L'initiation de Loïc

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#1 of Les Aventures de Loïc


Histoire 1 : L'initiation de Loïc

Note : à l'exception des deux premiers chapitres (dans les grandes lignes) cette histoire est hélas purement fictionnelle

Merci pour vos commentaires, suggestions, encouragements, autre... ! Je suis très ouvert à vos propositions et critiques ; et je serais très heureux de lire vos fantasmes les plus fous. Contactez-moi à mon adresse : [email protected]

Et puis, même si je ne suis pas prêt à endurer tout ce que je fais subir à mon personnage Loïc, ni à prendre de risque par rapport aux MST, sachez qu'aujourd'hui, en janvier 2013, je n'ai hélas toujours pas eu la chance de me rouler dans la pisse et la merde avec un garçon attiré par les mêmes fantasmes... mais je ne désespère pas ;-)

Loïc

Chapitre 1 : Introduction

Mots clés : sodo, tendresse (pas pisse ni de scat)

Un lundi de juin, 22h35.

Je repose ma brosse à dent et me regarde dans la glace de la salle de bain. A 35ans, je sais bien que mon corps est loin d'être aussi parfait que ceux des mannequins dont les photos remplissent régulièrement ma boite mail... mes cheveux bruns, coupés courts, commencent à découvrir un peu plus mon front; des petites poignées d'amour élargissent un peu ma taille... mais le tout reste assez équilibré. 1m70, 70kg, un peu de muscle mais tout en discrétion. Des poils sur tout le corps, tondus courts sur le ventre et les cuisses. Mais je suis assez content de ma queue, nettement plus longue et surtout plus grosse que la moyenne. Je suis également assez fier de mon cul, très rond et toujours ferme malgré la trentaine.

Je quitte la salle de bain, et rejoint Bruno qui m'attend au lit... Attendre, c'est bien le mot qui convient : allongé sur le dos, les mains derrière la tête, les draps ouverts, la bite dressée fièrement vers le plafond. Je monte sur le lit, à quatre pattes, et commence par l'embrasser, sur la joue, puis les lèvres. Ma bouche descend sur son torse, son ventre... Sa queue est déjà tout humide de pré-semence... Je prends son gland en bouche, et le pompe ainsi quelques minutes, puis attrape le gel sur la table de nuit et m'en mets une petite noisette sur le doigt, que je m'enfonce ensuite dans le fion. Je prends ensuite la bite de Bruno en main et la présente devant mon trou lubrifié, tout en regardant mon mari dans les yeux. Je m'assois progressivement sur sa bite, jusqu'à sentir ses poils pubiens frotter contre mes fesses. En même temps, j'attrape ma queue et commence à me branler. Je monte et redescend mon bassin sur la queue de Bruno. Elle n'est pas particulièrement grosse, mais stimule néanmoins très agréablement ma prostate. Le plaisir et la température montent dans la chambre. Bruno m'attrape les hanches et accélère le mouvement. Je sens qu'il n'est plus très loin, et moi non plus. En poussant un râle de plaisir, il me jouit dans le cul : je sens plusieurs jets chauds et puissants de foutre s'écraser dans mes entrailles. J'adore cette sensation. Il n'en faut pas plus pour que quelques secondes plus tard, je jouisse à mon tour sur son torse. Je me couche alors sur lui, gardant encore sa queue au chaud au fond de mon cul, sentant mon propre sperme entre nos torses. Il me donne un petit baiser sur les lèvres. Il débande un peu, sa queue sort de son logement. Je bascule sur le côté, tandis que Bruno se lève pour aller se nettoyer. Pendant qu'il est hors de vue, je ramasse sur mon torse le plus gros de mon sperme avec mon index et le porte à ma bouche. J'ai toujours aimé le goût du sperme, mais suite à une remarque de dégoût de Bruno, une fois, qu'on je lui avais fait une pipe et tout avalé, je n'y goutte que de temps en temps, lorsque je suis seul. Le problème est que lorsque je viens de jouir, j'ai beaucoup moins envie de bouffer mon sperme : c'est avant que j'en ai envie... je ne sais pas pourquoi, question d'excitation ?

Tandis que Bruno revient dans le lit conjugal, je me lève à mon tour et pars aux toilettes. Ma queue est toujours bien gonflée, et un peu de sperme en coule un peu; je passe mon doigt sur mon gland pour attraper cette grosse goute, et le lèche. Je reste debout aux toilettes, et avec une feuille de papier, essuie le peu de sperme qui reste collé aux poils de mon torse. Ensuite, je me passe la main gauche entre les fesses. Un peu de gel, mais pas de sperme : tant mieux, ma rondelle est encore bien étanche et celui-ci reste bien au chaud dans mon cul. Ce soir, je préfère ne pas m'assoir sur la cuvette et cracher le sperme de Bruno dans les chiottes. Non, ce soir je préfère tout garder, le sperme de Bruno, mais aussi et surtout la merde que je stocke depuis ce matin. En effet, demain est un grand jour. J'ai posé une RTT, officiellement pour accueillir le technicien qui vient faire l'entretien annuel de la chaudière à gaz (ce qui n'est pas faux). Mais aussi et surtout, officieusement, pour pouvoir m'amuser en solo avec ma pisse et ma merde. La dernière fois que j'ai pu jouer ainsi, remonte déjà à plusieurs mois. Mais là je ne tiens plus, j'en ai trop envie. J'en rêve la nuit, en bandant à mort. D'ailleurs, en pensant à ce que je vais pouvoir faire demain pendant que Bruno sera au travail, je sens ma pine se redresser un peu. Le sourire aux lèvres, je tire la chasse et retourne au lit. Après un petit baiser à Bruno, je me retourne et me couche sur le côté. Je sens Bruno qui se rapproche contre mon dos et me fait un bisou sur la nuque. Je sens sa queue, désormais débandée, au chaud contre mes fesses. Voilà 10ans que nous vivons ensemble. Une certaine routine s'est installée, mais l'amour est toujours présent. Ce qui chagrine, c'est que je n'ai jamais eu le courage de lui avouer mes fantasmes uro et scato, fantasmes inassouvis qui depuis quelques années sont de plus en plus vifs, de plus en plus forts, violents, et surtout de plus en plus... crades ! Pour rien au monde je ne voudrais que ça gâche notre relation. De plus, je me souviens encore d'un soir, il y a quelques années de ça, quand nous regardions un DVD porno : lors d'une scène du film, un jeune était en train de tailler une pipe à un acteur déguisé en flic (acteur, c'est un bien grand mot : on ne peut pas dire que ce soit la qualité première des acteurs pornos)... Soudain, on voyait du liquide sortir de sa bouche, de plus en plus... et une petite flaque jaune commençait à se former sur le sol. Si j'attendais la scène avec impatience, j'entendais par contre Bruno à côté de moi qui me dit « eh! Mais... c'est quoi ça, c'est pas du sperme ! il lui pisse dans la bouche ?!? », avec une mine un peu surprise... Bref, c'est la première fois qu'il semblait voir une scène uro à l'écran, et ça semblait plus le dégoûter que l'exciter. Du coup, depuis, je n'ai jamais tenté de lui avouer mon doux secret... Je lui attrape les mains et les serre contre mon ventre. En pensant à ce que je vais pouvoir faire demain matin, la queue dressée, je m'endors dans les bras de mon chéri...

Chapitre 2 : plaisirs solitaires devant le caméscope

Mots clés : solo, pisse, gode, scat, étalage

Mardi, 06h00

6h... le réveil sonne. La bite bien rigide, comme tous les matins, je m'étire et me retourne dans le lit. Bruno a toujours un peu plus de mal que moi pour se réveiller. Après lui avoir fait un petit bisou, je me lève et pars vers la cuisine pour préparer le petit déjeuner. En marchant, je sens que j'ai la vessie bien pleine et une grosse envie de pisser, mais il va falloir que je patiente encore une petite heure. Derrière ce n'est pas mieux : je sens surtout la semence de Bruno qui a un peu coulé la nuit. Je passe ma main entre les fesses : c'est humide, mais rien de dramatique. Tout en léchant mes doigts, je me dis qu'il m'en reste encore pas mal dans le cul. Alors que les bols de café chauffent dans le micro-onde et que je tartine les biscottes de confiture, Bruno arrive, marchant au radar :

  • « Pffuuu ! Encore 4 jours avant le WE ! Vivement la retraite... Au fait, t'es en RTT, toi, non ? C'est aujourd'hui que le technicien vient pour la chaudière ? »

  • « Et oui ! Il devrait passer entre 9h et midi... »

  • « 9h ? Pourquoi tu t'es levé aussi tôt ? Tu aurais pu rester au lit ! »

  • « Ouais... bah, t'en fait pas pour moi, j'étais réveillé et j'avais du mal à dormir... Et puis j'vais pas te laisser tout seul pour le p'tit déj, quand même ! Et vu l'état dans lequel tu es, je te vois mal tartiner des biscottes sans les casser ! »

  • « C'est pas faux... Merci ! C'est bien d'avoir un homme à la maison », dit-il en m'embrassant

Une fois le petit déj pris, Bruno part faire sa toilette, et moi je vais sur mon PC. Après avoir regardé mes mails vite fait, je profite que Bruno soit dans la salle de bain pour me connecter sur un de mes sites préférés, Nifty.org (http://www.nifty.org/nifty/gay/urination/index.html) et chercher une ou 2 histoires scato que je pourrais lire pendant mon trip, tout-à-l'heure. Je me souviens vaguement d'une histoire que j'avais lu il y a 1 an ou 2, parlant d'un gars qui avait fait construire une sorte de pensionnat de garçons, où les toilettes étaient équipées d'un système qui permettait de récolter et 'filtrer' la pisse et la merde des jeunes mâles, et de l'envoyer dans les locaux du propriétaire, en sous-sol, où il avait du coup à disposition une fontaine à pisse et surtout une petite piscine qui se remplit régulièrement de la merde fraiche des jeunes pensionnaires. Je ne me souviens plus trop de l'histoire dans le détail, mais je me rappelle qu'elle m'avait bien fait bander, et qu'elle était construite en plusieurs épisodes, et en tout assez longue pour m'occuper pendant tout mon trip. Où est-elle ? Je crois me rappeler qu'il y avait "school" dans le titre. Je balaye les titres des archives de la section "urination"... ah, le voilà : "School for Excess" => du coup, je me l'envoie sur mon smartphone, pour que je puisse la lire dans la baignoire tout à l'heure.

Zut, j'ai la queue bien gonflée avec toute cette excitation... du coup, pour la dégonfler rapidement, je mets mon PC en veille, et pars dans le salon pour faire un peu de jeux-sport sur la Wii... J'ai pris l'habitude d'en faire au moins 15min tous les matins, histoire de maintenir à peu près la forme. Mais là, ce matin, pas facile avec la vessie pleine, et le cul lui aussi bien rempli... du coup, je ne force pas trop.

10min après, alors que je suis à peine transpirant, Bruno arrive dans le salon, prêt à partir au boulot, les chaussures à la main.

  • « Bon, et bien... Faut y aller ! Amuse-toi bien... et drague pas trop le technicien de la chaudière ! »

  • « Tu parles ! La dernière fois, c'était un vieux pas franchement séduisant !!! Et puis, ce n'est pas mon genre de draguer de toute façon ! »

  • « Ouais ouais ouais, c'est ça... bref, profite bien de ta journée et à ce soir. »

  • « OK ! Bon courage au boulot. Bisous ! »

Je le laisse partir, et il referme la porte d'entrée à clé derrière lui. Je me mets à la fenêtre et lui fais un dernier coucou alors qu'il ouvre le portail de notre petit pavillon...

Bon, ça y est, la voie est libre. Je prends quand même le temps de finir les 5min de jeux restantes (on ne sait jamais : Bruno pourrait avoir oublié quelque chose et revenir !) puis j'éteins la console.

Alors, il s'agit maintenant de tout préparer pour être tranquille pour les 2 heures qui suivent. Aujourd'hui, j'ai décidé de me filmer pendant mon trip dans la baignoire. Il faut bien que le caméscope numérique qu'on a acheté l'an dernier serve un peu ! En plus, on a même acheté un pied! Je récupère tout ça, et monte le pied à côté de la baignoire... Je mets le bouchon sur le siphon de la baignoire, et retire le tapis antidérapant de dedans. Je ne sais pas si c'est l'excitation, ou le fait de penser au fait que je vais bientôt pouvoir pisser, mais il m'est de plus en plus dur de me retenir, ma vessie commence sérieusement à me faire mal. J'ai encore plein de choses à préparer ! Je visse le caméscope sur le pied, et cadre l'image... Oh non, je ne vais pas pouvoir tenir plus longtemps ! Merde et merde et remerde, j'ai trop envie de pisser ! Du coup, je lance l'enregistrement et monte dans la baignoire. Sans pouvoir me contrôler davantage, à peine les 2 pieds dans la baignoire qu'un jet de pisse commence à sortir de ma queue : j'attrape vite ma bite avec ma main droite et vise mon torse avec le jet. Avec la main gauche, j'étale la pisse sur ma peau. C'est chaud, ça fume. Hummm : c'est bon... Mais il ne faut pas que je me vide complétement dès maintenant ! J'essaye de contracter mes muscles pour stopper le flux... Oui, c'est bon. Mes pieds pataugent dans une petite flaque. Ma bite se redresse. Je regarde l'écran du caméscope : c'est bon, je suis bien cadré. Je sens l'urine frapper encore à la porte, et malgré mes efforts pour la retenir, ça sort encore. Mais cette fois c'est un jet beaucoup plus dru qui sort de ma queue. Je vise mon visage, en prend un peu en bouche pour la recracher et laisser ensuite couler sur mon ventre que je continue à inonder avec ce beau liquide fumant. Après quelques secondes, j'arrive enfin à stopper le flux, et à le contrôler cette fois. C'est dommage que je n'aie pas réussi à attendre d'être complètement prêt. Mais bon, j'ai gardé la pisse au fond de la baignoire, et il m'en reste encore pas mal dans le ventre... j'essore le plus gros de la pisse avec mes mains, et frotte bien pour sécher un peu... mais pas de serviette : j'aime sentir cette odeur sur moi. Une fois à peu près sec, je sors de la baignoire... mais mes pieds sont encore trempés, je laisse des traces sur le carrelage... bah, tant pis je nettoierai plus tard. J'attrape juste une vielle serviette pour m'éponger les pieds dessus avant de mettre en pause le caméscope et quitter la salle de bain. En effet, je n'ai pas encore fini de me préparer ! Tout d'abord, aller chercher des bougies et de l'encens pour mettre dans la salle de bain. Et un diffuser de parfum à brancher sur la prise du couloir, à côté. Puis mettre la VMC en vitesse max. Fermer les portes du couloir et de la chambre. Retirer les serviettes, gants et autres tissus de la salle de bain (ils ont tendance à capturer les odeurs). Ma bite se dresse de plus en plus d'excitation, en même temps que je prépare le terrain... Ensuite : ouvrir la fenêtre de la salle de bain et de la chambre... voilà, je crois n'avoir rien oublié... Ah, si : le liquide vaisselle pour le nettoyage : je trouve ça plutôt efficace pour supprimer l'odeur. OK... , ensuite, direction la chambre, où je récupère mes plugs et godes au fond du tiroir. Et dans le bureau, mon Smartphone... je rassemble tout ça autour de la baignoire, à portée de main... Que de préparatifs et de précautions ! Mais bon, il faut bien ça : les 1ères fois, malgré un nettoyage en grand, Bruno avait quand même fait une réflexion sur une odeur bizarre dans la maison, le soir en rentrant => autant éviter que ce soit systématique à chaque fois que je suis seul en RTT à la maison!!!

Allez, cette fois c'est bon. J'allume le caméscope, vérifie le cadrage une dernière fois, tourne l'écran vers le dos de la baignoire pour que je puisse me voir tout en "jouant"... je rentre dans la baignoire, m'allonge dans mon fond de pisse (qui a hélas déjà un peu refroidi), et attrape mon Smartphone.

Pendant que j'ouvre l'histoire gay scato que j'avais préparée tout à l'heure, je me doigte doucement le cul, lentement, tout en lisant le texte. D'abord, je sens le sperme de Bruno qui tente de s'échapper. Je mets alors ma main gauche dessous ma rondelle, et pousse tout doucement pour recueillir la jute. Une fois que j'ai l'impression que plus rien de sort (je ne veux pas chier tout de suite non plus), je ramène la main sous mes yeux. Quelle dose ! Je trempe la langue dedans et en prend un peu en bouche. Le goût est un peu trop fort, ça n'est pas aussi bon que pris à la source... En fait, il a un arrière-goût de merde, ce qui me confirme que je ne suis pas encore prêt pour bouffer de la merde. J'ai déjà essayé d'y gouter, plusieurs fois mais en vain : mon corps rejette systématiquement et je recrache tout de suite. Du coup, je m'essuie le reste de ce sperme recyclé sur tout le visage, en étalant bien. Tandis que ma main droite fait défiler le texte sur le Smartphone, je m'enfonce le majeur de la droite dans le cul. Je sens un bel étron au fond, mais il est encore assez loin de la sortie... Tant mieux, je vais pouvoir jouer un peu. Je ressors mon doigt : il n'y a qu'une toute petite trace de merde au bout, que j'essuie à la base de ma bite, entre les bourses. J'attrape mon long gode, de diamètre moyen, et légèrement nervuré : mon préféré. Je lève mes jambes et les pose sur le rebord de la baignoire, afin de bien présenter mon trou à la caméra, et de faciliter l'insertion du membre en latex. Je présente le gode sur ma rondelle et pousse légèrement. Tout en avançant dans l'histoire gay et fantasmant sur les 2 héros en train de se rouler dans la merde, je me branle le cul avec des petits va-et-vient. Puis je pousse un grand coup le gode à fond. Je sens qu'il pousse ma merde sur le côté : mmmm c'est trop bon, j'adore cette sensation. Je laisse le gode ainsi au fond quelques instants, et ramène ma main gauche sur ma bite un peu délaissée pour lui redonner de la vigueur par quelques mouvements de poignet...juste de quoi la redresser, mais pas trop. Je reviens à mon gode et le tire doucement : lorsque le bout sort enfin, je le vois tout couvert de marron. Je le pose sur mon ventre, et avec ma main gauche, racle la merde qui est dessus et me l'essuie sur le torse. Allez, c'est le moment : je ramène ma main sous ma rondelle et pousse doucement sur mes abdos. Je sens un beau rondin de merde me forcer la rondelle, il est énorme. J'adore la sensation qu'il procure, c'est comme se faire enculer de l'intérieur. Il est bien ferme, comme j'aime. Une fois qu'il en est sorti une longueur convenable (la longueur de ma main), je contracte mon sphincter pour le sectionner. Je pose délicatement cette belle pièce de merde à côté de ma bite bien gonflée : l'une à côté de l'autre, elles semblent de même taille. J'attrape alors les deux et les sers ensemble. Mmmmm. J'adore ça quand la merde fraichement sortie du cul, encore chaude, s'écrase sur ma peau, et particulièrement sur ma queue. Je fais quelque va-et-vient sur ma bite avec ma main désormais toute merdeuse, puis continue à étaler la merde sur mon ventre, mon téton droit, puis le gauche. Je me caresse ainsi plusieurs minutes, peignant le haut de mon corps d'une belle couleur marron. L'odeur de merde remplit la salle de bain. Je reprends mon gode et entame à nouveau quelques aller-retour dans mon cul, luttant à chaque instant contre ma merde qui s'échappe autour. J'en ramasse encore, et cette fois je me badigeonne les cuisses, les jambes. Puis à nouveau la bite, les couilles que je masse lentement, toujours plongé dans la lecture de mon histoire. Il me vient une envie de pisser : j'agite ma bite pour que le jet d'urine mouille la merde que j'ai étalée sur tout mon corps. Celle-ci ramollit un peu, et je me refait un massage avec cette merde humide. Mon corps a désormais une belle couleur et texture uniformes. Je me ré-enfonce le gode dans le cul, puis prend ma bite pour quelques va-et-vient. Mais j'arrête vite car je sens que ma jouissance n'est pas loin. Je reprends donc mon gode, et joue avec mon cul. Je le pousse bien à fond, et voilà qu'il rentre carrément au fond de mon cul, ma rondelle se refermant derrière lui. Trop bon ! A nouveau je me branle un peu, histoire de maintenir ma queue bien gonflée. Puis je contracte les abdo pour faire sortir le gode. Ah, il ne veut pas sortir. Je pousse plus fort, et là d'un seul coup il part à toute vitesse et s'écrase contre la paroi de la baignoire, faisant éclabousser un peu partout un mélange liquide de pisse et de merde. Bonjour le nettoyage que je vais avoir à faire ! Mais bon, ce sera pour plus tard. Je ramasse le gode et me le ré-enfonce dans le fion, au même moment où j'ai soudain une grosse envie de pisser. Cette fois, je vise pour que ma pisse arrive à ma gueule; j'ouvre la bouche, la remplie de pisse, en avale un peu et recrache le reste sur mon ventre. Je me masse à nouveau, attrape ma bite et me branle. Je ne suis vraiment plus loin. Du coup, je pose mon Smartphone à l'abri dans le lavabo, derrière la baignoire (de toute façon, ça faisait déjà un moment que je ne suivais plus trop l'histoire). Et avec ma main droite désormais libérée, j'attrape le gode et me laboure le cul pendant que ma main gauche se promène alternativement entre ma bite bandée à mort, et mon ventre ou mon torse cachés sous une bonne couche de merde odorante. Je sens que je vais très bientôt jouir : alors qu'avec ma main droite je maintiens mon gode au fond du cul, j'accentue les mouvements de la main gauche et me branle comme un fou. Aaahh ... ahhh !! OOOOOUIIIIIII ! Un premier jet de foutre vient s'écraser sur mon torse, dessinant ainsi une belle trainée blanche sur fond marron. Puis un second, et encore un... ah, trop bon !... je reprends ma masturbation du cul avec mon gode pendant que les dernières goûtes finissent de tomber de ma belle queue toute merdeuse, et reprend petit à petit mon souffle. Je balaye le paysage des yeux ! Quel chantier ! Il y a de la merde partout, sur les robinets, toutes les parois de la baignoire, le carrelage des murs, et même un peu par terre. Je ne sais pas comment je m'y suis pris pour tout salir ainsi. J'aperçois aussi l'écran du caméscope, que j'avais complétement oublié. Je me vois là, au milieu de ce terrain de guerre, dans un état lamentable, tout couvert de merde, avec des petites flaques de sperme ici et là. Il y a même de la merde qui commence à sécher, sur les coudes et les jambes : ça forme comme des croutes. Je gratte, mais ça tire sur les poils... oh là là ça va être une horreur à laver ! Quelle heure est-il d'ailleurs ? 8h15 ! Ça fait 1h30 que je suis là à jouer avec mes excréments ! Je n'ai pas vu le temps passer. Bon, il ne faut pas trop que je traine ! Je commence par ouvrir le robinet et me nettoyer les mains et les avant-bras. J'attrape la vielle serviette qui n'est pas loin, et m'essuie les mains. Oups, visiblement je n'avais pas bien rincé, vu la couleur de la serviette ! Avant de continuer le nettoyage, je me penche et éteins le caméscope : mmm, je vais me visionner ça cet aprèm, et me faire un bon petit montage tout en me branlant. Qui sait, peut-être que cette fois j'aurais le courage de le poster sur mon compte MyBrownHanky ?

Pour l'instant, il faut que je me décrasse. J'enlève le bouchon du siphon... La sauce "pisse-merde" commence lentement à s'écouler, mais très vite le siphon se bouche avec toute la merde qui s'est accumulée dedans. Pas grave : je m'occuperai de ça plus tard. Soyons méthodique : étape 1, enlever le plus gros de la merde du corps, du haut vers le bas. J'ouvre la douchette et règle la température de l'eau. Tenant la pomme de douche de la main droite, encore propre, avec la gauche je me frotte le corps sous le jet d'eau chaude, et m'efforce de ramollir et enlever la merde. Comme très souvent après un trip comme ça, je me sens mal, j'ai honte et culpabilise un max. Quel gros porc ! Si on me voyait dans cet état ! Allez, je dois me ressaisir : après tout, il n'y a pas de mal à se faire du bien, et personne ne m'a vu !

10min plus tard, je suis enfin venu à bout du plus gros de la merde sur le haut du corps. Il reste encore des traces de merde ici et là, notamment sur les coudes et le haut des bras qui étaient rarement au contact du liquide stagnant au fond de la baignoire, ce qui explique que la merde y a séchée plus vite et s'est incrustée. Le haut étant dégrossi, j'attaque maintenant le bas. Je commence par le cul et les cuisses, bien crades bien sûr, surtout à cause des poils assez longs qui retiennent bien la merde. Puis les couilles, la bite qui s'est toute repliée sur elle-même (c'est vrai que le nettoyage est loin d'être excitant). Le triangle pubien est coriace à laver, il y a énormément de merde coincée dans les poils. Les jambes, les pieds. Un rapide coup d'il sur l'ensemble : il y a encore des traces, mais pour un premier décrassage, ça ira. De toute façon, la prochaine étape sera de nettoyer le plus gros de la baignoire et de la salle de bain, puis étape 3 : je me ferai couler un 1er bain - celui que j'appelle prélavage, ou trempage, au choix ! - et après seulement, quand ça aura bien ramolli, je me laverai entièrement avec le liquide vaisselle pour supprimer les odeurs. Mais pour l'instant, j'ai un peu soif et me prendrais bien un café. Alors j'attrape la serviette et éponge le plus gros de l'eau sur ma peau. La merde qui me reste sur le corps y étant bien fixée, pas de risque d'en mettre partout dans la maison : je peux aller prendre mon café vite fait avant de revenir laver la salle de bain. Dans le salon, j'allume la Nespresso et vais me chercher une tasse quand tout-à-coup la sonnette sonne. Quoi, déjà ??? Je regarde la pendule : 8h30. Du coup, ça ne doit pas être le technicien. Je vais vers la fenêtre et regarde vers le portail; zut il y a bien une fourgonnette de la société d'entretien. Il est en avance le salaud ! Merde, qu'est-ce que je fais ? Si je n'ouvre pas, je suis bon pour payer un second déplacement... et qu'est-ce que je vais dire à Bruno ? Mais d'un autre côté, je ne peux pas le recevoir comme ça ? Je me regarde, là, à poil... et merde... je cours dans la chambre chercher ma robe de chambre, qui a le mérite d'être longue. 2ème coup de sonnette. Zut ! Je jette un coup d'il au miroir: a priori rien sur le visage, le cou, les mains, les pieds... ça devrait aller. Je ferme la porte de la salle de bain. Heureusement, la chaudière est dans le sous-sol. Tout en fermant ma robe de chambre pour cacher les traces de merdes sur le corps, je cours à la porte d'entrée, l'ouvre, et interpelle le technicien qui était déjà en train de retourner à son véhicule. Il se retourne, et j'aperçois alors son visage qui est à croquer...

Chapitre 3 : Entretien de la chaudière...

Mots clés : pisse, scat (léger)

mardi, 08h30

...Tout en fermant ma robe de chambre pour cacher les traces de merdes sur le corps, je cours à la porte d'entrée, l'ouvre, et interpelle le technicien qui était déjà en train de retourner à son véhicule. Il se retourne, et j'aperçois alors son visage qui est à croquer...

De visage, il a un air de Damien Cross, jeune : 1m70, brun, cheveux cours, yeux marrons et regard sévère, les cils denses et noirs, barbe de 3 jours, peau mate... humm, trop mignon

  • « Bonjour ! »

  • « Bonjour ! J'ai cru qu'il n'y avait personne, je m'apprêtais à repartir »

  • « Désolé, je... je... je ne vous attendais pas si tôt... et... euh... je suis un peu fiévreux, j'étais au lit et... je... le temps d'attraper de quoi me vêtir... »

  • « pas de problème » me répond-il avec un grand sourire. « En fait, je suis un peu en avance, désolé. En fait, vous êtes mon 1er client.... On y va ? Vous allez attraper froid, là ! »

  • « Euh, oui... suivez-moi ».

Je le fais entrer puis attrape la clé du sous-sol dans la cuisine, avant de le guider dans l'escalier. Il me suit avec sa caisse à outils. J'allume le sous-sol et le guide vers la chaudière.

  • « Voilà la bête », lui dis-je

  • « OK, on va décrasser tout ça », dit-il en me renvoyant son beau regard et un grand sourire.

Je ne peux m'empêcher de penser que ce n'est certainement pas la chaudière qui a le plus besoin d'un décrassage, en ce moment...

Il ouvre alors sa caisse, se penche dedans pour attraper un tournevis... Quel cul ! Ce mec-là doit faire pas mal de sport, il a des cuisses de rêves ! D'ailleurs, ma queue doit être d'accord, vu le sang qui commence à y affluer. Zut, il faut que je fasse gaffe quand même : je suis en robe de chambre et à poil dessous ; si je me mets à bander ça va se voir. Tout en démontant la chaudière, il engage la conversation :

  • « Il va faire encore chaud, aujourd'hui ! »

  • « oui, ils prévoient 40° cet aprem »

  • « C'est un peu pour ça que je suis venu un peu plus tôt : je n'ai pas beaucoup d'interventions aujourd'hui, j'espère les finir toutes ce matin pour pouvoir rester au frais cet après-midi ! »

  • « j'vous comprends, ça doit pas être facile de bricoler comme ça avec cette canicule ! »

  • « Bah, il y a pire ! Et vous, vous faites quoi, comme job ? »

  • « Moi ? je suis ingénieur, dans l'automobile... je ne suis pas à plaindre, souvent dans les bureaux, avec la clim »

  • « sans doute pour ça que vous êtes malade »

  • « Pardon ? »

  • « Votre fièvre ! » dit-il en m'envoyant encore son beau sourire

  • « Ah ! ... euh, oui, sans doute »... je sens le rouge qui me monte au visage. Je n'ai jamais été un bon menteur, et là je suis en plus gêné par son charme, par le fait d'être en robe de chambre devant un inconnu, le corps imprégné de restes de pisse et de merde...

Nous continuons à échanger ainsi quelques banalités sur les voitures, sur la météo, etc... Alors qu'il retire le bloc bruleur de la chaudière et commence à le brosser, à genoux par terre, il me demande :

  • « vous auriez un aspirateur à portée de main ? »

  • « oui, juste là » je lui réponds, en lui montrant du doigt dans le coin opposé de la pièce.

Je m'y déplace et alors que je me penche pour l'attraper, je sens la ceinture de ma robe de chambre qui se desserre et la robe qui commence à s'ouvrir. De frayeur, je laisse échapper l'aspirateur, et me dépêche de resserrer ma ceinture. Je me repenche à nouveau pour reprendre l'aspirateur. En me retournant, je vois que le technicien s'est levé et tourné vers moi, il ne me quitte pas des yeux, toujours souriant. En posant l'aspirateur devant lui, mon regard s'arrête un instant sur son entre-jambe. Je n'avais pas encore remarqué qu'il y avait là une bosse bien généreuse ! il ne serait pas en train de bander, quand même ? Aïe Aïe aïe, je ne vais pas bien, moi ! Il faut que je me soigne et que j'arrête de rêver debout. Si ça se trouve, c'est juste le pli de son jean !

  • « Merci beaucoup. C'est pour aspirer ce que je ne peux pas atteindre avec ma brosse. Il y a pas mal de merde, là »

Oups, est-ce un message caché ? bah... je me fais des idées, comme d'hab... c'est juste une expression comme ça ! Il faut que j'arrête de me faire des films à chaque fois que je croise un mec qui me plait !

  • « Il y a pas mal de condensation ! il faudrait peut-être que vous rajoutiez un système de ventilation dans votre sous-sol ! »

Il m'explique alors comment je pourrais faire pour mieux aérer la pièce.

  • « Au fait, vous aurez besoin d'un ramonage aussi ? »

Oh mon petit ! Si tu savais comme mon cul apprécie toujours un bon ramonage bien profond ! Trêve de rêverie ; toujours est-il que sa question m'a un peu perturbé, et il me regarde bizarrement.

  • « Euh, non... non, merci, pas besoin : en fait j'ai fait ramoner le conduit le mois dernier »

  • « Ah OK, pas de problème : ça me fera toujours ça de moins à faire »

Si j'avais su...

  • « Est-ce que je pourrais vous demander un seau rempli d'eau chaude, s'il vous plait ? »

  • « Oui, pas de problème, je remonte dans la cuisine vous chercher ça »

J'en profite pour me servir 3 grands verres d'eau : c'est qu'il me donne soif, le bogosse !

Je lui descends le seau d'eau, et le regarde nettoyer diverses pièces, tout en continuant à échanger des banalités. Après avoir fini de remonter la quasi-totalité, il me demande de forcer le chauffage

  • « juste quelques minutes, pour que je vérifie que tout fonctionne bien... Ce n'est pas pour transformer votre salon en sauna ! » plaisante-il.

(Oh mais si tu veux faire un sauna avec moi, jeune homme, y a pas de problème !)

Je monte régler le thermostat pour forcer le chauffage, puis y retourne.

  • « Tout a l'air OK. On va vérifier l'eau chaude maintenant. Vous pouvez aller en tirer un peu ? »

(Oh oui, si je veux tirer un coup !) (Oh allez, arrête un peu avec tes interprétations mal placées)

  • « OK, j'y retourne »

  • « Vous laissez couler 10s, fermez, attendez 10s, et recommencez 3 fois comme ça »

  • « Oui, monsieur » dis-je en rigolant

Je m'exécute, puis vais au rapport. Je trouve que l'eau chaude est toujours aussi longue à venir, ce que je m'empresse de lui signaler

  • « Ah mais ça on n'y peut rien, c'est normal c'est que la chaudière est loin de votre robinet, il faut le temps que toute l'eau froide s'évacue »

  • « Et le fait que parfois, sous la douche, l'eau se refroidisse d'un coup, et soit longue à revenir chaude, c'est normal aussi ?»

  • « ça, non... peut-être un problème de pression ? je peux monter dans la cuisine vérifier votre débit d'eau chaude ? »

  • « Euh, OK, allons-y »

Je passe devant, et il me suit dans l'escalier. Alors qu'il ouvre le robinet de la cuisine et laisse couler l'eau chaude, sa main dessous, il se tourne vers moi, tout souriant :

  • « Ici le débit est bon, la température stable... On peut aller voir la salle de bain ? »

  • « NOOON.... En fait, non, euh... elle est... euh... je n'ai pas fait le ménage, elle est vraiment sale, ça me gêne »

  • « Pas grave, j'ai l'habitude vous savez » glousse-t-il « Elle ne peut pas être plus crade que la mienne »

(Ça, ça m'étonnerait). Et le voilà qui éclate de rire... j'ai loupé un épisode ?

  • « Oh là là, tu verrais ta tête » me dit-il. « Bon, et si on arrêtait de faire semblant, maintenant ? Si je te disais ce que je pense trouver derrière la porte ? Une salle de bain toute crade de pisse et de merde, c'est ça ?

  • « mais... je... je... »... là, je me sens comme une grosse merde, je ne sais pas quoi répondre

  • « T'inquiète pas, ça ne me gêne pas ! dès l'instant où tu m'as fait rentrer j'ai eu des doutes qui ont vite été confirmés : déjà, il y a des odeurs qui ne trompent pas et celle de la merde en fait partie. Et toi, on peut dire que tu es imprégné... Ouah, dès que je me suis approché de toi, ton odeur a commencé à me faire bander. Ensuite en descendant au sous-sol, j'ai jeté un coup d'il dans ton salon, et certains détails ne m'ont pas échappés : le rainbow flag sur l'étagère, l'aquarelle avec un dos de mec nu... Enfin, ta réaction quand tu as lâché l'aspirateur ; je n'avais pas compris au début mais ensuite quand je t'ai vu resserrer la ceinture de ta robe chambre, j'ai deviné, et confirmé en apercevant une petite trace de merde sur ton mollet gauche... J'ai tenté de te tendre la perche à plusieurs reprises, que ce soit en te parlant de sauna, de te ramoner le conduit, etc... mais tu ne me semblais pas réceptif. Et enfin, à l'instant dans l'escalier où j'avais une vue plongeante sous ta robe de chambre, tous mes derniers doutes se sont envolés...

Tout en parlant, il s'approche de moi, attrape la ceinture de ma robe de chambre, tire dessus, et l'ouvre en grand

  • « mmmmm, mignon... Quoique un peu décevant : à l'odeur, je m'attendais à plus de merde que ça ! », dit-il tout en caressant mon torse, mon ventre, puis en passant délicatement ses doigts sous ma bite qui sous ses caresses, n'en finit pas de bander à un point où ça en devient presque douloureux. Je reste sans voix, tout ça va tellement vite

  • « Bon, et si tu m'ouvrais ta salle de jeux, maintenant, que je puisse vérifier le débit de tes robinets ? »

D'une main, il me pousse maintenant vers la salle de bain, tout en se massant l'entre-jambe de son autre main. Ce n'est plus une bosse qu'il a, désormais, mais une grosse barre qui part sur le côté, à droite, jusqu'à la ceinture de son jean. Dès que j'ai ouvert la porte, il s'exclame :

  • « Ouah, tu t'es bien amusé apparemment ! Toute cette merde qui stagne au fond de la baignoire ! et ces traces partout, sur le carrelage ! » dit-il tout en ouvrant et refermant le robinet de la baignoire, puis celui du lavabo... «En tout cas, pas de problème de débit d'eau... il faudrait que je mesure le débit de gaz, pour vérifier... mais aujourd'hui je ne peux pas, je n'ai pas l'appareil pour ça... »

Comment peut-il rester aussi professionnel ?? Au milieu d'un tel bordel ? Avec à côté de lui un mec à moitié à poil qui bande à mort ? Une odeur de merde dans toute la pièce ? Sans parler des traces un peu partout, des godes,... et... ah, tient, il vient de repérer le caméscope.

  • « Oh ! Et tu t'es filmé, en plus ? Mmmm, il me tarde de voir ça... seulement, là je ne vais pas avoir le temps : j'ai encore 2 clients à voir ce matin. » dit-il en regardant sa montre. « D'ailleurs, il faut hélas que j'y aille, sinon je vais être en retard... Mais avant je vais avoir besoin de toi ... » commence-t-il en détachant sa ceinture « ... car dans l'état je ne peux pas sortir... » il déboutonne son jean « ... tellement tu m'as excité, mon salaud... »

Il ouvre son jean, et laisse apparaitre une poutre apparente sous son slip rouge. Sur le côté droit du slip, une tâche humide s'est formée au niveau de son gland. Il soulève l'élastique, et libère sa queue qui se redresse instantanément. Elle est magnifique. Bien proportionnée. Moins large que la mienne, mais sans doute plus longue... 22cm, peut-être ? Il coince l'élastique de son slip sous ses bourses, et attrape la base de sa bite.

  • « Tu veux bien ? » dit-il en m'appuyant sur l'épaule

Je me mets alors à genoux (ai-je le choix ?) et laisse passer son gland humide entre mes lèvres. Mmmm. Je le suce doucement, d'abord juste le bout de sa bite, puis un peu plus loin... sans toutefois arriver à prendre toute sa bite, qui est bien trop longue pour moi. En même temps, j'attrape la mienne et comment à me branler. Je lève la tête et croise son regard : il a l'air d'aimer ça. Mais à peine quelques secondes après, il pousse doucement ma tête :

  • « Oohh, je sens que je viens déjà » et là il attrape sa queue, et tout en m'appuyant sur la tête avec sa main gauche, il se branle furieusement avec sa main droite. « Oh... oui... oui ! OOOUIII !!!!! »

Pris de spasmes, il me balance un énorme jet de foutre sur le front. Par reflexe, je ferme les yeux et sens un autre jet de foutre sur le nez, et encore un autre, et un autre... ça n'arrête pas. Je le sens appuyer sa bite contre ma joue. J'ouvre alors les yeux, tandis qu'il pousse son gland entre mes lèvres. Il m'envoie une dernière petite giclée dans la bouche. Je lèche les dernières gouttes et avale tout d'une traite.

  • « Ouah, ce que tu es bandant avec tout ce foutre sur la gueule ! »

Je sens sa bite qui commence à ramollir dans ma bouche. Il se retire doucement, et me souris. J'arrête de me branler, et me lève

  • « Ouah, désolé que tout se soit passé aussi vite, mais là j'avais trop de pression... Mais ce que je te propose, c'est de revenir après mon dernier client, vers 12h... et là je m'occuperai correctement de toi. Je peux même apporter des pizzas pour qu'on déjeune ensemble. Ça te dit ? »

  • « B... Bien sûr ! On peut déjeuner et... euh... s'amuser ensemble, avec grand plaisir ! » réponds-je, tout en sentant une goutte de sperme couler sur ma joue. Je lève ma main pour l'essuyer quand mon technicien m'arrête :

  • « Non, ne t'essuie pas ! je veux que tu restes comme ça jusqu'à ce que je revienne. Et d'ailleurs... tiens, allonge toi dans la baignoire »

  • « là ? tu... tu veux que je me remette dans ma merde ? » vu son regard, je me dis que la réponse est oui... J'enlève alors complétement ma robe de chambre, et enjambe le rebord de la baignoire. Mon pied glisse sur la merde au fond de la baignoire, et je me rattrape de justesse

  • « Attention, ne va pas te casser une jambe... à moins que tu ne tiennes à faire venir de beaux et jeunes sexy pompiers dans ta salle de bain ? » dit-il en riant ? « Voilà, allonges-toi... Et tiens, t'as qu'à t'enfiler ça dans le fion ». Il me passe un de mes plugs, celui avec une base large, que j'ai toujours un peu de mal à rentrer dans le cul mais qui a l'avantage de ne pas en ressortir facilement. « Oui, enfonce-le bien ! Tu peux te branler en même temps »

Il ne faut pas me le dire deux fois ! En même temps que je pousse le plug et essaye de me détendre pour que sa base passe ma rondelle, j'empoigne ma bite et la secoue furieusement. Soudain, je sens un liquide chaud sur ma main : il est en train de me pisser dessus, et vise ma bite. Le jet remonte vers mon nombril, mon torse, puis redescend vers ma bite et continue sur mes jambes...il me mouille d'un bout à l'autre, sauf le visage : sans doute ne veut-il pas rincer son sperme !

  • « Ah ça va mieux ! Bon, je te laisse là et reviens d'ici 3h max, avec les pizzas. Surtout, ne te rince pas, ne t'essuie pas : laisse sécher à l'air libre. Et boit un max : cet aprèm, je veux boire ta pisse ! Je ne sais pas si tu as encore de la merde dans le ventre, mais si oui garde la moi au chaud. Moi, j'en aurai plein pour toi. Allez, à tout-à-l'heure ! Bises »

Et il me laisse là, la gueule couverte de foutre, le devant mouillé de pisse, de la merde collée dans le dos, un plug dans le cul et la bite raide, mais globalement tellement sous le choc que je n'ose même plus me branler !...

Chapitre 4 : ...et ramonage du propriétaire

Mots clés : pisse, scat, étalage, bareback, sodo scat

Je regarde la pendule : 11h45, il ne va plus tarder ! Je m'aperçois que je ne connais même pas son prénom : il faudra que je pense à lui demander ! Je commence à peine à me remettre de mes émotions. Je vais avoir mon premier plan scat ! Et avec un mec super canon en plus ! Je n'en reviens toujours pas. Ma bite n'est pas redescendue depuis son départ : j'ai très envie de me branler, mais me dit que j'ai déjà joui une fois ce matin, si je jouis encore maintenant, je n'aurais plus grand-chose à lui offrir cet après-midi ! Et oui, je n'ai plus 18 ans ! Donc ça fait plus de 2h que j'attends. J'ai bu au moins 3L d'eau, sans parler des cafés. Je me suis bouffé un paquet entier de chocos... tout en me doutant que de toute façon, ce sera trop tard pour refaire un stock de merde... L'attente a été d'autant plus longue que je n'ai pas osé m'assoir ni à mon bureau, ni encore moins sur le canapé : en effet, je sais que j'ai de la merde partout, surtout dans le dos, et je tiens à tenir mon engagement et ne pas m'essuyer. Comme je ne veux pas salir toute la maison, je reste debout. J'ai préparé la salle de bain, en y apportant des chocos, des yahourts, des bananes, des coca-cola, de la bière : s'il est d'accord, on pourra manger dans la baignoire... J'espère juste que l'odeur ne va pas trop s'imprégner dans la maison et que j'arriverai à tout dissiper avant le retour de Bruno ce soir! Car j'ai rarement laissé la merde mariner plus de quelques heures dans la pièce ! Mais bon, les fenêtres sont ouvertes, j'ai allumé d'autres bougies et encens, les déodorants tournent toujours sur les prises... J'ai rechargé la batterie du caméscope : peut-être que mon technicien acceptera qu'on se filme cet après-midi ? Ah, la sonnette. Enfin ! Un coup d'il par la fenêtre : c'est bien lui, avec 2 pizzas... et une grosse bosse entre les jambes ! Je lui entre-ouvre la porte (mais ne sors pas : je suis à poil !). Une fois rentré, il dépose les pizzas sur la table, et je referme derrière lui. Il me regarde de la tête au pied, et passe sa main sur ma joue, là où son sperme a désormais séché. Je le vois renifler :

  • « les pizzas sentent tellement fort, que je ne sens même plus ta merde »

Et puis il se met à arracher son blouson de travail, sa chemisette, tout en balançant ses chaussures contre le mur. Il défait ensuite sa ceinture, et déboutonne son jean. Il le laisse tomber et gigote ses jambes pour se libérer. Il abaisse ensuite son slip, libérant sa queue dans toute sa splendeur. Une fois tout nu, il vient contre moi et m'embrasse goulument.

  • « Mmmm. Rarement une matinée de travail ne m'a semblé aussi longue ! ». Ses mains me massent le dos, les fesses. Nos bites, raides, sont plaquées l'une contre l'autre.

  • « Tu veux manger tout de suite, ou bien t'amuser un peu avant ? » me demande-t-il

  • « je te propose d'apporter les pizzas dans la salle de bain, et comme ça on mangera pendant une pause dans nos... jeux ! »

  • « Super idée ! Allons-y, j'en peux plus ! »

Il me pousse alors vers la salle de bain, sa bite contre mes fesses, tout en me plaquant de son bras gauche, mon dos contre son torse. De sa main droite, il attrape les pizzas au passage et nous pénétrons sur le terrain de jeux. Je referme la porte derrière nous (pour éviter que l'odeur ne se propage trop). Il pose les pizzas à côté de la baignoire, et monte dans celle-ci. Avant de le rejoindre, je lui demande si je peux filmer, ce à quoi il me répond que je ne suis qu'un idiot : évidemment qu'il faut filmer ça !! Je lance le caméscope au moment où il s'assoit dans la baignoire et commence à s'allonger sur le dos, mais soudain il se redresse :

  • « ouh que c'est froid ! ça surprend, je n'ai pas l'habitude de me coucher dans de la merde froide ! »

  • « ah parce que tu as l'habitude de te coucher dans de la merde ??? »

  • « bah oui, tous les soirs, pas toi ? » répond-il en riant !

  • « tu es bête ! Tu sais, je t'envie : tu as l'air super à l'aise ! Mais pour moi tout ça est tout nouveau »

  • « Comment ça ? »

  • « Eh bien, tu es le 1er mec avec qui je partage de tels moments »

  • « C'est vrai ? tu es puceau ?? »

  • « Euh... ça dépend ce que tu entends par là. J'ai un copain, Bruno, avec qui je vis depuis 12 ans maintenant... Mais pas question de pisse ou de scat avec lui... Ce que je veux te dire, c'est qu'aujourd'hui, c'est la 1ère fois que je vais me rouler dans la merde avec un mec ! »

  • « Et bien il y a un début à tout ! Allez, viens te rouler dans la merde avec moi! »

Je me couche sur lui, et sens la chaleur de sa bite contre la mienne. Il attrape un peu de merde dans le fond de la baignoire, et me caresse le dos, les fesses. C'est vrai que la merde froide, ce n'est pas terrible : c'était nettement mieux ce matin ! Pendant qu'il me caresse d'une main, de l'autre il appuie, par à-coup, sur le plug que j'ai dans le cul. Humm, c'est bon. Puis il m'attrape et me fait basculer sur le côté, puis sur le dos. Il se met à genoux entre mes cuisses, qu'il soulève et pose sur chaque rebord de la baignoire. Ensuite, il se retourne, et reste à quatre pattes, son cul au-dessus de mon torse.

  • « Je t'invite à venir fouiller derrière ma rondelle, je crois qu'il y a quelque chose pour toi et moi »

Mais quoi donc ? Je pousse mon index dans son trou, et sens au fond un bel étron bien chaud, bien crémeux.

  • « Ohh ouuii... Garde ton doigt dans mon cul, pendant que je pousse un peu »

Oh, ça fait tout drôle de sentir cette merde glisser sur mon doigt. Il continue à pousser, et je commence à apercevoir le bout de son étron, bien foncé, qui dilate sa rondelle. Je retire alors mon doigt, attrape ses fesses avec mes mains, et les écarte, pour mieux admirer le spectacle. Plusieurs centimètres de merde sont déjà sortis, et il continue à pousser. Au bout de 15cm, le morceau se casse et tombe sur mon torse. Mon beau brun a dû le sentir, car il se redresse, se retourne et se met à genoux entre mes cuisses, tout en admirant sa production. Il attrape alors ma main, et la guide vers l'étron qu'il me fait diviser en deux. Il amène ensuite ma main sur son torse, m'invitant ainsi à le badigeonner de sa merde. Pendant ce temps, il fait la même chose sur mon torse avec la moitié restante. Hummm c'est quand même bien plus agréable avec de la merde fraichement sortie du cul ! Ça me réchauffe le cur. Plus on écrase la merde sur notre peau, plus l'odeur devient prononcée. On se l'étale de plus en plus, sur le dos, le cou, le ventre, les fesses. Après quelques minutes de tel massage, mon petit chieur s'avance un peu, puis par derrière lui, il attrape ma queue et lui donne quelques mouvements de va-et-vient, avec sa main merdeuse. Quand il la considère assez « graissée », il la tient à la verticale et présente son trou au-dessus. Tout doucement, il s'assoit sur ma bite. Je sens sa rondelle s'écraser sur mon gland : au même moment, je le vois soupirer et lever la tête, les yeux fermés. Il continue à descendre, et là je sens une résistance au niveau de mon gland : il lui reste de la merde dans le cul. Il pousse, je sens la merde qui glisse à côté de ma queue tandis qu'il continue à descendre. A mi-chemin, il remonte un peu, tout en continuant à pousser, et reprend la descente. En même temps, il glisse sa main à la base de ma queue, et la remonte le long de sa raie. Il récolte ainsi de sa nouvelle merde, qu'il vient étaler de chaque côté de mon nez. Il est maintenant descendu tout en bas, je sens la chaleur et le poids de ses fesses contre mes bourses. Il remonte et commence de longs mouvements de va-et-vient. Sa merde continue à sortir à chaque coup de piston.

  • « Oh, oui, ramone moi le cul » dit-il « Ramasse ma merde pendant que je m'encule, et étale la sur ma bite, sur mon visage, partout ! Oui, vas-y ! allez, branle-moi avec ta main pleine de merde ! Oh c'est bon, que ta pine est longue et grosse, oh oui, pousse ma merde contre ma prostate, oui ! fais-moi pisser de plaisir»

Il accélère le mouvement, je sens ma jouissance qui approche. Tout en continuant son mouvement de bassin, il se met à me pisser dessus. Sa queue étant très bandée, le jet fait un arc très haut, et lui arrive presque au visage avant d'atterrir sur mon estomac. Il penche la tête un peu en avant, et sans même avoir à tenir sa queue, il vise sa bouche avec son jet d'urine. Il en prend une grosse gorgée, puis s'amuse à me la recracher au visage. A mon tour j'ouvre la bouche pour recevoir sa pisse ainsi déviée.

  • « Ralentit un peu, je sens que je vais bientôt jouir » lui dis-je

  • « Eh bien au contraire, vas-y, jouis moi dans le cul. »

Et au lieu de ralentir, il accentue le mouvement et attrape sa bite pour m'envoyer sa pisse directement dans ma tronche. Je n'en peux plus, et j'explose dans son cul. A chaque jet de sperme qui sort de ma queue, je sens tous mes muscles qui se contractent. Je sens le plug que j'ai dans le cul comme s'il était deux fois plus gros. Jamais je n'ai connu une telle jouissance jusqu'à maintenant. Alors que je commence à me calmer, mon cavalier arrête son galop, et sans déculer, viens m'embrasser passionnément. Puis il éloigne un peu ses lèvres, va lécher un peu de merde que j'ai sur le nez. En même temps, il attrape sa bite et commence à se branler.

  • « Ouvre la bouche en grand » dit-il en libérant ma bite de son cul, en approchant sa queue tout en accélérant le mouvement. « C'est l'heure de l'apéritif... mais n'avale pas, laisse la saveur se dégager sur ta langue »

Et tout en gardant sa queue à quelques centimètres de ma bouche grande ouverte, il m'envoie sa douce semence dans la bouche. Comme demandé, je n'avale pas, je le laisse remplir ma bouche. Et pour quelqu'un qui a déjà jouit une sacré dose il y a à peine 3 heures, on peut dire que cette 2ème tournée est tout aussi riche et onctueuse. Je savoure la saveur, la texture, l'odeur, le goût pendant que mon fournisseur pousse ses derniers râles de plaisirs. Puis il s'effondre sur moi, et vient me rouler une pelle pour goûter à son propre jus de mâle. On se passe son sperme de bouche en bouche, jusqu'à ce qu'il se soit complétement dilué dans nos salives et qu'on ait tout avalé.

  • « Pas mal, cet apéritif, non ? » me dit-il en essuyant de son index un morceau de merde que j'avais près de l'il, et en le glissant dans sa bouche. « Que dirais-tu de se manger la 1èrepizza ? »

  • « Volontiers, je meure de faim... Attend, je me lave les mains et... »

Et là, le voilà parti dans une crise de rire

  • « Qu'est-ce qu'il t'arrive ? »

  • « Tu viens d'avaler ma jute, avant ça tu as bu ma pisse, depuis 30min on se dandine dans la merde de la tête aux pieds... et malgré tout ça, tu penses à te laver les mains avant de manger ? Mais pourquoi faire ? » me répond-il

  • « C'est que... c'est que je ne peux pas avaler de merde, ni même en prendre en bouche »

Voyant à quel point je suis gêné, il arrête aussitôt de rire, me prend délicatement la tête dans ses mains, et me fixe de son doux regard.

  • « Excuse-moi, je ne voulais pas te vexer. Si tu ne peux pas avaler de merde c'est tout-à-fait normal au début ! Depuis que tu es bébé, on te dit que la merde, ce n'est pas bon, c'est sale, etc. etc. Alors forcément, le cerveau est conditionné, et il y a des automatismes à vaincre. Ça viendra avec le temps, et avec un peu de travail. Je peux t'aider pour ça si tu veux. En attendant, fais voir tes mains, je vais les laver pour toi »

Et doigt après doigt, il me lèche les mains, tout en plongeant son regard dans le mien. Une fois toute trace de merde partie, il se penche par-dessus le rebord de la baignoire et attrape la 1èreboite de pizza. Je m'assoie dans la baignoire, lui reste à genoux. Il pose la boite sur mes cuisses et l'ouvre. Ce n'est franchement pas confortable, une baignoire, à 2 : qu'est-ce que j'aimerais avoir un grand matelas plastifié, ou en cuir, comme dans les films pornos ! Qui ne craignent rien, qui retiennent la pisse autour du corps, mais permettent de faire des galipettes plus librement que dans une baignoire! Nous nous servons chacun une première part, que nous avalons rapidement : besoin de reprendre des forces.

  • « Tu veux boire quelque chose ? » lui dis-je en m'attrapant un coca. « J'ai du coca, de la bière,... Au fait, c'est quoi ton prénom ? »

  • « Manu... une bière, oui, merci... Et toi, ton prénom ? »

  • « Loïc »

Nous continuons à manger et à boire, dans notre nid de pisse et de merde. Au moment où Manu prend la dernière part de la 1ère pizza, il se lève et dit :

  • « Ça ne te gêne pas si je rajoute un ingrédient sur cette dernière part ? Car je garde là au chaud depuis quelques minutes une sauce qu'il me tarde de goûter ! »

Je lui réponds non de la tête, et le regarde se retourner et se pencher en avant, présentant son cul merdeux à quelques centimètres de mes yeux. Tout en me regardant entre ses jambes, tête en bas, il présente sa part de pizza sous son trou, et commence à ouvrir sa rondelle et pousser tout doucement. Je vois alors mon jus s'écouler doucement, liquide blanchâtre au milieu des nombreux dépôts bruns, et goutter sur la pizza. Une fois complétement vidé de ma semence, il se redresse, me fait face à nouveau, et engloutit sa part de pizza ainsi enrichie.

  • « Tu veux goûter ?... il n'y a pas de merde dedans, promis » me propose-t-il

  • « OK, mais juste un petit bout... j'ai moins faim».

Je croque un morceau dans la part, goutant mon jus par la même occasion, et le regarde finir le morceau. J'ai une soudaine envie de pisser. J'attrape ma queue et balance le jet d'urine sur le dos de Manu

  • « Malheureux, arrête ! Le temps que je me retourne ! Ça tombe bien, j'avais soif et pas envie d'entamer tout de suite une nouvelle bière ! »

Il se retourne, gobe mon jet de pisse, et descend jusqu'à sa source : il enfourne ma queue, à quatre patte, et boit comme un bébé tête un biberon. J'ai quant à moi sa queue toute merdeuse au-dessus du visage. Tout en gardant ma queue en bouche, il retire doucement le plug de mon cul et le remplace par deux de ses doigts. Puis il se laisse tomber sur moi, me fourrant ainsi ses bourses toutes merdeuses sous le nez. Je voudrais bien le sucer, mais il y a tellement de merde sur sa queue ! Je l'attrape quand même et la présente tant bien que mal à mes lèvres, sors la langue et commence à en lécher le gland : malgré l'excitation du moment, j'ai du mal à freiner mon dégoût ! Je me force à réessayer un peu, cette fois en ouvrant les lèvres et attrapant tout son gland. Au même moment, par un malencontreux hasard, Manu contracte le bassin, ce qui a pour effet de faire rentrer sa pine nettement plus profondément que ce à quoi j'étais préparé. Un haut de coeur me prend soudain, et je recule instantanément la tête, par reflexe, me cognant l'arrière de la tête sur la baignoire. Aïe ! Manu, qui a compris ce qu'il vient de se passer, se retourne :

  • « Oh excuse-moi ! ça va ? »

  • « Oui, oui... Ce n'est rien. Pas de mal, j'ai juste été surpris.... Je suis désolé, je ne suis pas encore prêt pour te tailler une pipe avec autant de merde... j'ai essayé mais ça ne passe pas. »

  • « Ne t'en fais pas, ce n'est pas grave. Ça viendra avec le temps. Tiens, en attendant, tourne-toi, mets-toi à genoux, et pose tes bras et ta tête sur le bord de la baignoire, aussi confortablement que possible »

  • « Je suis désolé, de ne rien avoir de mieux que la baignoire à t'offrir comme terrain de baise ! On aurait été mieux dans un lit ! »

  • « As-tu fini d'être désolé, oui ? Ce n'est certes pas super confortable, mais je trouve ça marrant et excitant, au contraire ! C'est un peu comme baiser à l'arrière d'une voiture ! »

  • « Si tu le dis... jamais essayé » lui réponds-je en souriant

Une fois en place, il a repris l'exploration de mon trou avec ses doigts experts. Après quelques va-et-vient qui m'ont fait lâcher de longs soupirs de plaisirs, il se retire, et je sens désormais sa langue et son souffle sur ma rondelle. Mmmm. C'est très agréable ! Il me « rime » ainsi pendant plusieurs minutes, puis se redresse

  • « M'autorises-tu à t'enculer, mon cher Loïc ? »

  • « T'autoriser ? tu te moques de moi ? je t'en SUPPLIE : ENCULE-MOI !!!»

  • « Je vais y aller doucement. Si jamais je te fais mal, surtout dis le moi. Déjà, je vais un peu réhumidifier la merde que j'ai sur la bite, car elle a trop séché. La pisse qui stagne au fond de la baignoire devrait faire l'affaire...là, oui, c'est bien gras maintenant. »

Et il présente son gland sur ma rondelle. Malgré ma longue séance de godage tôt ce matin, et le fait d'avoir porté un plug toute la matinée, je sens une certaine résistance. J'essaye de me détendre un peu, et voilà le gland est passé. Pas de douleur particulière, que du plaisir. Manu continue à avancer. Quelle présence, quelle chaleur dans mon cul ! Ni avec Bruno, ni encore moins avec mes godes, je n'avais connu une telle sensation de plénitude. J'en râle de plaisir !

  • « ça va ? » s'inquiète Manu ?

  • « Oh OUUUIIII, surtout ne t'arrête pas... continue... oui, c'est trop bon !.... »

  • « Humm ton cul est très accueillant »

Je sens son pubis contre mes fesses : il est arrivé au bout. Il se retire alors de quelques centimètres, et me réenfonce sa bite jusqu'à la garde. Il recommence, en augmentant à chaque fois la course et le rythme. C'est trop bon ! A chaque coup de buttoir, c'est comme si j'avais envie de chier, de pisser, de jouir, de me lâcher complétement ! Je suis dans une sorte d'état de transe, j'en tremble de plaisir ! Manu, en voulant changer de position, glisse sur le fond de baignoire qui est une vraie pataugeoire de pisse et de merde.

  • « Merde ! » lâche-t-il en riant « je glisse »

  • « Ça va ? je ne sais pas pour toi, mais moi je prends mon pied »

  • « Ça, j'avais remarqué » dit-il en m'embrassant dans le cou et en reprenant son rythme « Je n'imagine même pas ton état si tu avais eu le cul plein, on aurait tous les 2 décollé au 17èmeciel !!! »

  • « Je suis désol... »

  • « ARRETE avec ça ! Tu ne pouvais pas savoir ! et puis ce n'est que partie remise, ne t'inquiète pas ! En attendant, on va essayer quelque-chose»

Et là, je le vois se mettre debout et sortir de la baignoire

  • « Ne t'inquiète pas pour les traces, je t'aiderai à nettoyer ! tiens, viens plutôt t'assoir sur le rebord, dans le coin de la baignoire... là.... Avec le rebord carrelé, tu devrais pouvoir t'allonger sur le dos sans que ça ne soit trop instable ni inconfortable »

  • « Ahh, c'est froid » lui réponds-je... Ma queue a un peu fléchie, il faut dire que l'opération relève un peu du numéro d'équilibriste !

  • « Maintenant, mets tes jambes sur mes épaules... comme ça, oui... ne t'inquiète pas, je te tiens. Bien, écarte les fesses et présente moi à nouveau ton beau trou »

Et installé tant bien que mal dans cette nouvelle position, je regarde Manu attraper sa queue dans sa main droite et la présenter devant ma rondelle. Mais il ne l'enfonce pas tout de suite. Il me regarde dans les yeux, et je le vois forcer un peu, tout en reculant sa main gauche entre ses cuisses. Quelques instants plus tard, il ramène cette main devant, avec une grosse bouse dedans...

  • « Ça alors ! il te restait encore tout ça dans les entrailles ?! »

  • « Et oui... je suis un homme plein de ressources » me répond-il avec son énorme sourire charmeur

Et il positionne sa main pleine de cette merde fraichement pondue à l'entrée de mon cul, tandis qu'avec sa queue, il ramasse au passage un peu de merde avant de la pousser entre mes fesses puis dans mes intestins ; un peu comme un gamin qui racle son doigt dans un pot de Nutella avant de l'apporter à sa bouche pour l'essuyer. Il renouvelle l'opération plusieurs fois, et m'encule de plus en plus loin, tout en douceur. Dans cette position, je sens beaucoup plus sa bite contre ma prostate, et c'est encore plus agréable. A chaque fois qu'il ressort sa queue, il la racle contre ma rondelle et petit à petit, il me remplit le fion de sa merde. Ç'est étrange - mais agréable - de sentir cette merde chaude et étrangère rentrer dans mon cul. Comme chier à l'envers. Curieux, mais jouissif. Après avoir ainsi vidé plus de la moitié de sa main, il dépose le reste de merde sur ma bite, sans l'écraser, et s'essuie la main sur mes bourses.

  • « Vas-y, branle toi avec ma merde, pendant que je t'encule ! Je veux te voir jouir avec ma bite dans le cul ! »

Et il accélère le mouvement, remuant sa merde au fond de mon cul. De temps en temps, il vient cueillir le surplus de merde qui déborde, et me l'étaler sur le torse ou le visage. J'en peux plus : je me branle comme un furieux, écrasant la merde entre mes doigts et ma bite. Moi aussi, j'attrape toute la merde que je peux trouver, et me l'étale partout, l'étale aussi sur les abdos de Manu, qui se contractent à chaque coup de burin. Trop vite, je sens ma sauce qui monte. Et un nouveau petit geyser blanc jaillit de mon gland, et vient s'écraser sur mon nombril, formant un petit lac au milieu de ce désert d'excrément, qui commence à craqueler par endroits. Il n'en faut pas plus pour que Manu à son tour m'envoie de puissants jets de foutre au fond du cul, en poussant de grands cris de plaisir. Avant même de reprendre son souffle, sans déculer, il trempe son index dans mon petit lac de foutre, et le porte à sa bouche. Il recommence, et cette fois me dit

  • « tu veux réessayer ? c'est vrai qu'il y aura un peu de merde sur mon doigt, mais ton jus est chaud et tellement bon, que ça pourrait passer »

Je décide de tenter, et lèche son index. Je ne suis franchement pas super fan, mais pour faire plaisir à Manu, je lui propose de recommencer. Et il alterne un coup ma bouche, un coup la sienne. AU moment où le petit lac de mon nombril est asséché, je sens un peu de mouvement au fond de mon cul, une nouvelle chaleur... un liquide... il est en train de me pisser dans le cul ! Ouah, j'en avais rêvé, et voilà que ça devient une réalité. Du coup, ma vessie a soudain elle aussi envie de se vider, et je me mets à pisser sans contrôle, sur mon ventre. Je ramasse cette pisse et me masse partout, ventre, torse, cuisses, réhydratant ainsi une partie de la merde séchée que j'ai sur le corps. Quand nous avons tous les deux fini de pisser, Manu se retire doucement et me repose délicatement mes jambes par terre. Puis il rentre et s'allonge dans la baignoire :

  • « Tourne toi un peu et présente ton cul au-dessus de ma tête, voilà... Vas-y, rends-moi tout ce que tu as dans le fion : ma merde, mon foutre, ma pisse »

Je m'exécute et c'est un véritable feu d'artifice qui sort de mon cul. Il y en a partout, Manu secoue la tête, me lèche le fion, tousse, revient à l'attaque. Il empoigne sa bite qui a à nouveau retrouvé sa rigidité (mais comment fait-il ???) et se branle à fond tout en se rinçant le visage sous cette douche 3 parfums... Une fois que mon cul est complètement vidé, j'attrape sa bite et le branle un peu. Mais il me dit d'arrêter pour le moment. Aussi, je rentre dans la baignoire et m'allonge sur lui, il me prend dans ses bras, et nous soufflons un peu. Après 10 min de repos, Manu me demande une autre bière, je me prends un coca.

  • « On entame la 2ème pizza ? », lui propose-je

On reprend ainsi quelques forces, même si c'est sans grand appétit... surtout que la pizza est désormais froide. On attrape ensuite les yaourts. Si je décide de manger le mien très... conventionnellement, Manu lui en a décidé autrement. Il le secoue avant de l'ouvrir, pour le rendre liquide, et m'en verse sur le visage

  • « c'est un peu comme ce matin, mais avec du jus encore plus blanc, sur une peau nettement plus... bronzée. Très excitant ! » m'explique-t-il, avant de venir lécher sa création artistique.

Il reproduit un scénario similaire, cette fois en partant de ma queue, et en dessinant des trainées blanches sur mon estomac et mon torse... il s'amuse comme un fou, dans un trip pseudo-éjaculation massive. Une fois les yaourts ingurgités, Manu me réclame les bananes.

  • « Encore faim ? moi je ne peux plus rien avaler » lui dis-je

  • « Ouais, encore faim... Mais surtout envie de jouer avec la nourriture, comme on m'a interdit de le faire quand j'étais petit... Et envie de continuer à jouer avec ton beau petit cul. »

  • « Oh non... Le coup de la banane dans le cul ? c'est pas un peu cliché, ça ? »

  • « Cliché ? je ne sais pas, mais en tout cas banane + foutre + merde me semble être un mélange vitaminé qui convient bien pour un dessert après autant de sport... Si tu me permets de jouer avec ton cul, bien sûr ? »

  • « Oh, mais mon cul est à toi, je t'en prie ! »

  • « Par contre, si je ne veux pas faire de la purée avec les bananes, il faut que j'élargisse à nouveau ta rondelle. Prêt pour une petite enculade ? Alors mets-toi à nouveau à quatre pattes, petite chienne en chaleur ! »

Et ops, c'est repartit. Ses coups de reins réveillent ma bite qui a retrouvé toute sa vigueur et que je branle en même temps. Mais après 5min, il se retire, et je le vois attraper une première banane. Il l'épluche :

  • « Humm... elles sont bien mures, ça ne vas pas être facile. Vas-y, détends-toi » dit-il en faufilant le fruit entre mes fesses merdeuses. « Oui, ça rentre. Ah, zut, elle a cassé. Attends, je vais pousser avec ma queue »

Et il me sodomise à nouveau une petite minute, avant d'introduire une nouvelle banane. Et il alterne comme ça, enfilage de banane et sodo. En tout, c'est 3 bananes qu'il me met dans le cul. Il n'a pas dû assez manger, il faut croire ! Après la dernière banane, il reprend la sodo, qui n'est pas très confortable tellement j'ai le cul plein.

  • « Allez, fais-moi jouir, mon beau : j'adore les bananes au jus ! » dit-il en m'enculant férocement.

Après 5 min à me faire enculer de la sorte tout en me branlant, je sens mon propre jus monter et lui dis. Il me redresse alors, et me fait assoir sur le rebord de la baignoire, le cul en avant, et sort afin de me voir jouir, tout en m'enculant. Je reprends ma branlette et lui ses coups de reins, et peu après, alors que je cris mon plaisir, il se penche et prend ma bite en bouche juste avant que je lui crache quelques jets de foutre au fond de la gorge. Il redonne quelques coups de queue et à son tour, lâche la purée au milieu des bananes. Il se retire et me montre sa queue, qui offre un étrange spectacle : des amas de purée de banane se mêlent harmonieusement à la merde ici et là, et du sperme perle sur le gland. J'attrape Manu par les fesses, et approche sa queue de mon visage. Tenté, je sors ma langue et lape les gouttes de sperme sur son gland, faisant frissonner Manu de plaisir. Puis je prends le gland en bouche, et commence à le pomper. La banane donne un gout plutôt agréable à l'ensemble, même si quand je tombe sur un morceau de merde, des haut-le-cur rappellent mes « interdits » à l'ordre. Je continue malgré tout à le pomper, et Manu, embarqué dans le plaisir, attrape ma tête et la tire vers son bas-entre. C'est alors que sa bite a dû trop s'enfoncer, et je me mets à lui vomir dessus. Mon vomi coule sur sa queue, ses bourses. Je cherche à m'échapper, mais les mains de Manu retiennent ma tête. Manu maintient sa prise quelques secondes avant de me relâcher. Je reprends ma respiration, puis me redresse et le regarde sévèrement

  • « Eh, j'ai failli m'étouffer ! » ...

  • « Excuse-moi, je ne voulais pas te faire de mal »

  • « Pardon de t'avoir vomi dessus.... »

  • « Oh mais tu peux recommencer quand tu veux, tout ce qui sort de ton corps est agréable pour moi !

  • « Quel gros porc tu fais ! Mais ça me plait bien » dis-je en m'essuyant la bouche

  • « Tu veux te rincer la bouche ? il se trouve que j'ai envie de pisser désormais »

  • « OK, pour me rincer »

Il me pisse alors dans la bouche, et je me fais un petit gargarisme avant de lui cracher sur le visage. Il me fait ensuite rassoir sur le bord de la baignoire, cul en avant, et me fait écarter les jambes. Je pousse alors pour lui recracher la purée de banane-sperme dans sa bouche gourmande, tout en le regardant manger. De temps en temps, il vient m'embrasser pour me donner quelques bouchées. Je continue à pousser, et là je vois son regard briller de plaisir. Il se recule et ouvre la bouche : je comprends alors son regard : ce n'est plus de la banane là, mais de la merde !

  • « Hmmmm, elle est trop bonne ta merde » me dit-il en mâchant ma timide production.

  • « Si tu le dis », lui réponds-je en souriant « Je suis content pour toi que tu aies pu y goûter au moins un peu, car je pensais être complétement vide... »

Une fois le festin terminé, je me redresse, et regarde autour de moi : quel chantier ! Non seulement la baignoire est complétement marron, mais le sol n'est pas beaucoup mieux ! Je regarde la pendule, il est 14h30

  • « Manu, je suis sincèrement désolé, mais il faut qu'on commence à nettoyer tout ce bordel et à bien se laver. J'ai peur qu'on en ait pour des heures, et bien sûr tout doit être nickel avant que mon copain rentre ! »

  • « OK... je comprends... eh bien allons-y !»

Et nous commençons à tout récurer... Autant tout seul, la tâche m'était pénible, autant ici à deux, nous nous amusons en même temps... Le caméscope tourne toujours, et parfois nous faisons les pitres devant. L'opération nettoyage nous prend plus d'une heure, mais au final nous sommes venus à bouts des traces, tout désinfecté à l'eau de Javel, etc... Il reste malgré tout une odeur dans la maison : nous ouvrons tout en grand, usons à fond de Fébrèze, déodorant, bougies, et autres « masques d'odeur».

Le nettoyage en profondeur de nos corps n'a pas été simple non plus, surtout sur moi, à cause de mes poils plus longs que ceux de Manu :

  • « Tu sais, tu devrais tondre tes poils un peu plus courts, surtout sur tes fesses, tes cuisses, et ton ventre » me dit-il

  • « Peut-être. Mais je ne veux pas me raser non plus. Je me donne bien un coup de tondeuse de temps en temps, en tout cas sur le ventre et le torse... mais pour les fesses c'est pas facile tout seul !»

  • « Je pourrais t'aider si tu veux ! Quoique, non, j'ai beaucoup mieux ! Si tu es prêt à débourser un peu, mais ça en vaut le coup, je connais un copain esthéticien qui tient un institut réservé aux hommes. Il propose un forfait complet, depuis la coiffure, jusqu'au soin du visage, épilation, soin du corps, modelage, etc. Ses massages sont exquis... et, si tu le contactes de ma part, vu ton beau petit cul et ta belle queue, tu auras même droit à un massage intégral que tu ne seras pas prêt d'oublier ! Tu me feras penser à te filer ses coordonnées ? »

  • « OK, avec plaisir »

Et nous continuons notre récurage mutuel, frottant nos corps avec plaisir. On utilise le tuyau de douche pour bien se rincer l'intérieur du cul... Ce qui ne manque pas de nous donner encore envie d'une petite sodo, l'un après l'autre. Puis nous prenons un petit bain moussant, moi allongé sur Manu, qui 'amuse avec ma queue et la mousse pendant que nous nous reposons ainsi dans l'eau.

Notre corps sentant encore un peu, je propose à Manu d'aller au centre Nautique de Villejuif, qui est proche, afin de se faire une séance complète piscine-sauna-hammam : rien de tel pour supprimer les odeurs résiduelles sur le corps. Nous partons donc au centre et profitons des bienfaits de la séance sur nos corps. Il est 17h quand nous revenons à la maison. En entrant, on remarque bien encore une odeur particulière... Mais elle reste assez discrète. J'espère que Bruno ne remarquera rien !

Manu me file ses coordonnées. Lorsque je lui donne les miennes, je me sens tout vide et malheureux. Il me manque quelque chose sur le corps, je me sens nul. Et aussi quelque chose dans le cul, c'est comme si j'avais toujours envie de chier tout en sachant que je suis vide... C'est une terrible sensation de manque. Manu m'embrasse longuement, en me promettant de me contacter très vite pour réorganiser un plan chez lui cette fois...