois, dans l'ouverture de la porte, une silhouette en train d'entrer dans l'appartement, tout en riant. C'est un jeune homme de 25~30ans, aux cheveux bruns et longs, d'environ 1m80, svelte, vêtu d'un sweat blanc à capuche avec une fermeture à demi ouverte, un sac à dos, et un jean bleu délavé laissant deviner un paquet prometteur. Mais c'est surtout son regard qui capte mon attention. A la fois doux et angéliques, ses yeux d'un bleu rare et intense dégagent une force et une assurance qui feraient se mettre à genoux même les chiens les plus sauvages...

« Oh là là, vous verriez vos têtes ! » dit Manu entre deux gloussements

« C'est clair » dit l'inconnu en jean en me détaillant dans toute ma petite longueur, une fois la crise de rire passée. « Hmmm, mais c'est que ça m'a l'air mignon tout plein, ça ! Tu nous présentes, Manu ? »

« Mat, je te présente Loïc ; Loïc, Mat... Et ? »

« Lui ? C'est ma nouvelle petite merde, ma petite chienne... On l'appelle Yann »

Ni Yann, ni moi, ne prenons la parole. Je suis quelque part soulagé : il s'agissait bien d'un coup monté. Yann, lui, a l'air de rester choqué, et même s'il ne tremble plus, il ne me quitte pas du regard. Manu referme la porte, attrape les boites à pizza ainsi que le sac à dos de Mat, et se dirige vers la chambre.

« Dans mon sac à dos, tu trouveras une bouteille à mettre au frais, ainsi que 2 plats à réchauffer pour nos putes » dit Mat à Manu

« Compris... Loïc, je te laisse dévêtir nos invités avant de les accompagner dans la chambre. »

Je regarde successivement Yann et Mat, ne sachant pas trop ni comment ni par qui commencer ; mais heureusement, Mat vient à mon aide :

« Commence par lui ôter son blouson » m'ordonne-t-il gentiment, tout en retirant lui-même son propre sweat, laissant ainsi apparaitre un torse quasi imberbe et bien musclé, sans parler de ses abdos bien dessinés. Ma bite retrouve un peu de sa vigueur.

Je m'approche de Yann pour lui ouvrir son blouson en cuir, mais en voyant mes mains pleines de merde, hésite à toucher ses vêtements.

« N'ai pas peur de foutre un peu de merde sur ses vêtements, ce n'est pas grave » me dit Mat qui ne loupe rien de la scène.

Alors j'y vais, j'attrape la boucle de la fermeture éclair et ouvre le blouson. Et là, quelle surprise ! Yann n'a pas d'autre vêtement sous le blouson. Et sa peau est pleine de traces de merde ici et là. Nettement moins couvert que moi, mais quand même ! Mat l'a fait sortir comme ça à l'extérieur ? Dans le métro ? Le bus ?! J'ai du mal à imaginer ! Même si ça ne se voit pas plus que ça blouson fermé, l'odeur a dû incommoder toutes les personnes autour ! Enfin, j'imagine, car là je suis devenu depuis ce matin trop insensible à l'odeur de la merde, tellement j'en ai sous le nez et en permanence... je lui retire complétement son blouson et le pose sur une chaise. Pendant ce temps, Yann ne bouge pas et ne me quitte pas des yeux, comme hypnotisé par ma présence. Je le regarde plus attentivement : il est très mignon. Pas musclé, mais pas gras non plus, un équilibre naturel, innocent. Je reviens vers lui et me met à genoux pour lui retirer ses bottines. Pour qu'il garde l'équilibre, je lui demande de se tenir sur moi. Timidement au début, puis de façon plus franche, je sens ses mains écraser la merde sur mes épaules. Je lui retire ses pompes, non sans difficultés, puis ses chaussettes. Je me redresse et aperçois Mat qui entre-temps s'est entièrement dessapé. Ma queue pulse de plaisir à ce spectacle : Mat se redresse nu au milieu de la pièce, ses cheveux longs attachés en queue de cheval dans le dos, les yeux bleus perçants, le corps athlétique, peu poilu mais viril malgré tout. Et une bite énorme, dressée fièrement à 45° et qui semble le guider en avant vers nous. Il est magnifique, fier, imposant.

« te-lui son pantalon, maintenant » me dit-il.

Je m'exécute. Je déboutonne et ouvre son futal, puis le baisse au niveau des genoux. Comme je m'y attendais un peu, son bassin baigne dans la merde, il y en a plein écrasée dans le pantalon. Mais c'est avec stupéfaction que je découvre que sous cette merde, Yann porte une sorte de harnais formé de lanières en cuir. Ce harnais lui maintient la bite emprisonnée vers le bas, entre les jambes. Sa queue semble tout gonflée : elle a envie de bander, mais la cage l'empêche de prendre tout sa dimension. Je lève la tête pour croiser le regard de Yann. En plongeant dans ses yeux verts, je comprends maintenant que ce n'est pas la peur qui le bloque et le fait trembler, mais plutôt l'envie et la frustration ! Je lui ôte complétement son pantalon, puis, tout en restant à genoux, je le fais tourner sur lui-même pour comprendre comment lui enlever son harnais. Derrière, je vois alors qu'un gode énorme (en tout cas vu le diamètre de la partie qui dépasse) lui a été enfoncé dans le fion, maintenu en place par le harnais ! Je suis impressionné, et craintif à la fois. Non seulement Yann a été forcé d'aller à l'extérieur en gardant une bonne dose de merde sur lui, mais en plus il a dû le faire avec un gigantesque gode dans le cul ! J'aperçois aussi une serrure pour déverrouiller l'attache principale de la cage, mais je n'en ai pas la clé. Je me tourne vers Mat, qui a anticipé ma demande et me montre la clé, au bout d'une chaine qu'il passe autour de son cou.

« Tu auras le droit de le libérer et le soulager, mais pas tout de suite, petite chienne... On va jouer un peu avant. Et puis pour l'instant, je crois que Manu nous attend pour passer à table ! »

Nous allons donc dans la chambre, moi devant, suivi de Yann et enfin Mat. Manu nous attend avec son appareil et prend plusieurs photos de groupe. Puis Mat et lui s'assoient sur le bord du lit, et Mat ordonne :

« A genoux, les lopes ! A nos pieds ! Yann, occupe-toi de la queue de Manu ! Et toi, le bleu, vient un peu me montrer tes talents de pompeur ! ... Oh, mais qui vois-je à l'écran en train de se couvrir de merde dans sa baignoire ? C'est toi, Loïc ? Eh bé, je t'aurais jamais reconnu, avec toute la merde que tu portes actuellement ! Tu as l'air plutôt mignon, même sans ton masque merdeux !»

Acceptant son compliment (si c'en est un ?), je mets mes genoux à terre dans une flaque de pisse refroidie depuis ce matin, puis je me glisse entre les belles cuisses de Mat, et admire sa queue. Une merveille. Je l'attrape de ma main droite, et la caresse délicatement. A côté de moi, Yann engloutit sans hésiter, à fond de gorge, la queue pleine de merde de Manu. Aucun signe de haut-le-cur : il semble vraiment maitriser ! Heureusement, celle de Mat est propre : lui, au moins, a pris une douche avant de venir. J'ai de la chance ! Je me mets à l'ouvrage à mon tour, et avale l'énorme gland de Mat, et avance petit à petit la tête vers ses couilles. Sa verge est vraiment longue et épaisse, je n'arrive pas à tout prendre, je sens que je vais vomir. Alors je recule la tête, j'attrape sa queue avec ma main et en caresse la base ainsi que les couilles, tout en léchant le gland. De temps en temps, je sors la queue de ma bouche et avec ma langue, caresse toute la longueur de la bite. Pendant ce temps, comme si de rien n'était, Manu passe une boite de pizza à Mat, et ils se mangent une première part de pizza pendant que nous les pompons. Ils attrapent ensuite une deuxième part chacun, et les déchirent pour nous les mettre dans la bouche, en petits morceaux, avant de nous refourrer leur queue. A un moment, Mat mord dans un gros morceau de pizza, le mâche légèrement puis attrape ma tête, sors sa queue de ma bouche, et avec ses doigts me force à ouvrir la bouche en grand. Il me crache alors le morceau de pizza prémâché dans la bouche puis me dit :

« Partage avec ton voisin, salope. Vas-y, embrasse-le et échangez-vous ce morceaux de bouche en bouche »

Je me tourne vers Yann, qui s'est déjà positionné. Il a de la merde sur le nez et autour de la bouche. Sans quitter ses yeux du regard, j'approche timidement mes lèvres des siennes, et l'embrasse. Malgré le léger goût de merde, je prends plaisir à l'embrasser. Pas seulement parce que ses lèvres sont douces et charnues, ni parce que son visage d'ange me fait fondre. Je pense que c'est surtout parce qu'ainsi, j'ai l'impression de faire mon devoir, de plaire à Mat ainsi qu'honorer Manu.

Mat et Manu, les deux « M » (les deux « Maitres » !), continuent ainsi de nous gaver de pizza, indirectement, en nous crachant la bouffe dans la bouche avant d'y replonger leur queue gonflée à bloc. A un moment, Manu prend une part de pizza et s'essuie le cul avec. Tout en continuant à lécher la queue de Mat, je l'observe en train de forcer un peu et chier dessus. Il roule ensuite la pizza autour de la merde, et fourre le rouleau dans la bouche grande ouverte de Yann. Indiscutablement, ce dernier est un amateur de merde bien plus « avancé » que moi dans son dressage ! Mat, qui observe aussi nos voisins, attrape ma tête avec ses deux mains, me fourre sa bite dans la bouche et me nique la tronche :

« Oh oui, petite merde, tu vas me faire jouir ! Je vais te cracher une bonne dose de jus de mâle au plus profond de la gorge ! Tu vas avoir ta dose, salope ! Oh je sens que ça vient ! Ouvre la bouche en grand, que je vois mon sperme remplir ta bouche ! Plus grand ! Tire la langue pendant que je me branle ! Et tourne un peu la tête vers Manu qu'il voit bien ta tronche de trou à merde, ta gueule de pompe à jus ! La tête un peu plus en arrière ! Oooo oui ça vient ! Ouah ! Prend ça ! OOOOUUUI ! »

Mat s'est carrément mis debout devant moi, sur le côté de façon à faire face à Manu et Yann. Il agite sa bite à 10cm de ma bouche, et je me prends un premier jet puissant de foutre juste au-dessus de l'il droit avant que le reste de sa semence me remplisse la bouche. Oh, quelle dose ! J'ouvre la bouche un peu plus grand, et penche la tête plus en arrière, pour éviter que ça déborde et coule sur mon menton. Je tire la langue un peu plus, pour montrer à Mat et Manu à quel point ma bouche est pleine de foutre. Une fois complétement vidé, Mat me donne des coups de bite sur les joues pour finir de faire tomber les dernières gouttes, puis toujours avec sa queue, il racle la trainée de foutre qui a atterrit au-dessus de mon il, et me glisse ce petit complément dans ma bouche déjà pleine de foutre.

« Vas-y, tu peux avaler maintenant ! Oui, c'est ça, déglutit, passe ta langue sur les dents pour bien tout racler... fais voir, ouvre en grand ? C'est bien, tu es une bonne petite pute à foutre ! Bien, nettoie-moi la bite maintenant » me dit-il en m'enfonçant sa queue légèrement débandée mais encore imposante. Ça a dû bien exciter Manu, car le vois attraper la tête de Yann et lui enfoncer la bite à fond dans sa gorge tout en poussant des râles de plaisir : il lui jouit directement dans la gorge ; le pauvre Yann n'aura même pas eu l'occasion de savourer son nectar : ce n'est qu'un sac à foutre, rien de plus. Une fois qu'ils ont récupéré, les deux M attrapent chacun un coca pour se réhydrater, tandis que Yann et moi continuons à alternativement les pomper et avaler de la pizza pré-machée. Les 3 boites de pizza sont désormais vides, quand Mat dit :

« Vous devez avoir soif, mes chéries, non ? Allez, redressez-vous... Ou plutôt non, restez à genoux, reculez juste un peu et ouvrez vos bouches en grand ! » Et ensemble, comme deux gamins, nos deux Maitres se mettent à essayer de viser leur jet d'urine dans notre bouche. Après nous avoir bien arrosé la tronche, ils arrivent à stabiliser leur jet et nous pouvons boire un peu à la fontaine dorée.

« Bon, et si on passait au dessert, maintenant ? » propose Manu.

« Très bonne idée ! » lui répond Mat « On sort les plats que j'ai apporté ? »

« Humm. Plutôt après ; là je te propose un dessert que Loïc nous a amoureusement préparé... Regarde un peu ce beau gâteau ! », dit-il en attrapant le cake préparé il y a moins d'une heure.

« Oh, un cake au chocolat ? »

« Mmouais, mais pas seulement ! Mets ton nez dessus, tu vas comprendre ! »

« Ouah ! » fait-il après avoir reniflé un petit coup. « Ah oui, il y a une bonne dose de merde, la dedans ! Ça sent bon ! Nos putes vont adorer ! »

« Oui ! Loïc, coupe quatre parts ! Je vais chercher des assiettes et petites cuillers. »

Je coupe donc les quatre parts. La merde de Manu est fondante au milieu de la pâte du cake. Je dépose les parts dans les assiettes que Manu me donne, et sert les Maitres, puis Yann et moi. Mat et Manu s'assoient sur le lit, contre la tête du lit, un coussin dans leur dos et le cul posé dans les draps souillés de pisse et de merde, maintenus à température grâce au matelas chauffant. Ils prennent leur assiette et tous les deux en même temps, goûtent au gâteau.

« Hmmm, divin » fait Mat. « Très bon équilibre entre chocolat et merde. Tu es une bonne pâtissière, toi ! Viens, monte sur le lit entre mes jambes» dit-il en me faisant signe. « Alors comme ça, Manu m'a dit que tu n'aimais pas bouffer la merde ? Une bonne lope comme toi, qui adore se faire arroser de pisse ? Se recouvrir de merde ? Laper du sperme ? Se faire pénétrer cul plein par un long gode ou une grosse bite ? Non, j'ai du mal à croire ça ! Allez, viens là et assieds-toi contre moi entre mes cuisses. Voilà, colle ton dos tout merdeux sur ma poitrine... »

Je me cale bien contre lui. Sa chaleur est agréable. Je sens sa queue qui gonfle sous mes fesses, et il passe sa main pour la remettre en place et la caler correctement dans ma raie. Le gode que j'ai dans le cul doit sans doute le gêner un peu, mais il me le laisse (pour combien de temps ?). Sa main gauche me masse le torse et le ventre. Il joue avec ma merde, du moins celle qui n'a pas encore trop séchée. Il attrape ma queue et joue un peu avec. A la TV, on me voit en train de jouir de gros paquets de foutre sur mon corps couvert de merde ; ça va bientôt être la séance de ma rencontre avec Manu ! Mat, tout en regardant le film, attrape ensuite une cuillérée du cake aux fèces, et la présente à mes lèvres. Il veut me faire manger comme un bébé ! Voyant que je n'ouvre pas la bouche, il pince ma queue et tire violement dessus. Je commence à ouvrir la bouche pour hurler ma douleur, et évidemment Mat en profite pour m'enfoncer le contenu de la cuillère dans le gosier. J'ai un haut le cur, plus lié à la surprise, qu'à la révulsion de la merde.

« Ecoute, mon p'tit pédé... ce gâteau, que tu le veuille ou non, tu vas le bouffer. Après, si tu veux le bouffer tranquillement ou bien dans la douleur, ça ne dépend que de toi. Profites-en, pour l'instant on te donne le choix ! »

Le message est clair, inutile de résister. J'avale la dose que j'ai dans la bouche. A vrai dire, ça n'est ni bon ni mauvais. Ou plutôt, c'est à la fois bon ET mauvais. Le premier goût, celui du chocolat, est agréable ; mais j'ai toujours du mal avec celui de la merde ! Même si ça passe évidemment mieux que « nature ». Une larme me monte à l'il. Comment en suis-je arrivé là ? Est-ce que je ne me suis pas laissé entrainer trop loin ? Mais Mat ne me laisse pas le temps de philosopher : il me présente déjà une deuxième cuillérée. Et elles s'enchainent, les unes après les autres. J'essaye d'avaler le plus vite possible, pour éviter de garder le goût de merde trop longtemps en bouche. Mais ça se voit, et Mat me demande maintenant de bien mâcher tranquillement avant d'avaler. Il avale quelques cuillérées lui aussi entre celles qu'il me donne à manger.

A côté, Yann et Manu ont déjà terminé leur part, et Manu s'est retourné et allongé sur le ventre, tandis que Yann a glissé sa tête entre ses fesses et lui lèche le fion, enfonçant sa langue profondément dans le trou, à la recherche de merde fraiche. Sa queue emprisonnée dans la cage de cuir, bien que molletonnée de merde, doit le faire atrocement souffrir ! Qu'attend donc son maitre pour le libérer ? Pour l'instant, il est occupé à me faire manger une troisième part de cake. Je n'en peux plus. Non que le goût m'est insupportable - on ne peut pas dire que j'aime ça, ce n'est pas vrai, mais au moins j'arrive à l'avaler sans gerber - c'est juste que je n'ai plus faim, je suis plein. Et avec toute la merde que Manu m'a fourré dans le cul avant que Mat et Yann arrivent, la pression commence à devenir difficilement supportable. Mais Mat continue à me gaver.

« Tiens, boit un peu ça t'aidera à digérer » me dit-il en attrapant sa bite et en lâchant un filet de pisse qu'il oriente vers ma bouche.

« Allez, encore une part de cake et ensuite on passera à autre chose » me dit-il...

C'est avec beaucoup de difficulté que je viens à bout de cette dernière part de cake.

Puis Mat m'écarte sur le côté, et regarde plus attentivement son pote Manu, allongé sur le ventre les jambes écartées, en train de se faire bouffer le fion par son mec Yann qui est à quatre pattes entre ses cuisses, lui-même le cul à l'air. Mat attrape la clé autour de son cou, et me la tend :

« Loïc, enlève le harnais de cette petite chienne... Commence par ouvrir la serrure et détacher la grosse lanière qui maintient le gode... Bien... Puis ouvre la serrure sur le côté gauche, et ouvre la ceinture... OK... Et enfin, tire vers l'avant le harnais, en faisant attention à sortir sa petite queue de l'étui en lanières de cuir... Impeccable ! »

A peine libérée, la queue de Yann se met à bander raide ! Le gland est tout violacé ! Sa bite n'est pas très grosse, disons dans la moyenne. Mais elle est super raide et incurvée vers l'arrière : ainsi, elle touche quasiment son nombril alors que Yann est à quatre pattes !

« Bien, maintenant, retire lui son gode du cul, tout doucement. Et toi, t'as pas intérêt à te mettre à chier » gueule-t-il à Yann qui garde la tête plongée dans le cul de Manu. « Pendant ce temps, je vais réchauffer votre deuxième dessert ! »

Il se lève alors et va chercher dans le frigo les 2 plats qu'il a apportés, et sort la bouteille. Il met les plats au four micro-ondes, et attrape deux verres. Pendant ce temps, je tire doucement sur le gode de Yann. Il est vraiment très large, et visiblement très long aussi ! De la merde sort un peu sur le gode, mais je vois que Yann sert les fesses autant qu'il peut afin que ses lèvres de cul raclent bien le gode, et que rien ne sorte de son cul. Quelle maitrise ! Une fois les 25~30cm de gode sortis (!!), Yann referme son trou. Ma queue tressaillit : elle aimerait sans doute bien prendre la place du gode et se faire lécher par ces belles lèvres anales, elle aussi !

Le micro-onde sonne, et Mat sort les plats. Il les pose par terre, l'un à côté de l'autre, au pied du lit, puis gueule :

« Allez, les petites putes ! Mettez-vous par terre, face au-dessus des Tupperware, à quatre pattes et l'un en face de l'autre ! Allez, plus vite que ça ! Bien. Allez, regardez un peu ce que je vous ai préparé ! Ça m'a pris un bon mois, à écumer saunas, toilettes et autres backrooms, pour récolter tout ça »

Mat ouvre en même temps le couvercle des deux boites en plastique, pour faire apparaitre une soupe blanc-jaune bien épaisse... Oh la vache ! Il nous a récolté une pleine boite de sperme chacun ! Comment a-t-il pu faire ça ? Le jus fume légèrement, il est plus chaud que la normale. Ici et là, je vois flotter des petites boules marron... des petites crottes ?

« Bien, vous allez laper tout ça avec votre langue, pendant qu'on s'occupe de vos petits culs. Tachez d'apprécier ce cadeau, sales chiennes ! Je vous ai même mis des petites crottes de chien pour agrémenter votre plaisir. Et au fond, vous trouverez des petits biscuits cuillers imbibés de pisse. Bon, maintenant cambrez bien vos petits culs qu'on y fourre nos queues. Manu, je te sers un verre de pisse ? » Mat ouvre la bouteille et remplit les deux verres. Il en donne un à Manu et garde l'autre pour lui. Ils trinquent et boivent une gorgée, avant de poser leur verre.

Je vois Manu attraper les hanches de Yann et sans aucun ménagement, il enfonce jusqu'à la garde sa grosse bite dans le cul déjà bien ouvert par le gode. Il se met à l'enculer sauvagement, tandis que Yann, qui a la gueule pleine de merde, me fixe du regard, puis plonge la tête dans le plat, lape une bonne dose de sperme, et remonte sa tête vers moi. Il tire la langue, du sperme se met à en dégouliner jusqu'au plat, tandis qu'il avale tout ce qu'il a déjà dans la bouche. La vue est trop excitante !

En même temps, Mat m'arrache le gode du cul, et insère deux doigts à la place

« Oh, ton cul est bien plein, ça va être dur d'y ajouter ma grosse pine. Vas-y, chie un peu pour voir »

Je pousse sur le diaphragme, et sens la merde qui commence à sortir. Mais aussitôt, Mat présente sa queue sur ma rondelle et repousse ma merde de toutes ses forces, et rentre sa queue d'un coup sec en riant.

« Oh oui, salope, j'adore pousser ma queue dans un cul en train de chier ! »

« Aïe !!! » Je ne peux m'empêcher de gueuler ma douleur, tellement il m'a fait mal. Oh le salaud, il m'a bien eu. Il me fait chialer... Je croise le regard de Yann, qui est tout secoué par les coups de butoir de Manu. C'est un regard plein de compassion, de tendresse. Sous son regard, je me détends un peu et ravale mes larmes. Bien que la queue de Mat me bouche le cul, je pousse à fond pour essayer de chier tout ce que j'ai dans le ventre. Je dilate ma rondelle. Mat ressort un peu sa queue, et c'est un gros tas de merde qui sort avec. Mat ramasse tout ce qu'il peut avec ses mains en même temps qu'il renfonce sa queue, et m'essuie ça sur la tronche, sur le torse. Il recommence plusieurs fois, avant de sérieusement commencer à m'enculer, ses deux mains sur mes hanches. De temps en temps il s'arrête pour boire une gorgée.

« Eh, n'oublie pas de laper toute ta gamelle, chienne ! » me dit-il en me donnant une grosse claque sur la cuisse.

Comme Yann en face de moi, je plonge la tête dans le plat, et lape un peu de sperme avec ma langue. Le goût n'est pas aussi bon que celui du sperme frais sortit d'une queue : beaucoup plus rance, plus acide. Mais je m'exécute malgré tout, encouragé par Yann qui me montre l'exemple, et a déjà quasiment bouffé la moitié de sa gamelle. J'attrape du bout des dents, avec appréhension, une petite crotte et l'avale avec une lapée de sperme. Berk, c'est dégueu... vraiment pas mon truc, décidemment... Mais je n'ai pas le choix, j'avale. Les biscuits à la pisse, eux, passent un peu mieux. Les coups de butoirs continuent, Mat et Manu se mettent au même rythme.

« Prenez chacune une pleine bouchée de jute, et embrassez-vous pendant qu'on vous masse la prostate, chiennes. Oui, comme ça. Oh que c'est excitant de voir vos 2 gueules pleines de merde s'embrasser comme ça, avec du sperme qui coule dans le coin de vos lèvres... Allez, dépêchez-vous de finir vos gamelles avant qu'on vous remplisse le cul... Oui, à pleine bouche, comme ça... Hmmm vous m'excitez grave, sales putes ! Oh je vais jouir encore ! Tu entends ça, Manu ? Je vais mouiller le cul de ta chienne avec une bonne dose de mon jus de mâle ! »

« Vas-y, je t'en prie ! Je vais sans doute faire pareil d'ici peu avec ta pute aussi ! Hmmm, que son cul est agréable ! »

« Oh oui, Oui, OOOUIII ! Oh, je jouis !!!! »

« Moi aussi, Oui, OOOUI ! »

Nos deux maitres jouissent en même temps dans nos culs, alors que Yann et moi finissons juste nos gamelles et nous roulons une bonne pelle bien juteuse. Manu est le premier à déculer et il demande à Yann de se retourner pour lui lécher la bite :

« Nettoie-moi bien la queue de mon jus ainsi que de toute ta merde, cochonne. Et toi, Loïc, pendant ce temps, lèche-lui le cul et bouffe toute la sauce que je viens d'y fourrer ! »

Pendant que je commence le nettoyage, Mat reste dans mon cul, et attrape la bouteille et remplit les verres de pisse. Manu et lui se désaltèrent, et boivent 3 verres chacun. Yann s'ouvre sous les caresses de ma langue, et le sperme de Manu coule de son fion jusqu'à ma langue. J'avale tout au fur et à mesure, sous l'il attentif de Mat qui se penche en avant, son ventre contre mon dos. Je sens alors mon cul se remplir : Mat me pisse dedans, pour mon grand plaisir.

Lorsque j'ai léché tout le sperme de Manu, et - malgré moi - avalé une certaine dose de merde au passage, Manu dit :

« OK, ça suffit. Maintenant Loïc, il est temps de terminer ton intronisation en tant que chienne. Pour ça, tu vas te faire mettre par une autre chienne ! Yann, passe derrière lui et plante lui ta queue dans le cul. Encule-le de toute tes forces »

Etant à quatre pattes, je ne vois pas la tête de Yann au moment où il présente sa queue dans mon cul. En tout cas, c'est tout timidement qu'il me l'introduit. Trop timidement, visiblement, pour Mat qui dit :

« Attend un peu, je vais t'aider : je vais te mettre ma queue dans le fion pendant que tu l'encules, comme ça tu ne seras pas trop perdu ! »

Au moment où Yann se fait fourrer le cul par la queue de Mat (qui est encore bien ferme bien qu'il vienne de jouir), je sens sa bite tressaillir dans mon propre cul. Et c'est avec plus de puissance qu'elle entre et sort de mes entrailles. Sa forme très incurvée, est super agréable : bien que de taille moyenne, elle me masse très agréablement. Pris en sandwich entre Mat et moi, Yann semble aux anges. Mat et Manu rigolent et me traitent de tous les noms. Pour ma part, bien que la bite de Yann me procure du plaisir anal, au fond de moi je me sens humilié, réduit à moins que rien. Pour marquer le coup, Manu me pisse sur la gueule, sur les cheveux, puis force sa bite dans ma bouche et me force à la boire. Il n'en faut pas longtemps avant que Yann me crache sa purée dans le cul, mélangée à celle de Mat, ainsi qu'à sa pisse et ma merde. Dans l'histoire, je suis le dernier à ne pas avoir joui, mais l'envie m'en a quitté. Je suis lessivé, et surtout je me sens complétement nul... comme une grosse merde, une larve, un déchet. Humilié, utilisé comme une chiotte, y compris et surtout par Yann, lui-même chiotte de Mat...

Sans trop attendre, Mat se retire de Yann et le tire vers lui. Ils montent s'allonger tous les deux l'un contre l'autre sur le lit. Manu se lève et part chercher quelque chose. Il revient quelques secondes après avec un saladier, celui qui a servi pour le cake.

« Tiens, vide toi la dedans » m'ordonne-t-il. Toujours à quatre pattes, je relâche un peu mon sphincter, et sans avoir à forcer, j'entends le liquide couler dans le saladier : sperme de Yann, pisse de Mat. Je me laisse aller et je sens cette fois que c'est de la merde qui s'échappe de mon cul. Celle que Manu m'a fourré dans le cul ce midi à coup de pistolet - ou du moins ce qu'il en reste.

« Apparemment, c'est bon » me dit Manu après quelques instants « Retourne toi et regarde ça ! ». Mat se redresse aussi pour regarder, tandis que je me retourne. Je jette un il au saladier : un gros boudin marron, de diamètre étrangement très régulier, flotte au milieu d'un liquide jaunâtre virant au marron, dans lequel flotte aussi des trainées blanches de sperme. On dirait le contenu d'une cuvette de WC dont la chasse n'aurait pas été tirée depuis plusieurs jours !

« Allonge-toi sur le lit, sur le dos, maintenant »

Oh non, il ne va pas me faire bouffer ça, quand même ? Et si ! Il me fait ouvrir la bouche en grand, et penche le saladier au-dessus :

« Allez, boit un peu, ça va te faire du bien. Je retiens la merde avec les doigts, je te laisse juste le liquide : estime-toi heureux, quand même ! Allez, encore un peu... Voilà, c'est bien »

Manu jette un coup d'il à Mat, qui est allongé et regarde la scène, caressant les cheveux de Yann qui a la tête posée sur ses cuisses. Mat se redresse et nous dit :

« Bon, maintenant, Yann et toi vous allez tous les deux dans la salle de bain... Pas celle-ci dans la chambre, mais l'autre. Vous allez prendre ce plat (il attrape un des plats qui contenait la merde chaude que Manu m'a étalé sur le corps ce matin) et ce racloir (un modèle de ramasse-miettes comme utilisent les serveurs dans les restaurants). Vous allez ramasser le plus gros de la merde que vous avez sur le corps, et la mettre dans le plat. Ensuite, vous utiliserez cette bouteille de pisse pour vous rincer un peu (la bouteille est vide aux deux tiers ! il doit à peine rester l'équivalent de deux verres de pisse). Interdiction d'utiliser un gant ou de l'eau : vous utilisez uniquement votre corps et cette pisse. S'il en reste, ce n'est pas grave, le but est d'enlever le plus gros de la merde séchée, pour que votre peau respire un peu, avant de remettre ça cet après-midi. Manu et moi restons là, on a des affaires à régler tous les deux, on viendra vous chercher quand on aura fini : vous avez le temps... Allez, ouste ! »

Ça alors, nos Maitres nous abandonnent ? Sans m'en rendre trop compte, je fixe Manu, attendant qu'il me dise quelque chose, ou je ne sais quoi... Mais rien, il ne me regarde pas, et continue à regarder Mat. Je sens alors la main de Yann qui attrape la mienne et tire dessus. Je tourne la tête vers lui, et ses yeux m'invitent à le suivre. Nous laissons donc Mat et Manu, et allons dans la pièce de l'autre côté du couloir, main dans la main, Yann attrapant au passage le plat, le racloir et la bouteille de pisse...

« Ça va ? » me dit Yann, d'une voix douce et feutrée, une fois arrivé dans la salle de bain. C'est la première fois que je l'entends depuis qu'on a été présenté. Sa voix est très apaisante. Il me regarde avec beaucoup de compassion ; il pose la bouteille, le plat et le racloir par terre, puis attrape mes mains dans les siennes.

« Comment tu te sens ? » me redemande-t-il.

« Je... je ne sais pas, ça va, je crois... en fait, je ne sais pas trop ». Et soudain, je me mets à pleurer de façon incontrôlée. Yann se colle à moi, me prend dans ses bras et offre son épaule sur laquelle je laisse tomber ma tête.

« Ça fait beaucoup de nouveautés, pour toi, non ? » me dit-il « Te faire utiliser de la sorte par deux Maitres ! Etre forcé à boire de la pisse, à bouffer du sperme et surtout de la merde ! Te faire mettre cul plein par deux mâles particulièrement bien membrés ! Te faire mettre un collier de chien ! Te faire traiter de chienne, de salope ! Te faire recouvrir intégralement de plusieurs couches de merde, de pisse, de gerbe, de sperme ! Et surtout, te faire mettre par un Soumis comme moi... J'imagine très bien que ton intronisation doit te travailler moralement. Je le sais, car je suis passé par là moi aussi... ». Tout en me parlant ainsi, lentement et à voix douce, Yann me caresse tendrement, une main dans mes cheveux (qui sont un peu raides à cause de la couche de merde qui a séché dedans), l'autre alternant entre mon dos et mes fesses. Il me laisse me calmer sur son épaule, et patiente ainsi plusieurs minutes, sans rien dire. Je me calme petit à petit. Je lève la tête et le regarde droit dans les yeux. Et d'un commun accord implicite, nous nous embrassons sur les lèvres, nos mains sur les fesses, nous serrant l'un contre l'autre.

« Tu veux qu'on s'allonge ? » me demande-t-il gentiment. Je lui réponds oui de la tête. Il se met à genoux, puis s'assoit contre le mur de la douche. Il me fait signe pour que je pose ma tête sur ses cuisses, ce que je fais. « Ferme les yeux et repose-toi un peu » me dit-il, en me massant les pectoraux, les abdos. Et il se penche et me fait une bise sur le front. Je ferme les yeux, et me laisse porter par la tendresse de ses caresses. En même temps, il entreprend de racler la merde que j'ai dans les cheveux ; délicatement, avec ses ongles, mèche par mèche. Il mouille ses doigts avec sa salive et les passe ainsi dans ma tignasse, quand la merde est trop sèche et que ça me tire sur le cuir chevelu. Il se vide ensuite les doigts et les ongles dans le plat que Manu nous a mis à disposition. Ainsi pomponné, je me relaxe, et le laisse s'occuper de moi. Ma queue retrouve de sa vigueur, mais je m'en fiche. Longtemps après (5min ? 15min ? 1h ??), il soulève ma tête avec sa main. Surpris, car je commençais à m'endormir, je rouvre les yeux. Je le vois se pencher vers moi et m'embrasser à nouveau, avant de se remettre à genoux et de reposer délicatement ma tête au sol, sur une serviette qu'il avait eu la délicatesse d'attraper auparavant. « Referme les yeux » me dit-il doucement. Puis il attrape le racloir, et commence à me nettoyer le visage, tout en douceur. Il racle la merde au niveau de ma barbe de trois jours, comme s'il voulait me raser. Puis le nez, le front, le cou. Il soulève le collier pour racler autour. Parfois, je sens son souffle sur ma peau qui a retrouvé un peu d'air libre, avant de sentir sa langue me lécher érotiquement, sans doute pour enlever des paquets de merde récalcitrants. Sa délicatesse me transporte, ma queue se raidit de plaisir. Je sens d'ailleurs Yann l'empoigner, avant de sentir une chaude sensation puis une pression sur mon gland : j'ouvre les yeux, et le voit, face à moi, me regardant, les deux genoux de chaque côté de mes flancs, en train de s'empaler sur ma bite, sourire aux lèvres. Une fois bien installé sur ma bite, il reprend son nettoyage et racle la merde sur mes pectoraux, mes bras, mes abdos. Je n'ai plus envie de fermer les yeux : je le regarde faire. Voyant ça, il fait de légers mouvements de bassin en même temps qu'il m'enlève le plus gros de la merde du corps, ce qui a pour effet de lentement faire monter la tension en moi, sans non plus chercher à me faire jouir rapidement, bien au contraire. Sans déculer, il tourne sur lui-même et entreprend de me nettoyer les jambes. C'est plus difficile, car je suis assez poilu sur les jambes, et en plus la merde a beaucoup plus séché ici que sur le reste du corps (j'ai reçu moins de pisse à ce niveau, sans doute). Mais comme Manu nous y a autorisé, Yann ne cherche pas à tout nettoyer, seulement à ôter le plus gros de la bonne couche de merde, qui atteint très souvent un bon centimètre d'épaisseur, et parfois deux ou trois à certains endroits !

Une fois ce côté fini, à l'exception du bassin, Yann se relève. Je me redresse aussi, et le couche à mon tour pour lui rendre la pareille. Moi aussi, je m'assois sur sa bite fièrement dressée le temps que je le nettoie. La tâche m'est plus facile : déjà, il n'a pas de merde dans les cheveux. Et nettement moins que moi, sur le corps. Quand je vois tout ce qu'on a déjà retiré et déposé dans le plat, je suis bluffé ! Je ne pensais vraiment pas qu'on en avait autant sur nous ! Et encore, il m'en reste plein autour de la bite, entre les cuisses et sur tout le dos. Yann, lui, en a peu dans le dos, mais il en a beaucoup aussi autour de la queue et sur le cul. Je me lève et recule un peu, en regardant sa queue, racloir à la main.

« Hmm... Désirez-vous que je vous fasse le maillot, Monsieur ? » Lui dis-je avec des manières d'esthéticien, tenant le racloir comme un rasoir. Le sourire m'est désormais revenu, et reprend plaisir à jouer avec Yann.

« Mais faites donc, mon cher ! Occupez-vous de mon corps comme il se doit ! Je m'abandonne à vous » répond-il sur le même ton. Nous éclatons tous les deux de rires, et continuons ainsi notre nettoyage dans un bon esprit de camaraderie. Alors que je suis à plat ventre et que Yann en est à me nettoyer les fesses, je lui souffle :

« Encules moi, s'il te plait »

« Tu es sûr ? »

« Oh oui, vas-y, j'en ai envie. Et je me sens vide, ça fait tout bizarre. »

« OK. J'en ai envie aussi »

Il me prend ainsi, tout doucement. Il s'allonge sur mon dos, enfonce sa queue bien à fond, et me masse la prostate avec sa forme incurvée et la rigidité propre à son jeune âge. Puis il se met sur le côté, me tirant contre lui.

« Oh, je suis désolé, je crois que je vais jouir, déjà... tu veux que je me retire ? »

« Non, non, jouis moi dans le cul » lui dis-je

Et je sens de puissants jets de foutre frapper l'intérieur de mes intestins. Tout en crachant son foutre en moi, Yann me mordille l'oreille gentiment.

« Reste en moi, et sers-toi contre moi » lui dis-je. Je ferme les yeux, et profites de ce moment de repos agréable. Quelques minutes plus tard, je reprends la conversation.

« Dis-moi, ça fait longtemps que tu connais Mat ? »

« Bientôt six mois. En fait, j'ai compris assez tôt que je suis un garçon plutôt soumis, qui a besoin d'un mec sûr de lui, capable de chercher mes limites et de les pousser toujours plus loin. J'aime aussi les câlins et les moments de tendresse, mais c'est vraiment quand je suis humilié et traité en salope, ou qu'on me torture (légèrement) que je jouis le plus facilement. J'avais donc posté une annonce sur un site SM : je cherchais un Maitre pour me goder, me fister, me travailler les seins, ou encore m'humilier en publique, ou me mettre à disposition de bandes de mâles en manque. Mat a répondu à mon annonce, me disant que je correspondais à la plupart de ses critères, et en me demandant toutefois si j'aimais aussi les pratiques uro/scato. Je lui ai répondu honnêtement, à l'époque, que je ne connaissais pas mais que j'étais prêt à tout pour satisfaire mon Maître. Et très rapidement, il a fait de moi une véritable chiotte et amateur de pisse et de merde. Il m'a souvent promené ici et là couvert de merde, et loué à des potes à lui qui se sont lâchés sur moi, contre rémunération... Maintenant, je vis chez lui, c'est lui qui s'occupe de moi, qui me nourrit, me loge, m'habille. Il place une partie de l'argent qu'il se fait sur mon dos sur un livret à mon nom, et me dit que si un jour il ne veut plus de moi, ou s'il lui arrivait un problème, que cet argent me reviendrait, comme un salaire... Mais là, tout va bien, je n'en ai pas besoin... Je suis plutôt heureux comme ça. Aujourd'hui, c'est un peu particulier pour moi : c'est la première fois qu'il m'emmène pour s'occuper d'un autre soumis : quand je t'ai vu, couvert de merde et un collier autour du cou, j'ai été très surpris, et j'ai eu peur car je ne savais plus, du coup, quelle était ma place. Est-ce Mat m'avait amené ici pour me dire que je n'étais pas une bonne lope, et me montrer un exemple d'une vrai lope ? Je ne te cache pas que ça a été ma première réflexion quand je t'ai vu au tout début : te voir avec toute cette merde sur le corps, debout, un collier au cou, ouvrir à des inconnus... tu m'as fait une sacré impression ! Et petit à petit, j'ai compris qu'en fait, tu es un débutant en pleine intronisation. Je trouve personnellement que Manu y va un peu fort avec toi, qu'il va un peu trop au-delà de tes limites... Quand j'ai vu à quel point tu te forçais pour bouffer le cake à la merde, ou encore quand tu t'es fait ramoner cul plein, le nez dans le plat de sperme, j'ai bien vu que tu n'étais pas dans ton assiette, que tu n'en pouvais plus. Et ma crainte, ma jalousie de toi, s'est peu à peu transformée en compassion... Je suis plutôt content de constater que ça va mieux maintenant »

Je me libère de son étreinte et me retourne vers lui. Son histoire, ainsi que sa clairvoyance, m'ont beaucoup touché. Je lui passe la main dans ses beaux cheveux en fixant ses yeux où brillent toute sa tendresse et son intelligence. Je l'embrasse encore une fois.

« Merci. C'est grâce à toi et ton exemple, que j'ai pu tenir le coup jusqu'au bout, même si j'ai par moment eu beaucoup de mal... Je suis assez d'accord avec toi, sur le fait que Manu a été largement au-delà de mes limites... Mais souvent, à chaque fois qu'il l'a fait, j'ai aimé ça. Depuis ce matin, je dois bien reconnaitre que j'ai joui à plusieurs reprises comme jamais auparavant ! Et je suis prêt à recommencer ! Mais depuis que vous êtes arrivés, j'ai l'impression qu'il a cherché à aller plus loin, qu'il s'est un peu moins soucié de moi, comme s'il voulait démontrer quelque chose à Mat... D'ailleurs, tu sais si Mat et Manu se connaissent depuis longtemps ? »

« Euh, non, je ne sais pas trop. Je n'ai vu jamais vu Manu avant. Mais de ce que tu me dis, et de ce que j'ai pu entendre de la bouche de Mat aussi avant qu'on vienne, j'en déduis que Manu a dû être une lope de Mat avant. Je pense que c'est Mat qui l'a initié en tant que Soumis, mais il n'a pas dû trouver son compte et voulais aussi être Dominateur... C'est pourquoi il aurait voulu montrer à Mat à quel point il savait te dominer, même si c'était au prix d'aller plus loin que tes limites »

« Tu crois ? C'est vrai que même ce matin, Manu a souvent alterné entre des moments où il jouait, complice avec moi, et se soumettait aux mêmes règles... Et d'autres moments où il cherchait à me dominer, à dépasser mes limites... comme quand il m'a fait vomir en enfonçant sa queue pleine de merde dans la bouche, en retenant ma tête pour pas que je puisse m'échapper... »

« Il a fait ça ? ... Hmmm, oui ça confirme donc un peu ce que je pensais...»

« Du coup, quand Mat disait que lui et Manu avaient des affaires à régler... »

« ... Je pense que Mat veut signaler à Manu qu'il n'a pas été correct avec toi... Mais je peux me tromper, ça peut être toute autre chose ! Mais ne t'inquiète pas, va ! Jusqu'à maintenant, on ne les a pas entendus crier ou se battre, il ne faut pas se faire de soucis pour eux... Laissons-les entre eux, et occupons-nous de nous ! »

Joignant le geste à la parole, il roule sur le dos et m'attrape sur lui. On s'embrasse tendrement, lèvres contre lèvres, bite contre bite. Je descends sur son torse, encore un peu marron mais dont on voit la peau. Je continue à descendre sur sa queue. Là, il reste encore beaucoup de merde. Avec le racloir et avec mes doigts, j'ôte délicatement autant de merde que possible. Puis j'attrape la bouteille de pisse et m'en verse un peu dans la main, avant de masser les couilles de Yann, son pubis, et toute la longueur de sa verge. La pisse devient marron en dissolvant les restes de merde, et je racle le tout avec le ramasse-miettes. Je recommence deux fois avec un peu de pisse propre. Finalement, Yann est pratiquement débarrassé de résidus merdeux. A mon tour maintenant. Yann procède pareil... Sauf qu'il se passe de pisse, et utilise sa langue et sa salive à la place. Lorsqu'on est tous les deux « propres » (enfin, relativement), Yann sur le dos et moi allongé sur lui, je lui souffle dans l'oreille :

« J'aimerai bien t'enculer... tu veux bien ? »

« Bien sûr ! Vas-y » et restant sur le dos, il remonte le bassin et ses jambes, qu'il remonte au niveau de ses oreilles en écartant les cuisses... Je suis impressionné par sa souplesse !!! Sa rosette est ainsi bien exposée devant moi. A genoux devant ce beau petit cul, je glisse un doigt dedans ce trou obscène, pour constater qu'il est bien souple et ouvert, mais surtout encore bien plein de merde ! J'attrape ma bite et pousse le gland entre ses lèvres anales. Je rencontre peu de résistance, la merde glisse facilement autour de ma queue tellement le conduit de son cul est large. Aussi je rentre ma queue rapidement jusqu'au fond. Puis je baisse mon ventre, et m'allonge sur lui, en position comme pour faire des pompes. D'ailleurs, ce sont bien des pompes que je fais, la bite bien au chaud dans son cul accueillant. Yann gémit de plaisir, tandis que des gouttes de transpiration commencent à couler sur mon front. Je continue à le pistonner, et même si des crampes commencent à me venir dans les bras, j'accentue le rythme, sentant ma jouissance approcher.

« Oh oui, je vais te jouir dans le cul, Yann... Oh, je sens que ça vient... Oui... OUUI ... OOOOUUUUI ! » Et je lui lâche une nouvelle dose de purée dans le fion. Sans me retirer, je m'allonge sur lui et l'embrasse, puis pose ma tête sur son épaule pour souffler un peu. Mais à peine la tête posée, je sens un liquide me couler dans le dos. Je me retourne, et aperçois Mat et Manu, tous deux discrètement rentrés dans la salle de bain et en train de nous pisser dessus. Je regarde Manu plus attentivement... Mais... Il a le visage complétement recouvert de merde autour de la bouche et du nez ! Et derrière ses couilles qui pendent à la base de sa queue bandée raide, j'aperçois qu'il a une sorte de queue de cochon qui dépasse du cul ! Il a un de ses plugs enfoncé dans le fion ! Mais qu'ont-ils fait tous les deux dans la chambre, pendant qu'on se nettoyait ?

Chapitre 4 : 14h30-20h

Mots clés : sodo, piss, scat, bareback, à 4, godes, sling, fist, double pénétration

« Eh bien, je vois que vous ne vous êtes même pas reposés, tous les deux ? » dit Mat, la queue toujours en train de nous arroser de pisse. « J'espère que vous ne le regretterez pas, car l'après-midi est loin d'être fini encore ! Surtout pour toi, Loïc ! »

« Allez, debout et suivez-nous. » poursuis Manu

« Tu veux qu'on nettoie la salle de bain avant ? » dis-je à tout hasard en me levant. Manu regarde l'état général puis dit :

« Non, ça va : tu nettoieras ça tout à l'heure... à coup de langue »

« A... à coup de langue ?!?! » je répète hébété, cherchant le soutien de Yann du regard.

« Mais non, je rigole... » lâche Manu entre deux pouffées de rire, en attrapant le plat qu'on a quasiment rempli avec toute la merde qu'on avait sur nos corps, Yann et moi.

Quel humour ! Mais bon, je préfère ça. Nous allons tous les quatre dans la chambre. Maintenant que j'ai nettement moins de merde sur moi, je suis beaucoup plus sensible à l'odeur lorsqu'on rentre dans la pièce : une odeur forte de pisse, de merde, de mâle. C'est aphrodisiaque. Ma queue est à nouveau toute raide, et je constate que nous sommes tous dans le même état. C'est assez incroyable, vu le nombre de fois que nous avons déjà joui les uns et les autres.

« Loïc... Tu voulais essayer le sling, non ? » me dit Manu

« Oh, oui, j'aimerai beaucoup »

« Alors allonges-toi dessus... là... maintenant on va t'attacher les mains et les pieds aux chaines. Tu seras intégralement à notre merci ! Des objections ? »

« Euh... non, je vous fais confiance... du moment que vous ne me forcez pas à bouffer votre merde... »

« Si c'est ta volonté ! Mais c'est dommage que tu fasses un blocage là-dessus... »

« Je... je vais essayer de travailler ça, mais s'il vous plait, laissez-moi aller à mon rythme. S'il vous plait »

Manu regarde Mat ; visiblement ils ont dû discuter de ça tous les deux, car Mat répond par une mimique qui ressemble beaucoup à un « tu vois, je te l'avais dit ». Il accepte alors ma demande d'un simple « OK » puis entreprend, avec Mat, de me fixer poignets et chevilles sur des sangles prévues à cet effet sur le sling. Une fois allongé, je vois mon reflet dans le miroir fixé au plafond.

Mat me regarde ensuite, en me caressant sur tout le corps, les couilles, la bite, le visage, les cheveux. Il découvre rapidement que je suis chatouilleux, et en profite pour tester quelles sont les zones qui me chatouillent le plus. Manu s'y met aussi, et l'un à mes pieds, l'autre sur les flancs, ils me « torturent » ainsi, profitant que je ne puisse pas bouger pour me tordre de rire sous les chatouilles. Yann reste en retrait, attendant une consigne de son Maitre. Celui-ci prend d'ailleurs la parole :

« Loïc, tu n'es pas vilain comme ça, mais je crois que tu m'excites bien davantage quand tu es tartiné de merde. Manu, tu veux bien m'en sortir un plat ? »

« Avec plaisir. Mais ce sera le dernier au chaud... Après, il y a le plat qui contient la merde qu'ils viennent de racler sur leur corps, le saladier plein avec la merde que Loïc avait chiée, et celle qu'on a ramassée sur les draps et un peu partout dans la chambre... »

« Oui, mais celle-ci, je préfère la remettre dans leurs culs et les nôtres... Tu pourrais peut-être la réchauffer un peu, par contre ? »

« OK ! Tiens, en attendant, voici le plat ! » dit Manu en refermant l'étuve du pied derrière lui.

Et je redécouvre le plaisir de me faire tartiner de merde. Surtout que je vois tout via mon reflet sur le miroir : à la fois acteur et spectateur, quel pied ! J'en bande deux fois plus ! Pendant que Mat me masse avec la merde fraichement sortie de l'étuve et encore à 40°C, Manu entreprend de réchauffer le saladier quelques secondes au micro-onde, puis il remplit une cartouche de son contenu réchauffé, pour me l'injecter dans le cul avec le pistolet. Yann, lui, a pour tâche de me donner sa bite à téter. Le fait d'avoir 3 mecs qui s'occupent ainsi de moi, est très excitant. Manu me met la buse dans le cul et m'injecte la première cartouche, avant de remplir la suivante. Mat, lui, me tartine les cuisses et la bite. Il me surprend en approchant sa bouche et me taillant une pipe, léchant la merde en même temps. Il ne fait que quelques allers-retours, avant de s'approcher de moi pour m'embrasser, les lèvres pleines de merde. Yann retire sa bite de ma bouche, et se maintient à côté, laissant la place à son Maitre. Mais Mat reste le visage à quelques centimètres de ma bouche, et se contente de me regarder, m'interrogeant du regard. Il attend mon accord avant de m'embrasser. Je suis plutôt touché par l'intention, et lui fait oui de la tête, même si au plus profond de moi je me dis que je fais une bêtise. Mat s'approche donc et m'embrasse ; ses lèvres merdeuses me laissent un goût âcre sur les miennes, mais j'encaisse... Je l'embrasse et lui lèche les lèvres, en même temps qu'il me branle la bite de ses mains merdeuses et que je sens la merde me rentrer dans le cul. Dès que Mat se redresse, Yann vient me redonner sa bite à téter, et Manu finit de m'injecter la deuxième cartouche dans le cul. Quel pied !

« Je sais que tu es capable d'en prendre bien plus dans le cul, mais il faut que j'en garde un peu pour nous aussi, Loïc. Désolé ! »

Manu jette à terre la deuxième cartouche vidée, et aussitôt vient plonger sa queue dans mon fion. Il commence alors à m'enculer vigoureusement. Le sling balance sous ses coups de butoirs, ce qui a pour effet d'accentuer chaque coup et décupler mon plaisir : c'est vraiment royal ! Par contre, je n'arrive plus à garder en bouche la bite de mon pauvre Yann, tellement je suis trop remué. Mat demande alors à Manu :

« Est-ce que ton sling est capable de porter deux personnes ? »

« Oui, sans problème ! Le plafond a été renforcé à ce niveau par une plaque d'acier ! Il y a en plus, comme tu peux le voir, quatre poteaux en renforts au niveau de chacune des chaines. Les maillons de ces chaines, justement, sont largement dimensionnés pour supporter des charges importantes, de même que le cuir de la balançoire. » Répond Manu, en suspendant temporairement son enculage.

Mat ordonne alors à Yann de monter s'allonger sur moi. Une fois en place, il se frotte bien sur moi, écrasant la merde chaude entre nos deux corps. Mat attrape ma bite et la guide vers le fion de Yann. Dès que Yann l'a bien au fond, Manu reprend son enculage. Ouah : que c'est bon ! A la fois enculé et enculant ! Une expérience nouvelle pour moi, mais au combien jouissive ! Mat entreprend alors de badigeonner de merde le dos de Yann. Dix minutes plus tard, Manu se retire (il dit qu'il ne veut pas jouir tout de suite), et Mat prend sa place. Hmmm ; c'est bon : sa queue donne une sensation encore différente, encore plus agréable. Avec toute la merde que j'ai dans le fion, sa grosse queue me donne une sensation de plénitude extraordinaire. Je sens que je ne vais pas tarder à jouir dans le cul de Yann, d'autant plus que celui-ci s'agite de plus en plus sur ma bite. Il ne se branle pas directement, mais frotte son bas ventre contre mon nombril, et je sens à chaque fois sa bite gonflée à bloc se presser contre mes abdos. Le sling se balance au rythme de nos gémissements de plaisir.

Pendant ce temps, Manu remplit une nouvelle cartouche de merde. Puis il présente la buse entre les fesses de Mat qui pour le coup, ralentit un peu la cadence, à mon grand regret. Il ne me donne que de tous petits coups, la bite bien au fond, pendant que Manu lui vide deux cartouches entières de merde dans le fion. Cela semble encourager Mat qui reprend son enculage avec des mouvements encore plus amples qu'avant. Il sort carrément sa bite de mon cul à chaque passage, pour me la renfoncer d'un coup sec aussitôt.

« Oh que ton cul plein est bon, Loïc ! Oh tu vas me faire jouir ! Oh Oui ! OOUI ! Oui, prend ma purée, salope ! Ahh je te crache tout ma sauce dans ta merde ! Oui ! »

Puis il sort sa queue de mon cul, aussitôt remplacée par celle de Manu qui prend le relai. Elle est pleine de merde, et je vois des gouttes de sperme briller sur le gland. Il contourne le sling et s'approche de nos gueules. Yann est le premier à engouffrer dans la bouche la bite de son Maître. Mais Mat ne l'entend pas ainsi et sors lentement sa bite à travers les lèvres de sa pute. Je vois les joues de Yann rentrer dans sa bouche : il aspire et exagère la succion. Sans doute le fait-il pour garder le maximum de merde dans sa propre bouche. Il me fait un clin d'il discret : oui, j'ai deviné juste ! La bite de Mat ressort en effet encore marron, humide, mais débarrassée du plus gros de la merde. Mat alterne entre nos deux bouches, et alors que c'était moi qui ai son gland en bouche et que Yann léche ses boules, je sens ma bouche se remplir d'urine. J'essaye d'avaler au fur et à mesure, poussant des petits gémissements étouffés. Mais de la pisse s'écoule par le coin des lèvres. Yann comprend aussitôt ce qu'il se passe et vient m'embrasser et lécher la pisse qui sort. Mat sort sa queue de ma bouche, toujours en train de pisser, et Yann et moi lui léchons le gland, nos visages arrosés de pisse. Voyant ça, Manu pousse des gémissements de plus en plus forts et accentue son enculage qui devient vraiment sauvage.

« Oh oui, je sens que ça vient. Oh ! Prend ma jute dans ton cul, OOOOOOUUUUIII ! »

Moi-même je sens ma jouissance arriver et soulève mon bassin pour foutre ma queue bien au fond de Yann avant de cracher toute ma sauce.

Sans perdre un instant, Manu se retire et dit :

« Yann, descend et prend le relai : encule-moi ton petit copain de niche et montre-lui que même si tu es une bonne chienne bien obéissante, tu n'en es pas moins un homme ! »

Oh, mais ça je le sais déjà ! Pas besoin de me le rappeler ! Je vois Yann se soulever. Ma bite sort de son cul, accompagnée par un filet de jus blanc. Il descend du sling et vient prendre la place de Manu. Manu, lui, vient s'allonger sur moi mais en 69. Il me lèche la queue et avale mon jus échappé du cul de Yann. En même temps, il force sa queue pleine de merde entre mes lèvres. Cette fois, Yann n'est pas passé par là pour la nettoyer. C'est donc une nouvelle fois forcé que je prends son gros calibre couvert de merde en bouche et un haut le cur me soulève la poitrine. Mes yeux sont rivés sur le cul de Manu, lui aussi bien merdeux, et son plug qui a, à l'extérieur, une forme de queue de cochon. D'ailleurs, Mat qui arrive derrière ma tête, attrape cette queue de cochon et tire dessus. Oh la vache, c'est que le plug est énorme à l'intérieur ! Mat retourne de l'autre côté du sling et s'adresse à Yann :

« Tiens petit, je vais te mettre ça dans le fion, ça va t'aider un peu »

« Merci, Maitre » répond Yann avec une toute petite voix, et un grand sourire de soulagement. Visiblement, il ne doit pas avoir souvent le cul vide, et ça doit le déstabiliser...

Une fois qu'il a bien mis le plug en place, Mat attrape le pistolet, remplit la cartouche et vient la présenter au niveau du cul de Manu, et donc au-dessus de mon nez... Je le vois rentrer la buse dans le trou, au milieu de l'amas de merde déjà présent. Il appuie ensuite plusieurs fois sur la gâchette et je vois le piston avancer tout doucement, et même si bien sûr je ne le vois pas, j'imagine un boudin de merde en train de se former dans ses boyaux... Lorsque la cartouche est vide et que Mat retire la buse, un morceau de merde me tombe sur les yeux. Mat le pousse du doigt et me l'étale sur le visage. Puis il recommence l'opération avec une deuxième cartouche de merde. Pendant ce temps, Manu me pisse un peu dans la bouche tout en me pompant au même rythme que les coups de reins de Yann. Manu est quand même beaucoup plus lourd que Yann ; et même si je suis aux anges avec une bite dans le cul pendant qu'on s'occupe de la mienne, je finis par manquer d'air, surtout avec la grosse pine de Manu dans la bouche. Mais étant pieds et mains liés, et n'ayant pas la possibilité de parler, je souffre en silence et tente malgré tout de profiter du moment. Mat, qui a fini d'injecter la deuxième cartouche dans le fion de Manu, racle dans le fond du saladier et le fond du plat, et rassemble de quoi faire une troisième cartouche. Il vient se positionner derrière Yann, pistolet à la main, et attrape avec l'autre main la queue de cochon du gode. Il appuie fortement sur le gode pour l'enfoncer un peu plus dans le fion de Yann, qui du coup pousser un peu plus fort sa bite dans mon propre cul. Yann gémit de plaisir et accentue ses mouvements. Son souffle devient plus rapide, et c'est en restant silencieux, mais un visage très expressif, qu'il me jouit dans le cul. Dès qu'il s'est vidé, Mat le chasse de mon cul et vient y planter la buse de la cartouche de merde... Ah, mais c'est encore pour moi ? Mais Yann n'en a pas eu, lui ! D'un autre côté, c'est lui qui s'est le moins vidé depuis ce midi... Sans attendre, Mat pousse le contenu de la cartouche dans mon fion, dans lequel je dois maintenant avoir un beau sandwich « merde / sperme / merde / sperme / merde »... Au MacDo, il détrônerait le BigMac ! On l'appellerait le « 3M » : le Magnifique Mac'Merde !

Manu descend du sling, enlève le gode du cul de Yann et ordonne à celui-ci de remonter s'allonger sur moi, tout en prenant ma bite au fond de son cul. En même temps, Mat m'enfonce sa queue dans le fion, poussant ainsi toute la merde contre ma prostate. Ça me donne une grosse envie de pisser, et je me lâche dans le cul de Yann. Une ou deux minutes plus tard, Mat se retire de mon cul :

« Tiens, Manu, viens sonder son cul avec ta bite et dis-moi ce que tu en penses : je pense que j'ai poussé la merde suffisamment au fond, non ? »... Manu se présente entre mes cuisses et enfourne sa queue d'un coup sec. Après quelques rapides allers-retours, il répond :

« Oui, ça a l'air plutôt dégagé »

« Bien, alors on va passer au gabarit supérieur. Tu vas chercher tes spécimens ? »

Mais de quoi parlent-ils ? Alors que Yann est allongé contre moi, la tête couchée sur mon torse, une main me caressant la poitrine et l'autre les cheveux, je vois Manu aller vers sa commode et piocher dans le tiroir à sextoys trois gros godes, dont un qui me semble monstrueux, qui doit faire dans les 40cm de long et 8 à 10cm de diamètre... Il passe le plus petit du trio à Mat, qui le graisse de merde en le frottant bien sous ses couilles. Puis Mat le présente à l'entrée de mon cul et pousse, sans même avoir à trop forcer. Ouah, quelle sensation ! Il continue à pousser contre la merde emmagasinée dans mon cul. C'est à la fois douloureux, et agréable. Il sort complétement le gode et un peu de merde avec, puis le rentre à nouveau. A chaque mouvement, c'est plus agréable. La merde sort du cul au fur et à mesure. Lorsque Mat estime que mon cul est habitué à ce gode, il le pose sur mon torse, à côté de la tête de Yann : ce dernier l'attrape et se met à le lécher comme une grosse sucette. Il me propose de le lécher aussi, mais je ne préfère pas. Mon attention se porte plutôt sur Manu qui est en train de passer le deuxième gode à Mat. Sans attendre, celui-ci me le rentre dans le cul. Il est déjà beaucoup plus gros, et mon sphincter a du mal à l'avaler. J'essaye de me détendre, et après quelques mouvements de Mat, j'arrive à l'accepter. Mat recommence les allers-retours progressivement plus profonds. Pendant ce temps, Manu ramasse la merde qui sort de mon cul, et l'étale sur nos corps, Yann et moi. Plusieurs minutes plus tard, Mat échange le gode bien crade qu'il me retire du cul, contre le mastodonte que Manu tient dans sa main. Manu donne le gode couvert de merde à Yann pour qu'il le lèche, et reprend le premier désormais bien propre. J'ai des doutes sur ma capacité à avaler ce gigantesque gode... Bien que ma rondelle ait été préparée très progressivement, le gland de cette bite en latex a du mal à franchir la porte entrouverte. Mat pousse, pousse encore. Et Manu me dit « Pousse, pousse encore ». Yann pousse, pousse encore sa merde contre ma bite, et comme pour m'encourager, se redresse un peu et tout en m'embrassant, entreprend de bouger son bassin, lui permettant ainsi de branler ma bite au milieu de la merde dans son cul, en même temps qu'il frotte sa propre queue contre mon ventre. Je me détends et d'un coup, le gode fait un saut de 10cm en avant, le gland ayant franchi la première porte. Je pousse un cri de douleur, ou un cri de victoire, à moins que ce ne soit un cri de plaisir... Manu me regarde, sourire aux lèvres : « C'est bien, je suis fier de toi ». Puis il vient de l'autre côté du sling, présente son cul au-dessus de mon visage, m'offrant une vue... inhabituelle, et magnifique. Puis je vois son cul s'ouvrir, et un étron de merde commencer à sortir. Il pousse ainsi un énorme boudin sur ma face, avant de se retirer et se retourner. Yann vient alors l'écraser et l'étaler, sur mon visage et le sien, sur mes épaules, mon cou, partout où ses mains accèdent sans pour autant arrêter de remuer son petit cul autour de ma bite.

Une fois que les deux tiers du gode sont rentrés dans mon cul, ayant ainsi évacué une bonne dose de merde que Mat m'a bien étalé sur les cuisses, Manu vient échanger sa place avec Mat. C'est lui qui reprend les mouvements de va-et-vient, avec il faut le reconnaitre, moins de tendresse que son prédécesseur. Mat est parti chercher l'appareil photo, et immortalise la scène, zoomant parfois sur mon cul, sur mon corps, sur Yann couché sur moi, sur ma bite dans le cul de Yann, la couche de merde sur mon visage... Hmmm, j'espère qu'ils me partageront toutes ces photos ! Manu arrive à faire rentrer plus de 30cm de plastique dans mon fion. Je panique un peu : mon cul va-t-il pouvoir se refermer correctement après une telle dilatation ? Pendant ce temps, Mat vient à son tour vider le contenu de ses intestins sur ma gueule. Yann, qui s'est complétement redressé et assis sur ma queue, ramasse au fur et à mesure tout ce qui sort, et le fait trainer en l'étalant bien, jusqu'à mon ventre. Il forme un gros tas au niveau de mon nombril, puis il se recouche sur moi, en se remuant pour bien écraser la merde entre nous deux, sa queue plongeant en plein dans le tas de merde qu'il avait préparé. Il se branle ainsi contre mon ventre. Manu, quant à lui, a réussi à rentrer l'intégralité du gode dans mon fion. Je n'en reviens pas : je ne pensais pas être si ouvert que ça ! Après avoir fait quelques allers-retours, il sort complétement la chose pleine de merde, et comme pour les précédents, il nous la pose entre ma bouche et celle de Yann, qui s'empresse de la lécher avidement.

Mat et Manu sont tous les deux passés entre les cuisses, et se mettent à genoux. Je sens alors des doigts passer entre mes fesses, et me rentrer dans le cul :

« Oh, Loïc, ton cul est tellement ouvert que Mat arrive à rentrer directement les 5 doigts de sa main sans aucune difficulté ! » dit Manu. Sans aucune difficulté, il va vite quand même ! Je sens quand même bien une grosse pression sur ma rondelle au moment où Mat cherche à faire passer son poignet ! Mais il y va progressivement : il rentre et sort ses doigts, répartissant au fur et à mesure, avec son autre main, la merde qu'il ramasse dans mon fion sur l'ensemble de son poignet. La merde étant bien grasse, elle lubrifie le passage. Après plusieurs minutes de va et viens, je sens soudain une pression plus forte que les précédents sur ma rondelle, et d'un coup, le poignet est passé. Ouille. Mat reste comme ça quelques minutes pour que je m'habitue à la présence d'un tel volume étranger dans mon corps. Puis il tourne son poignet à l'intérieur, et avec ses doigts appuie à différents endroits dans mon intestin, notamment sur ma prostate. C'est extraordinaire. Je gémis de plaisir, et mon corps tout entier est secoué de spasme. Yann se redresse et affiche un grand sourire sur ses lèvres : il est heureux que je prenne autant de plaisir. Il lève et baisse son bassin, en rythme avec les mouvements de main de Mat. Je crie mon plaisir :

« Oh c'est bon ! Oui ! oh je jouis ! OUIIII » et je lâche une nouvelle dose de foutre dans le cul de Yann, exténué. Mais Mat ne s'arrête pas pour autant, il continue ses mouvements d'entrée-sortie, de rotation du poignet, de massage de l'intérieur avec les bouts de ses doigts. Après plusieurs minutes, peut-être un quart d'heure, je ne sais pas, il se retire et propose à Manu de prendre la place. Puis tous les deux, ils alternent leurs mains, l'une après l'autre, dans mon fion. Je suis complétement déchiré, mais j'adore la sensation. Ma queue n'en débande à aucun moment. Mat et Manu se branlent en même temps qu'ils me fistent.

Après plusieurs dizaines de minutes, Manu se lève et me décroche les poignets du sling. Mes bras alors libérés me semblent très lourds, et tout engourdis. Je ne sais pas exactement depuis combien de temps je suis sur le sling, deux heures peut-être ? Je cherche la pendule : et oui, il est déjà 17h ! Pas étonnant que je sois complétement atrophié ! Yann descend du sling et regarde les Maitres me détacher. Mat lui demande de prendre l'appareil photo et de tout photographier. Pendant ce temps, Mat me défait les fixations au niveau de mes mollets. Même chose : je ne sens plus mes jambes !! C'est Mat qui les attrape et les pose par terre. Puis il attrape mes bras en même temps que Manu me pousse dans le dos. Une fois debout, Manu me maintient dans ses bras, tandis que Mat recule se coucher sur le dos sur le bord du lit, tenant sa bite à 90°. Manu m'accompagne jusqu'à lui et me soutiens, alors que je cherche à mettre un pied devant l'autre, mes jambes étant toutes tremblantes.

Je pose un genou sur le lit, puis avec un gros effort, pose l'autre genou de l'autre côté des haches de Mat. Je viens ensuite m'empaler sur sa grosse queue, que je ne sens quasiment pas : c'est comme si je m'étais juste enfoncé le petit doigt dans le fion ! Mon dieu, mais dans quel état est mon trou du cul ? Mat attrape mes épaules et me tire vers lui. Il m'embrasse, et maintient ma tête contre la sienne, alors que je sens derrière moi Manu qui présente sa queue contre ma rondelle. Il la pousse à l'intérieur, contre la bite de Mat. Oh oui, les deux Maitres m'enculent en même temps. Là, je retrouve de la sensation... Et quelle sensation ! C'est super agréable ! Yann tourne autour de nous et nous photographie. Je le vois insister beaucoup sur mon visage, où doit certainement s'afficher tout le plaisir que je prends ! Manu sort et rentre sa bite dans mon cul, se frottant à celle de Mat en même temps. Je ne pensais pas qu'une double pénétration pouvait être aussi agréable ! Mais c'est le cas sans doute uniquement car le fist-fucking auquel j'ai eu droit auparavant a bien préparé le terrain ! Sans parler de toute la merde qui lubrifie bien les mouvements... Et puis... ça fait plus de 9h qu'on joue avec mon cul : ça ne peut qu'aider !!

Je prends vraiment mon pied ! Et je ne suis pas le seul, vu les gémissements que Mat et Manu poussent ! Seul Yann est un peu oublié dans l'affaire. Mais pas longtemps : Mat lui attrape l'appareil et lui demande de me donner sa bite à téter pendant qu'il s'occupe de mon cul avec Manu. Yann pousse donc sa queue merdeuse entre mes lèvres et je le suce, en prenant soin de ne pas le mordre, ce qui n'est pas simple tellement je suis secoué, physiquement et moralement, par cette fantastique double-sodo ! Toute en tenant l'appareil photo dans une main, Mat enfonce deux doigts de l'autre main dans le fion de Yann, ce qui fait tressaillir sa queue dans ma bouche. Quelques instants plus tard, je l'entends qui dit :

« Yann, retourne toi et donne-moi ta queue à lécher. Pendant ce temps, Loïc, lèche-lui le cul »

« Et passe bien ta langue entre ses fesses » renchérit Manu qui se pence un peu plus sur moi, tout en continuant à remuer le bassin. « Oui, c'est ça, ramasse un peu de merde avec ta langue »

Je suis tellement excité avec mes deux queues de Maitres dans le cul, et peut-être aussi parce que j'ai été progressivement préparé tout l'après-midi, que j'arrive à lécher sans trop de dégoût.

« Oui, pousse ta langue dans sa rondelle de petite pute. Encule-le avec ta langue » dit Manu

Je sens Yann trembler et gémir. Mat recrache la queue de Yann pour se pencher un peu et mieux voire ; il dit à Yann :

« Alors, tu aimes ça, hein, petite chienne ! Allez, lâche-toi et libère tout ce que tu as dans le cul pour Loïc ! Loïc, essaye de tout prendre en bouche. Tu avales si tu peux, mais on veut te voir la bouche remplie, on veut te voir mâcher, te voir savourer la merde de Yann, qui est de la merde de premier choix, de la merde fraiche et non de la merde reconditionnée comme celle dont on a fourré nos culs ! »

Et à ce moment, alors que ma langue est bien au fond du trou, je sens un étron sortir. J'ouvre la bouche et le laisse entrer entre mon palais et la langue. Mat et Manu enfoncent leur bite au fond de moi, tout en me regardant avaler la merde de Yann. L'étron n'en finit pas de sortir. Je mâche un peu et écrase la merde pour faire un peu de place. Pouah, ce n'est vraiment pas bon. Mon estomac se soulève, mais je ne vomis pas. Yann continue à pousser. J'ouvre la bouche encore plus grand, et en même temps essaye d'étaler toute cette merde sur le cul de son producteur.

« Eh, tricheur, tu crois que je ne te vois pas ? » me crie Manu, tout me giflant les fesses. « On t'a dit de tout prendre en bouche. Alors soit tu avales, soit tu ouvres plus grand, tu te débrouilles, mais interdiction de l'étaler partout ! »

J'ouvre donc plus grand, et mâche encore un peu. Le goût devient vraiment trop fort et infect pour moi. Je ne sais pas comment des mecs scat arrivent à avaler la merde sans broncher : ils ne doivent plus avoir aucun sens du goût ? Heureusement pour moi, ça fait quelques secondes que plus rien ne sort du cul de Yann. Oups, à peine ai-je pensé ça que je vois une nouvelle petite crotte sortir. J'essaye de la coincer entre mes lèvres et mes dents, mais je ne maitrise plus grand-chose tellement ma bouche est pleine. Yann avance, se retourne, et me laisse là, la gueule ouverte pleine de merde, à la vue de mes deux Maitres. Mat photographie, Manu tout en mâtant, attrape mes hanches et m'encule sauvagement, sa bite poussant celle de Mat à côté. Yann s'approche à nouveau, et attrape sa queue dans sa main droite. Il présente le gland dans le tas de merde qui cache ma bouche, et pousse un peu.

« Allez, avale, Loïc » dit-il. « Avale ! Avale ! Avale ! » crient Mat et Manu en chur.

De toute façon, je ne tiens plus la position : soit je recrache tout, soit j'avale, mais là j'ai du mal à respirer. Et le goût devient vraiment insupportable, je vais vomir. Alors, j'avale. Une première gorgée, puis une deuxième. Mes trois spectateurs voient ma glotte monter et descendre alors que je continue à vider le stock. J'ai plusieurs haut-le-cur. Je mâche un peu, il y a désormais un peu plus de place. Mais Yann la remplit aussi tôt, en poussant sa queue dedans et en utilisant ma bouche comme un trou du cul (d'ailleurs, il ne doit plus y avoir une grosse différence désormais entre mes deux trous !). Et comme il fallait s'y attendre, cela me provoque un haut-le-cur supplémentaire, mais cette fois, bien plus fort, bien plus violent : je me mets à vomir et à recracher toute la merde que je viens d'avaler. Le vomi sort sur la queue de Yann et dégouline sur le visage de Mat qui s'était approché dessous pour mieux voir. J'ai plusieurs contractions ainsi, et c'est vraiment une grosse quantité de vomi et de merde que je régurgite. Yann et Mat s'essuient au fur et à mesure et m'étalent la substance sur le visage. Ils semblent adorer ça. Manu aussi : je sens sa queue gonfler dans mon cul, il ne doit plus être loin. Yann attrape ma tête et m'enfonce sa queue bien au fond de la gueule, me provoquant une nouvelle et dernière contraction et un peu de vomi supplémentaire sort sur ses couilles. Au bout de quelques allers-retours, il me crache une bonne dose de foutre au fond de la gorge. Manu aussi se met à me jouir dans le cul en poussant de gros cris virils.

Puis Manu se retire doucement, laissant Mat seul dans mon cul béant. Il va s'allonger sur le dos à côté de Mat. Celui-ci m'attrape sous les cuisses, et sans déculer il me soulève et se met debout tout en me portant. Quelle force ! Il se retourne face à Manu, et me dépose par terre. Il se retire de mon cul juste le temps de me retourner, puis se colle à nouveau à mon dos et renfonce sa pine au fond de moi. Il m'attrape la bite, qui a un peu débandé lorsque j'ai vomi. En quelques mouvements de poignet, il lui redonne sa vigueur et la guide vers le cul de Manu qui a levé les jambes au niveau de sa tête. Avec sa propre queue dans mon fion, il pousse ma bite au fond de Manu. Yann vient se positionner au-dessus du visage de Manu, sa bite dirigée vers moi. Manu plonge son nez entre les fesses qui s'offrent à lui et se met à nettoyer toute la merde qui y traine. Sous ses coups de langue experts, Yann se met à me pisser à la tronche. J'avale une partie de la pisse, ce qui me rince la bouche des restes de merde et de vomi. Mat, lui, accélère le mouvement dans mon cul. C'est complétement passivement que j'encule Manu. Une fois qu'il a fini de pisser, Yann s'assoit carrément sur la face de Manu, et vient m'embrasser. Je n'en peux plus, et lâche une nouvelle dose de jute bien fraiche dans le cul de Manu. Ma jouissance provoque de petites contractions de mon cul, auquel Mat n'est pas insensible : à son tour, il râle de plaisir et jouit au plus profond de moi. Je m'écroule, exténué, sur Manu. Mat se couche sur mon dos. Quelques minutes après, je le sens pisser dans mon cul... Sa queue débande et sort de mon cul. Du coup, pisse et sperme se mettent à couler sur mes cuisses. Yann, qui entre temps est passé derrière, vient laper tout ça.

On reste ainsi quelques minutes, à retrouver notre souffle. Puis Mat se redresse et dit :

« Bon, il commence à se faire tard, il serait temps de commencer à se nettoyer, non ? »

« Oui, sans doute. Mais souviens toi ce que je t'ai dit tout à l'heure » répond Manu avec un regard complice vers Mat.

« Oh, mais je n'ai pas oublié, ne t'inquiète pas ! Bon, les petites putes : direction les chiottes ! Vous vous lavez la tête - et uniquement la tête pour le moment - dans la cuvette. Vous utilisez vos mains pour bien vous décrasser les cheveux, le visage et le cou. Vous pouvez aussi boire l'eau des chiottes pour vous rincer la bouche. Yann, pour une fois je t'autorise à tirer la chasse autant de fois que nécessaire. Pendant ce temps, Manu et moi on prend une douche. »

Ça alors, ils nous laissent nous laver... dans les chiottes ?! Comme c'est humiliant ! Mais... J'espère que Manu me laissera me laver correctement après, quand même ! Car là je ne peux pas rentrer chez moi ainsi. Je me regarde dans le miroir : je ne suis pas beaucoup mieux que ce midi. Même si je ne suis pas entièrement couvert de la tête aux pieds d'une belle couche uniforme comme ce matin, j'ai une bonne couche de merde sur la quasi-totalité du corps. J'ai surtout plein de merde au niveau de la bouche. Quand je l'ouvre pour regarder dedans, je suis stupéfait : j'ai plein de merde sur les dents, sur la langue, partout ! Pas étonnant que j'ai un sale goût dans la bouche !

Yann passe devant, et me propose de se nettoyer en premier, pour me montrer comment il fait habituellement. Il se met à genoux devant les chiottes et remonte la lunette. Il enlève le bloc de bleu WC (« Ne laisse jamais ça dans les chiottes quand tu te laves, ça tâche la peau... sauf si tu veux ressembler à un Schtroumpf ! », me dit-il). Il plonge ensuite la tête dans la cuvette et avec ses deux mains, il attrape de l'eau au fond et se frotte les cheveux avec. Puis il recommence et se frotte le front. Petit-à-petit, il se débarrasse de toute la merde. L'eau au fond de la cuvette devenant trop marron, il tire la chasse. Il boit un peu dans le creux de ses mains, et se fait un gargarisme avant d'avaler.

« Alors, est-ce qu'il me reste encore de la merde ? » me demande-t-il

« Oui, là un peu derrière ton oreille, et là au-dessus de ton il »

« Tu veux bien m'aider à tout nettoyer ? » me demande-t-il

« Bien sûr »

Et je plonge mes mains dans les chiottes pour bien les laver, avant de nettoyer le visage et le cou de Yann. Lorsque celui-ci est propre (du moins, pour la partie du visage...), nous échangeons nos places. Je commence, seul, à enlever le plus gros. Puis Yann m'aide à mon tour pour les finitions. Il nettoie aussi le collier en cuir que je porte depuis ce matin. Je tire à nouveau la chasse, et me rince la bouche. Je me brosse les dents avec mon index droit, et fait plusieurs gargarismes pour tenter de bien me rincer la bouche... mais le goût reste.

Mat arrive, mouillé et avec une serviette autour du cou (elle devait être blanche initialement, mais là de nombreuses trainées de merde la décore désormais !). Il est très loin d'être parfaitement propre ! On voit encore de nombreuses traces de merde un peu partout sur le corps. Mais son visage est parfaitement nettoyé.

« Allez, on se dépêche de se rhabiller, il faut qu'on arrive au salon avant 18h30, il ne nous reste qu'une demi-heure ! Ce n'est qu'à trois stations de métro d'ici mais il faut marcher un peu ! »

Co...comment ça ? Ils veulent qu'on sorte comme ça ? Plein de merde sur le corps ? Et puis, je suis en costard moi, je ne vais quand même pas remettre mon costard sans me laver correctement avant ! Qua va dire mon mari à la maison ce soir ? Heureusement, je vois Manu arriver avec des fringues dans les bras.

« Tiens, Loïc, pour toi. Je ne suis pas un monstre, je ne vais quand même pas te laisser crader ton costard ! Mais la prochaine fois, pense à prendre des vêtements de rechange ! ».

J'enfile le jean troué qu'il me passe. Pas de slip ou de caleçon. Les trous sont tellement gros, que j'imagine qu'on doit voir ma peau crade à travers ! Puis je mets le haut, une sorte de vieux sweat qui sent la pisse. Une fois habillé, Manu vérifie :

« OK, pas de merde trop apparente, tu es sortable ! Bon, dépêchons-nous. »

Yann et Mat remettent la tenue qu'ils avaient en arrivant, tandis que Manu met lui aussi un jean et un tee-shirt. Il a un peu de merde sur le coude, que Mat essuie avec sa serviette. Puis Manu pousse tout le monde vers l'entrée, laissant derrière nous un véritable terrain de guerre, avec pisse et merde partout. Il ouvre la porte d'entrée, et nous sortons tous. Une fois dans le hall, où l'air est frais, c'est vraiment là que je prends conscience de l'odeur de la merde qui nous accompagne. Je suis rouge de honte. Et encore, là il n'y a personne... Nous descendons l'escalier, et sortons dans la rue. Là, nous croisons les premiers passants. Rien. Mais 10s après, un couple nous croise et nous regarde bizarrement. 2m plus loin, je les vois se retourner et regarder sur le trottoir, puis le mec lève son pied et regarde sous sa chaussure pour vérifier s'il n'a pas « marché dedans »... Oh non, la honte ! Pourvu qu'ils ne comprennent pas que ça vient de nous ! Pas le temps de s'attarder pour connaitre la suite, Mat et Manu nous poussent en avant vers la bouche de métro la plus proche. Quelle folie, prendre le métro aux heures de pointes, quatre mecs aux odeurs qui dérangent quasiment tout le monde sauf les malades comme nous, dont deux complétements couverts de merde sous leurs fringues ! Une fois sur le quai, le métro suivant est annoncé pour dans 2 minutes. Déjà, des gens s'éloignent un peu de nous, en nous regardant étrangement. Je baisse la tête, rouge de honte. Yann, à côté de moi, semble par contre moins gêné. Au contraire, son entre-jambe est bien gonflé. Contrairement au trajet aller, Mat ne lui a pas remis son harnais et donc sa bite est libre de s'exprimer... ce qu'elle ne manque pas de faire, très visiblement. Mat et Manu, eux, ne semblent pas plus gênés que ça. Au contraire, je les vois se masser le paquet, pas très discrètement. Manu dit d'une voix assez forte en approchant sa main de moi :

« Merde, j'ai même pas pensé à lui ôter son collier, à mon petit toutou ! Bah, ce n'est pas bien grave, au moins comme ça il affiche fièrement sa position dans la société ! »

Une dame plutôt âgée, qui s'était déjà un peu éloignée sans doute à cause de l'odeur, entend ça et me regarde avec une mine de dégoût avant de partir à l'autre bout du quai. Le métro arrive enfin, et nous laissons descendre avant de rentrer dans une rame bien chargée, mais pas bondée non plus. Je baisse la tête, préférant ne pas regarder la tête des autres voyageurs. Mais à l'arrêt suivant, je ne peux que constater, honteusement, que la plupart de nos voisins descendent de la voiture pour aller à celle d'à côté. Il y a même un jeune mec qui me bouscule en passant, en se bouchant le nez, et en disant :

« Eh gars, j'sais pas si c'est qu't'a marché d'dans en v'nant, ou ben si c'est qu'tu t'es pas lavé depuis des s'maines, mais alors qu'est-ce que tu chlingues ! »

Je baisse la tête et sens le rouge me chauffer les joues... voyant ma gêne, le mec se rapproche de moi et, pas trop fort, il me dit rapidement alors que la sirène de fermeture des portes commence à sonner :

« Ou alors, vu la tronche que tu tires, c'est qu't'as chié dans ton froc ? »

Mais il va me lâcher, ce mec, oui ? Manu et Mat se retiennent de rire à côté de moi, et semblent prendre un grand plaisir à la situation. Yann lui semble un peu gêné pour moi... Le mec me regarde bizarrement, et du coup les portes se referment avant qu'il ne sorte. Heureusement, c'est une petite station, et personne ne monte.

« Eh, j'te cause ! » dit-il plus fort, « T'as chié dans ton froc ? »

Merde, je fais quoi, moi ? Il me saoule, lui... Et puis zut, autant dire que oui, comme ça au moins il me foutra la paix. Je lève la tête vers lui... C'est qu'il n'est pas vilain, le gosse...

« Oui... Désolé... je...euh, je pensais pouvoir me retenir jusqu'à chez moi... mais je n'ai pas réussi... c'est... euh... c'est à cause des médocs... euh... il me donnent la chiasse... »

« Putain, c'est con pour toi... » dit-il avec une mine de dégoût « J'te plains... Mais tu pourrais quand même penser aux autres et éviter d'prendre le métro dans cet état, merde ! ... Enfin, moi, j'descends à la prochaine en tout cas, car tu chlingue trop ! »

Et effectivement, à la prochaine, il descend...Mais pas discrètement ! Il dit fort aux gens qui attendent sur le quai : « rentrez pas là ; y'a le gars là (il me pointe du doigt... vite, je baisse la tête), qui a chié dans son froc, c'est une vrai infection... ». Du coup, les gens montent à côté, sans oublier de me jeter un regard de dégoût. D'autres passagers de notre voiture descendent aussi, tandis que les moins sensibles se lèvent pour aller à l'autre bout de la voiture. Putain, que j'ai honte ! Pourvu que je ne croise personne que je connais !

A la station suivante, Mat me pousse en riant : « Allez, on descend là ! » Ouf, quel soulagement ! C'est presque en courant que je sors de la station, en ignorant le regard des gens qu'on croise dans l'escalier. Mat nous guide dans les rues à la sortie du métro. On marche pendant 10min avant d'arriver à une porte d'immeuble. Mat appuie sur le bouton de l'interphone, en se mettant bien en face de la caméra, et peu après, la porte s'ouvre. On entre dans une belle cour intérieure. Chose très surprenante, il y a trois enseignes dans cette cour intérieure, un peu cachées derrière des arbustes en pot. On n'aurait jamais pu les deviner depuis la rue : les clients ne peuvent être que des connaisseurs. Sur la première enseigne, je peux lire « Le fesses'tin cul'inaire », écrit entre deux dessins de culs de mecs... Tout un programme ! Ça ressemble à un café ou un restaurant, avec 3 tables et des chaises en extérieur. La vitre est toutefois teintée, on ne voit pas l'intérieur. Un couple de trentenaires sirote une bière autour d'une des tables. Ils sont torse nu tous les deux. La deuxième enseigne affiche « A poil et à vapeur - SPA pour hommes » C'est vers celle-ci que Mat nous dirige. Manu se tourne vers moi :

« Tu te souviens, la première fois qu'on s'est vu, je t'avais parlé d'un copain esthéticien qui tient un institut réservé aux hommes... Eh bien, c'est lui qu'on va voir. Pour te présenter à lui, et voir s'il peut te trouver un créneau pour s'occuper de toi... intégralement ! »

On ouvre la porte du salon, et un beau jeune homme nous accueille. Il est vraiment très séduisant ! Son visage et sa carrure sont un mélange des mannequins Adam Ayash et Bernardo Velasco. Derrière lui, un jeune coiffeur, torse nu lui aussi, s'occupe de tailler les cheveux d'un mec assez âgé tranquillement installé dans son fauteuil, légèrement en arrière. Ce n'est que quelques secondes après que je remarque une tête bouger entre les jambes du client qui, en plus de se faire tailler les cheveux, est visiblement en train de se faire tailler une pipe !

« Eh ! Mat ! Manu ! Quelle surprise ! » Il les embrasse chaleureusement. Puis il se tourne vers Yann : « Toi, je te reconnais aussi ! Tu es un de nos clients réguliers... Attends... Yann, c'est ça ? » dit-il en s'approchant de lui. Yann confirme de la tête tandis qu'il se penche pour l'embrasser.

« Ouah, quelle odeur ! Oh, vous, vous n'arrivez pas du boulot ! Vous avez passé la journée à jouer dans la merde, mes chéris ? Vous avez bien raison, c'est tellement bon ! Mais pensez quand même à bien vous nettoyer, bien vous dégraisser et surtout vous hydrater la peau. Ce serait dommage de l'abimer, cette belle peau, hein mon beau ! » dit-il en caressant la joue de Yann. Puis il se tourne vers moi :

« Par contre, je ne crois pas qu'on se connaisse, beau gosse... »

« Euh, non effectivement. Je suis Loïc... »

Il s'approche de moi et me fait la bise.

« Ouah, mais c'est que tu sens encore plus fort que Yann ! »

« Et oui : c'est ma nouvelle petite pute à merde. » répond Manu à ma place. « J'ai fait sa connaissance par hasard il y a quelques semaines, pendant le boulot. Je l'avais repéré à l'odeur. Et aujourd'hui il a vécu une initiation...très intense ! Mat et Yann m'ont bien aidé pour ça. Il a eu une journée très remplie, où il n'a pas arrêté d'être vidé par tous les trous... pour être rempli aussitôt ! »

« Hmm ! Eh bien, je te souhaite bienvenue dans le club très fermé des amateurs de merde !...Alors, dites-moi ce qui vous amène ? »

« C'est justement à propos de Loïc. » répond Manu. « Je souhaiterais que tu le prennes en charge, pour un relooking complet : une bonne coupe des cheveux, une épilation au laser du cul et du dos, une tonte des poils du torse, du ventre, des jambes, des bras...Bien lui tailler les poils sur ses couilles et sa bite... Bref, la totale quoi. Et puis aussi, pour le récompenser de ses efforts aujourd'hui, un massage intégral et la formule « soin complet spécial » dont on est tous très friand »

« OK, je vois... Par contre, je ne pense pas avoir de créneau libre avant la fin du mois ! Il y a pas mal de demandes, et pour les formules complètes, je ne peux prendre que 3 mecs par créneau, et uniquement les vendredis et samedis ! Attends, je regarde sur l'agenda... Au plus tôt, je peux le prendre dans trois semaines, vendredi de 14h à 19h »

« Ah, ce n'est plus sur une journée complète maintenant ? » dit Manu, surpris

« Et non. Je suis victime de mon succès. Il y a tellement de demandes, que j'ai dû revoir un peu les soins et réduire la durée à 5h. De 8 à 13, ou de 14 à 19. Mais tu sais, en 5h, on a le temps de bien s'occuper de vous. Surtout que j'ai recruté des nouveaux gars, très mignons et très pros ! »

« Loïc, tu te rendras dispo à ce créneau, OK ? » me demande Manu

« Euh, oui... ça devrait être possible. Mais... »

« Pas de mais qui tienne. Je t'offre le meilleur soin que tu ne pourras jamais recevoir dans ta vie, alors tu vas te débrouiller pour te rendre dispo. Compris ? »

« Oui... Maître ! »

Je baisse la tête, soumis à sa volonté.

« Oh qu'il est mignon, ce petit esclave ! Je peux regarder sous son sweat ?» demande le patron du lieu.

« Oui, bien sûr Steph ! Tu peux même le foutre à poil ! »

« Oh oui ! Loïc, tu veux bien retirer ton sweat pour moi ? Oui, montre-moi un peu ton corps, que je vois le travail à faire ! »

Je retire donc mon sweat. Je suis assez confiant, car j'ai bien compris que Steph est lui aussi amateur de merde. Et je vois le coiffeur ainsi que le client se tourner vers moi : eux aussi semblent très intéressés par le spectacle. Seul le gars qui est à genoux en train de sucer la queue du client, reste à sa tâche, très pro. Steph tourne autour de moi, en me tâtant la peau encore couverte de merde. Je ne sais pas ce qu'il peut bien voir comme ça, ma peau n'est pas très visible ! Mais si ça se trouve, il veut juste mater !

« Très mignon, tout ça ! Apparemment, pas trop poilu, de ce que je peux voir entre la merde. Tu peux baisser ton jean, maintenant ? » dit Steph, admiratif, et la queue bien tendue dans son pantalon en toile.

J'ouvre le jean et le laisse tomber à mes pieds. Ma bite, libérée, se redresse d'elle-même.

« Ouah, bien monté en plus ! Et quel beau boule ! J'adore les petits culs rebondis comme le tien ! ». Il passe sa main entre mes fesses, attrape quelques poils du cul, et tire dessus. « Effectivement, tu es par contre très poilu au niveau des fesses ! Tu vas en baver pour te nettoyer ce soir, petit ! Bon, on s'occupera de tout ça bientôt, mon beau ! Tu peux te rhabiller, maintenant ! Ouah, regarde dans quel état tu m'as mis, petit malin » il me montre son entre-jambe : une barre raide part sur le côté de son fute : sa bite ne semble ni aussi longue que celle de Mat, ni aussi grosse que celle de Manu, mais reste de taille honorable. Surtout, au bout, une petite tâche humide est apparue sur la toile du pantalon ! Visiblement, je l'ai fait mouiller !

« Tiens, suis moi ! » poursuit Steph qui se dirige vers l'ordi. Il rentrer le RV dans son agenda, puis ouvre un tiroir. Il attrape une boite qu'il me remet. « Dedans tu trouveras 7 gélules. Tu en prendrais une tous les soirs avant de te coucher, avec un grand verre d'eau, la semaine qui précède ton RV. »

« C'est quoi ? » je demande

« C'est une sorte de drogue... Douce, je te rassure, totalement inoffensive et sans risque d'addiction, en tout cas pas chimiquement... mais je reconnais qu'une fois qu'on y a goûté on en redemande ! Elle agit un peu comme du viagra, mais bien plus fort ! Elle rend plus sensible tout le corps, ce qui décuplera considérablement le plaisir que tu vas prendre pendant ton soin. Elle a pour effet secondaire, pas désagréable, de donner la trique, et aussi d'augmenter la vitesse et la quantité de production de sperme. Avec ça, au bout de 6~7 jours de traitement, tu seras capable de jouir de grosses quantité de foutre jusqu'à 4 fois par heure ! Sans jamais débander ! Par contre, la drogue a pour effet négatif qu'elle rend ce sperme complétement infertile ; donc si un jour tu veux faire des enfants - on ne sait jamais - alors il faudra te sevrer au moins 3 bonnes semaines avant d'ensemencer Madame ! Mais à part ça, aucun effet indésirable n'a encore été détecté. Toutefois, dès jeudi et surtout vendredi matin, peut-être même dès mercredi suivant la réaction de ton organisme, je te conseille de mettre des slips bien rigides pour aller au boulot, car tu risques de bander fort pour un rien ! Je préfère te prévenir !»

« Euh... OK... et, euh... Merci ! » dis-je en bégayant.

« Bien ! » dit Matt « Merci beaucoup, on va te laisser travailler ! Bonne soirée, Steph ! Et à bientôt » ajoute-t'il, en l'embrassant.

On lui dit tous en revoir, on salue aussi le coiffeur et le client qui pousse des petits cris de plaisir. On voit alors la tête se relever : elle appartient à un beau métisse, torse nu, qui s'essuie le coin des lèvres où coule une trainée de foutre fraichement recueilli à la source, tout en nous disant au revoir de la main. Dans la cour, Mat et Yann se tournent vers nous.

« Bon, eh bien nous on vous laisse là. Manu, tu pourras me ramener dans la semaine les affaires qu'on a laissées chez toi ? Notamment le harnais du p'tit ! »

« OK, pas de problème ! Bonne fin de journée ! » répond Manu

Je les regarde, surpris. Ils nous quittent déjà ?

Manu se tourne vers moi : « Ils habitent ici, dans l'immeuble au-dessus du resto ! » me dit-il.

Ah, je comprends mieux ! Mat s'approche de moi, je lui tend la joue pour lui faire une bise mais il attrape ma tête et m'embrasse sur les lèvres. Puis il m'ouvre la bouche avec ses doigts et me crache dedans.

« A bientôt, petite chienne ! J'espère que tu as aimé ta journée ! » et il me fait un clin d'il !

« Oui ! Enfin globalement, je crois... » je lui réponds.

Yann ensuite s'approche de moi et me serre contre lui. Je sens sa bite complétement dressée à travers son pantalon en cuir. Il m'embrasse tendrement, passant sa main dans mes cheveux.

« Je suis content d'avoir fait ta connaissance ! » me dit-il avant de se retourner une larme à l'il. Ils s'en vont alors vers l'escalier de l'autre côté de la cour, tandis que nous rentrons chez Manu.

« Ça t'ennuie si on évite le métro pour rentrer ? » je lui demande, presque suppliant !

« OK, on va rentrer à pied. Il n'y en a que pour une demi-heure de marche. Je pense que tu as eu ta dose pour aujourd'hui, non ? Ça aura été une journée bien remplie ! »

« Bien remplie, oui... Mais là, moi, je me sens surtout bien vide, au sens propre comme au sens figuré ! »

« Ha ha, certes ! Eh bien on va aller bien te nettoyer, gratter la merde, dégraisser tout ça avec du savon qu'on m'a conseillé, tu verras ça fait des merveilles. Puis un petit massage aux huiles essentielles, encore une douche, du lait hydratant, un bon brossage des dents et un bain de bouche, un bon énéma... Et tu seras apte à retourner auprès de ton mari... »

Mon mari... Ah, Bruno... Si tu m'avais vu aujourd'hui ! Si tu me voyais même maintenant, sous mes vêtements ! Aurais-je un jour le courage de te parler de ces fantasmes qui hantent mes nuits ? Et depuis quelques semaines, de mes « extras » bien crades que je te cache ???

Fin... de cette histoire !

A suivre : Le récit de Loïc au SPA « A poil et à vapeur »