Invasion : alternative part 6

Story by Grand_Alezan on SoFurry

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#6 of Invasion : alternative


Sixième partie : Un autre jouet

  • Mesdames Messieurs chers membres j'ai l'honneur de vous présenter Stéphanie.

Suite à l'incident avec Clémence, Stéphanie avait décidé de vivre son amour avec Alan un peu plus ouvertement. Afin de mettre en application cette promesse, elle s'était rapprochée de "La société de protection et de sauvegarde des Equinhaurs" dont lui avait parlé le commissaire Lacour. Elle passait du statut de membre bienfaiteur anonyme à celui de membre actif. Ce soir elle participait à sa première réunion et en tant que nouveau membre elle était à l'honneur.

La réunion se tenait comme tous les premiers vendredis de chaque mois dans une salle de séminaire d'un grand hôtel de luxe du centre ville. Stéphanie avait l'impression de se retrouver à une présentation du bilan financier de son groupe à un comité d'actionnaires importants. Hormis l'estrade où elle se trouvait avec le commissaire Lacour, président de cette association, toute la salle était plongée dans l'obscurité. Il y avait aussi la même ambiance feutrée, personne ne faisait de bruit, pas un mot, même pas un chuchotement. Jusqu'à l'apparence de la salle, à la décoration sobre et cosy au style moderne et épuré mais indiscutablement luxueux, tout lui faisait penser à son travail.

Pourtant devant elle ne se trouvait ce soir que des gens aussi passionnés qu'elle par les equinhaurs. On ne lui avait encore présenté aucun des autres membres mais la jeune femme en était quasiment certaine, elle ne connaissait personne. Toujours est-il que si elle n'avait pas eu l'habitude de s'exprimer en publique dans ce genre de situation, jamais Stéphanie n'aurait pris la parole, mais elle le fit très naturellement sans aucune appréhension.

  • Permettez moi avant tout de vous saluer, commença t-elle. En tant que petite dernière, c'est avec plaisir et honneur que je me plie bien volontiers au jeu de la présentation. Peut-être que certains d'entres vous me connaissent déjà du fait de mon activité professionnelle. Vous êtes nombreux et j'espère moi aussi avoir rapidement la chance de faire votre connaissance.

Comme l'a dit notre cher président, mon prénom est Stéphanie. J'ai eu la chance de connaître votre association grâce à lui. Après bientôt un an de participation discrète et passive il a finit par me convaincre de m'impliquer un peu plus activement dans vos activités. Ainsi me voici parmi vous ce soir. Mais si je suis là c'est aussi en l'honneur de l'equinhaur qui partage ma vie et par respect pour ses congénères car je ne sais que trop bien à quel point ils ont besoin de nous. Je voulais aussi vous faire part de l'admiration que j'ai pour vous, hommes et femmes, qui avez eut le courage de vous opposer à l'extermination d'une espèce en position de faiblesse. De vous montrer au grand jour afin de faire savoir que les equinhaurs méritent aussi le droit à la vie et à la dignité.

Sans vous et vos combats des premiers jours, nous n'aurions peut-être déjà plus rien à défendre.

J'espère un jour me hisser à votre niveau et faire moi aussi quelque chose de significatif pour protéger nos amis de la cupidité humaine. Merci

  • Merci Stéphanie, remercia finalement le président qui ne s'attendait visiblement pas à un discours si bref. Il est maintenant temps de vous présenter le bilan du mois passé.

Stéphanie alla s'asseoir à la place qui lui avait été réservée au premier rang, et en manager avisée, écouta avec intérêt le bilan mensuel exposé par le commissaire Lacour. Ce fut plus long qu'elle ne le pensait tant l'association oeuvrait dans différents domaines ayant trait à la protection des equinhaurs.

Ensuite la lumière dans toute la salle s'alluma progressivement pour laisser l'occasion aux personnes présentes de s'exprimer et de poser des questions. Discrètement, Stéphanie se retourna pour lancer de rapides .."illades à l'assemblé. Ils étaient une bonne cinquantaine. Seuls les membres les plus assidus et les plus impliqués dans la cause participaient régulièrement aux réunions. L'association comptait en réalité plusieurs centaines d'adhérents, sans compter les bienfaiteurs anonyme comme Stéphanie l'avait été jusque là .

Ils respectaient presque la parité, sans que ce soit voulu, car il y avait ce soir presque autant d'homme que de femme. Les femmes restaient quand même légèrement majoritaires.

Stéphanie ne reconnu personne, ne siégeaient là que de parfaits inconnus. La moyenne d'âge se situait plutôt aux environs de la cinquantaine mais elle remarqua trois autres femmes et deux hommes d'environ son âge. La présence d'une jeune fille de dix-huit ans à peine l'interpella. Etait-elle là pour accompagner quelqu'un ou était-elle là de sa propre volonté ? Stéphanie en vint d'ailleurs à se poser des questions sur les motivations de ces gens. Ne faisaient-ils tout ça que par pur dévouement, sans aucun intérêt personnel et en ayant la conviction de défendre une cause juste et noble ?

Elle se dit que parmi toutes ces femmes, dont certaines avaient l'allure de mamies bourgeoises, il devait bien y en avoir des aussi dépravées qu'elle, qui venaient ici pour se donner bonne conscience. Et puis chez les hommes, certains devaient également avoir chez eux une petite jument qu'ils utilisaient pour satisfaire leurs besoins les plus primaires.

Il n'était pas possible qu'elle soit la seule dont l'intérêt pour les equinhaurs soit initialement sexuel.

Toujours est-il que ces gens là devaient avoir de l'argent et du pouvoir. L'association avait plus des airs de club privé très sélect que d'une .."uvre caritative.

Au terme de la réunion officielle, s'ensuivit, comme d'habitude, un apéritif. Malgré l'heure déjà tardive, c'était l'occasion idéale pour permettre aux membres de discuter entres eux et de faire connaissance. Après tout, c'était peut-être ce qui motivait la présence des "mamies bourgeoises" qu'avait remarqué Stéphanie.

Elle suivit tranquillement le groupe jusqu'à la salle adjacente où avait été préparé un buffet froid et des boissons présentées par quelques serveurs.

Rapidement de petits groupes se formèrent et les discussions s'engagèrent. Le commissaire Lacour était déjà entouré par une demi douzaine d'autres membres qui continuaient à débattre sur ce qui avait été dit pendant la présentation des bilans. Stéphanie ne voulait pas s'imposer parmi eux malgré que le commissaire reste la seule personne qu'elle connaissait pour l'instant.

Elle resta donc dans son coin, un verre de champagne à la main, à scruter la salle et ses occupants. Non, décidément elle ne connaissait personne.

  • Bonsoir madame, finit-on par l'interpeller.

  • Mademoiselle... s'empressa t-elle de corriger.

C'était les deux "mamies" qui sans doute curieuses comme ce n'est pas permit, venaient pour l'interroger.

  • Stéphanie c'est ça ? demanda la première.

  • Oui Stéphanie Himerlay, précisa t-elle avant qu'on ne lui pose la question.

  • Il me semble que j'ai déjà entendu parler de vous, fit la deuxième, c'est bien vous qui été dans les transports subspatial.

  • En quelque sorte oui, le groupe pour lequel je travail construit des appareils de classe subspatialle mais nous ne les exploitons pas.

  • Ah ! Et donc vous vous intéressez aux Equinhaurs...

  • Oui je trouve que ce sont des gens merveilleux et je ne supporte pas tout le mal qu'on leur fait.

  • C'est formidable que des gens de votre génération ouvrent enfin les yeux sur ce qui ce passe.

  • C'est peut-être parce que je ne suis pas née ici que ça me révolte tant.

  • Oh, vous n'êtes pas de Siemu ?

  • Hé non, je suis née sur Terre...

  • Une terrienne ! C'est rare que des gens de la Terre atterrissent ici, dans la banlieue de l'univers. Vous ne deviez pas être trop contente le jour où l'on vous a annoncé qu'il fallait venir ici.

  • C'est moi qui ai demandée à venir...

  • Très étonnant ! Mais c'est bien, il en faut des gens comme vous...

Et la conversation se poursuivit ainsi pendant un moment. Jusqu'à ce qu'un petite voix vienne les déranger.

  • Excusez-moi mesdames, Bonsoir.

Toutes trois se tournèrent vers elle. C'était la toute jeune femme qu'avait remarqué Stéphanie à la fin de la réunion. Elle cherchait visiblement à prendre part à la conversation.

  • Ah, voici notre gentille petite fouineuse obsédée ! fit l'une des deux "mamies"

Cela étonna Stéphanie, elle avait employé ces mots sans aucun sous-entendu négatif, avec même un accent d'humour et de tendresse.

  • Stéphanie, je vous présente Victoria, la plus jeune mais aussi la plus obsédée de nos membres. Elle n'arrête pas de parler de sexe et fantasme tout particulièrement sur les étalons equinhaurs... mais on l'aime bien quand même. Elle est un peu la mascotte de l'association.

  • Si elle vous embête avec ses conversations obscènes n'hésitez pas à lui dire, elle à l'habitude. Fit l'autre en riant.

  • J'assume mes fantasmes au moins, grimaça Victoria.

  • Brave petite ! lui répondit-elle en lui tapotant le haut du crâne comme on le ferrait pour féliciter un petit chien.

Puis les deux "mamies" prirent congé tout en continuant de plaisanter sur la libido visiblement débordante de la jeune fille. La jeune Victoria était une petite brune, cheveux mi-longs aux mèches teintées de roux. Son très beau visage aux traits doux, ses jolis yeux noisette et son air sage ne laissaient pas du tout présager sa réputation. Son corps devait mûrir encore un peu pour effacer ses derniers airs d'adolescente mais elle avait déjà de vraies formes de femme. Stéphanie un peu jalouse, remarqua immédiatement sa poitrine généreuse.

  • Ne faites pas attention à elles, fit Victoria, ce sont les commères de l'association et sous leurs airs coincés, ce seront les premières à venir me demander de quoi nous avons parlé.

  • Enchantée alors, Victoria, répondit Stéphanie. Tu peux me tutoyer au fait. Même si j'ai bientôt trente ans, je suis encore jeune dans ma tête. Et toi quel âge as-tu ? seize ? dix-sept ans ? tu fais toute jeune...

  • J'ai dix-neuf ans, je suis en prépa pour rentrer en école vétérinaire. Mais on me dit toujours que je fais gamine, ne t'en fait pas j'ai l'habitude.

  • Il vaut mieux ça que l'inverse, fit remarquer Stéphanie amusée. Ça tombe bien que tu viennes me parler, j'avais envie de faire ta connaissance. Pour tout avouer, je suis intriguée par la présence d'une personne aussi jeune que toi.

  • Ouais je sais, on me fait tout le temps la remarque. Comme l'ont dit les deux vieilles, c'est parce que je m'intéresse surtout au sexe des equinhaurs. Il n'y pas meilleur moyen que cette association pour en apprendre le maximum sur eux. Je compte faire mon mémoire de fin d'étude sur la reproduction et la sexualité des equinhaurs. L'association c'est le meilleur moyen que j'ai trouvé pour collecter des données à ce sujet.

  • Hormis le fait d'en avoir un à la maison... mais je suppose que tu n'en a pas.

  • Non malheureusement, j'en aurai un je ne serai pas là à en parler, je passerais mon temps empalée sur sa queue... Euh ! pardon... des fois je cause comme si j'étais en train de parler cul avec mes copines, désolée. J'espère que ça ne te choque pas que j'aie envie d'un étalon ? Je sais que certains ici ne tolèrent pas trop ce mélange sexuel entre nos deux espèces, alors si ça te gène dit le. D'ailleurs si je suis venue te parler c'est dans le but d'avoir ton opinion sur le sujet.

Et tout en finissant sa phrase, Victoria sorti de sa poche un terminal afin de saisir les réponses de Stéphanie.

  • Je suis tout à fait pour ce mélange des espèces comme tu dis ! Il permet de rapprocher nos peuples et de montrer que nous pouvons vivre ensemble dans une parfaite entente mutuelle.

  • Tu as un equinhaur chez toi ? Je sais que beaucoup de membres ont un equinhaur qu'ils emploient comme domestique, c'est pour ça que je te pose la question.

  • Oui, j'ai moi aussi un equinhaur à la maison, un jeune étalon très gentil et tout mignon si tu veux tout savoir.

  • Mmh... la chance ! fit Victoria qui commençait à sucer le bout de son stylet. Et tu as déjà fait des choses avec lui... je veux dire, tu as déjà eux des rapports sexuel avec lui ?

  • Oh oui !

  • Souvent ?

  • Pour reprendre ton expression : je passe ma vie empalée sur sa queue...

  • Ça y'est, je mouille... fit Victoria

  • Et toi, tu as déjà fait quelque chose avec un étalon ?

  • Non, je n'ai pas cette chance.

  • Comment ça se fait ? Tu dois pourtant avoir des occasions. Les equinhaurs ne sont pas très difficile à rencontrer.

  • C'est que je veux pouvoir faire l'amour avec un étalon, prendre mon temps tranquillement, chez moi, avec celui qui sera mon amour pour la vie. Je n'ai pas envie d'un plan à la sauvette derrière un conteneur à poubelle comme certaines le font. Le jour où je commence à le faire, j'ai envie de pouvoir recommencer aussi souvent que j'en ai envie et quand j'en ai envie.

  • Je comprends mais si tu n'as jamais essayé, comment tu peux être si sûre que tu vas aimer ça ? Si tu prend un equinhaur chez toi et que finalement ça ne te plait pas ou que ce n'est pas l'amant dont tu rêvais, tu ferras quoi ?

  • Quand je me touche je pense exclusivement à un étalon, je n'arrête pas de regarder des vidéos inter espèce, et tous mes godes sont en forme de bite d'equinhaur. En plus je n'ai jamais rencontré une femme qui m'a dit qu'elle était déçue par son étalon. Ceux qui acceptent les relations sexuelles avec les humains sont naturellement de très bons amants.

  • Ça existe les vidéos pornos avec des étalons !? s'exclama Stéphanie. Je n'en ai jamais trouvé. Ni des godes en forme de sexe d'equinhaur d'ailleurs... pourtant j'aimerais bien.

  • Tu as mal cherché, c'est tout, fit Victoria avec un clin d'.."il.

  • Tu trouves ça où ?

  • Il faut aller traîner du côté des quartiers chauds de la ville, dans les sex-shops là -bas. Mais ce n'est pas en vente libre, ça s'échange sous le manteau. Il faut gagner la confiance du patron pour qu'il t'emmène dans l'arrière boutique. Les films de ce genre sont interdits, on ne peut les lires que sur des terminaux bricolés qui sont déconnecté du réseau afin de ne pas se faire repérer, et bien entendu il ne faut surtout pas transfert un de ces films sur un terminal connecté au réseau. Ce n'est que des films amateurs. Un jour j'espère pouvoir en faire un ou deux de moi avec un étalon afin d'apporter ma contribution au genre et de permettre à d'autres de fantasmer en regardant ces films comme moi je le fais.

  • Et pour les godes ?

  • Pareil, ils sont souvent fabriqués en arrière boutique de ces sex-shops. Ils moulent la verge d'un étalon et produisent en petite quantité uniquement sur commande. Chaque boutique a donc ses propres modèles. En ce moment ils font la course à celui qui aura le plus gros à son catalogue. J'en soupçonne d'ailleurs certains de prendre le moulage non pas sur un equinhaur mais sur un vrai cheval.

  • Il faudra que tu m'amènes un jour dans une de ces boutiques, j'aimerais beaucoup avoir un de ces jouets.

  • Pas de problème, on ira faire du shoping entre copine, lui fit Victoria avec un nouveau clin d'.."il. Dit moi, j'aimerais que l'on parle des mensurations de ton equinhaurs, c'est pour mon rapport.

  • Si tu veux, mais je n'ai jamais vraiment mesuré.

  • Je veux juste la longueur et la largeur approximative de sa verge.

  • Hum... ça doit faire un peu plus de trente centimètres de long, et pour la largeur ça dépend à quel endroit tu comptes. Le gland doit faire un peu plus de six centimètre de large, et la verge entre cinq et pas tout a fait six, à peine plus à l'anneau prépucial.

  • Merci ! parfait. Tu pourrais me raconter comment tu l'as rencontré et comment vous en êtes venu à faire l'amour ensemble ?

Alors Stéphanie commença à lui résumer toute son aventure avec Alan, depuis le début des fantasmes avant même qu'elle n'arrive sur Siemu, jusqu'à sa première sodomie par l'étalon.

  • Ça fait rêver, finit par commenter Victoria dans un soupir.

  • Tu vois, ce n'est pas si compliqué d'avoir son étalon à la maison. En plus vu que tu connais l'association et le commissaire Lacour, tu pourrais parfaitement en recueillir un à la fin de sa période de quarantaine.

  • Malheureusement ce n'est pas si simple, mes parents n'aiment pas les equinhaurs. Il est hors de question qu'il y en ai un à la maison. Je leur ai demandé déjà plusieurs fois pour avoir un domestique equinhaur, mais ils refusent catégoriquement. Sinon tu penses bien que j'en aurais déjà un, ils ont largement les moyens pour ça.

  • Et ils savent à propos de tes fantasmes ?

  • Houlà ! non ! surtout pas. Le jour où je leur dis que j'ai envie de coucher avec un étalon ils me déshéritent et me mettent à la rue.

  • Tu exagères !

  • Non, ou à peine. Je n'ai jamais compris pourquoi ils sont comme ça. Du coup je suis obligée d'attendre d'avoir fini mes études et d'avoir mon appart à moi pour prendre un étalon, en espérant avoir rapidement les moyens de l'entretenir.

Sans qu'elle ne sache vraiment pourquoi, Stéphanie avait envie d'aider Victoria. Elle lui faisait un peu de peine. Elle s'imaginait à sa place, sachant à quel point il est bon de s'accoupler avec un equinhaur sans pouvoir le faire. Sans doute une séquelle de l'enlèvement d'Alan au début de leur relation. Et puis elle la sentait bien cette petite. Aussi l'idée de se faire une amie sincère partageant ses fantasmes lui semblait plutôt agréable.

  • Et si tu venais à la maison essayer avec Alan ? lui proposa t-elle finalement.

  • Non merci, je ne pourrais jamais faire ça !

  • Pourquoi ?

  • Tu imagines, si je tombe amoureuse de lui ? Je saurais qu'il est à ma portée, je pourrais peut-être même le retrouver pour recommencer tout en sachant parfaitement qu'il n'est pas à moi et que je devrais un jour l'oublier. Ça sera encore pire que de rester frustrée parce que je ne l'ai jamais fait. En plus, à ta place franchement je ne pourrais pas partager mon étalon avec une autre femme. Je ne sais pas comment tu peux réussir à me proposer ça sereinement.

  • Justement, c'est ça le problème. Je suis tellement jalouse que je ne supporte même pas l'idée qu'une autre femme voit Alan tout nu.

  • Alors pourquoi tu me proposes de coucher avec ? je ne comprends pas.

  • On va s'aider mutuellement. Tu va m'aider à rasséréner ma jalousie, et moi en échange je vais te permettre de vivre tes fantasmes.

  • Comment ça ?

  • Tu vas venir coucher Alan, au début j'attendrais dans la pièce à côté, jusqu'au jour où j'arriverais à te regarder baiser avec lui sans que ça me fasse mal. Je pourrais alors te filmer pour réaliser un autre de tes fantasmes.

  • Je ne sais pas, hésita Victoria. Je ne suis pas convaincue que ce soit une bonne idée. Si tu es heureuse avec lui je ne vois pas pourquoi tu cherches à te faire du mal comme ça. Et puis comme je t'ai dis, j'aurais trop peur de tomber amoureuse de lui tout en sachant qu'il n'est pas à moi. Tu n'es pas la première à me proposer de coucher avec l'étalon d'une autre tu sais. Des fois j'ai vraiment l'impression que les gens me prennent pour une salope en chaleur et qu'ils me proposent de coucher avec leur étalon pour que je me calme, je dois faire pitié... dit-elle dépitée tout en baissant les yeux.

  • Mais non ma chérie, rassura Stéphanie en lui faisant doucement remonter le menton avec sa main. Tu es jeune, tu as une libido débordante qui ne peut s'exprimer, c'est normal. Les gens savent ça et s'ils te le proposent ce n'est pas parce que tu fais pitié, mais parce que tu es sympathique et qu'ils ont envie de te faire plaisir.

  • Tu crois ?

  • Mais oui. Alors qu'est ce que tu en penses, tu viens ?

  • Je ne sais pas... Pourquoi tu fais ça toi ? pourquoi tu veux te soigner de ta jalousie ? ça ne changera rien dans ta relation avec Alan...

  • En fait c'est suite à une promesse que j'ai faite à ma meilleure amie. Elle à envie d'essayer avec Alan, mais moi je n'arrive pas à l'imaginer avec lui, ça me rend folle. Mais avec toi que je connais à peine, je sens que ça passera mieux. J'arriverais à me faire à l'idée qu'il puisse coucher avec une autre femme, quand c'est moi qui décide bien entendu, et je pourrais tenir ma promesse.

  • D'accord mais moi ? si je tombe amoureuse de lui ? tu vas faire comment, tu ne vas pas me le donner et je serais encore plus malheureuse que maintenant.

  • C'est à toi de me dire si tu penses que tu peux faire la part des choses, et le voir uniquement comme un amant et non pas comme ton amoureux. Si ça te plait je te promet que tu pourras venir à la maison aussi souvent que tu le veux... Et je peux même faire plus pour toi pour te remercier.

  • Quoi donc ?

  • Si j'arrive à me défaire de ma jalousie maladive, et que le sexe avec les equinhaurs te plait autant que tu l'imagines, je te paye un appart et l'entretient de ton étalon à toi. Et si jamais ça ne plait pas à tes parents que tu ais un equinhaurs chez toi, et qu'ils te déshéritent comme tu le crains, je prend en charge tes études jusqu'à la fin.

  • Vraiment !? s'enthousiasma Victoria. Tu ferrais vraiment tout ça pour moi, juste parce que j'accepte de me faire plaisir avec ton étalon ? Ça parait insensé !

  • Je sais et ça l'est, je dois être complètement folle de te promettre tout ça, mais ton amour pour les étalons me touche profondément. Je n'ai pas envie de te savoir malheureuse pendant encore toutes ces années alors qu'il y'a tant d'equinhaurs dehors dans la misère qui seraient tellement bien avec toi. Allé, appel tes parents et dit leur que cette nuit tu dors chez une copine.

  • Ce soir ! Je suis tellement excitée, c'est inespéré...

Stéphanie et Victoria saluèrent les autres membres encore présent puis s'éclipsèrent. En chemin Victoria posa plein de question sur Alan, sur sa manière de faire l'amour, sur ce qu'il aimait, sur ce qui l'excitait. Ce soir allait être sa toute première fois. Elle était à la fois pressée et anxieuse.

Stéphanie s'amusait à la voir gesticuler d'impatience dans son siège. Victoria était pleine d'innocence et de fraîcheur, c'est peut-être ce qui lui plaisait tant chez elle. L'idée de pervertir cette jeune femme sans doute vierge l'excitait, bien qu'elle se doutait que Victoria était autant sinon plus lubrique qu'elle. Avait-elle déjà songé à des rapports homosexuels entre filles ? Sans doute pas, il restait une chance à Stéphanie de la corrompre encore un peu plus qu'elle ne l'était.

Lorsque l'ascenseur arriva à l'étage de l'appartement de Stéphanie, Victoria senti sa gorge se nouer. Elle ne pouvait plus faire marche arrière et espérait que tout se passe bien. Elle était tellement anxieuse qu'elle n'était plus vraiment excitée. Fantasmer et parler de sexe c'est une chose, le faire avec un mâle ayant un membre deux fois plus gros que ce que son corps devait normalement accueillir s'en est une autre.

Stéphanie aussi était inquiète. "J'aurais jamais du faire ça" se dit-elle. Allait-elle vraiment supporter que son Alan couche avec une autre ? Rien que cette idée la rendait malade. Elle s'était engagée, impossible de reculer.

La porte s'ouvrit sur Alan qui bien sagement attendait sa maîtresse dans l'entrée de l'appartement. Stéphanie fondit dans ses bras avant de l'embrasser longuement.

Alan avait bien remarqué la jeune femme qui accompagnait sa maîtresse ce soir. Puisque sa présence ne semblait pas gêner Stéphanie, alors il n'en fit aucun cas et se montra aussi démonstrative qu'elle. De serrer à nouveau la jeune femme dans ses bras apaisa son inquiétude. Il était tard et malgré qu'il soit au courant à propos de la réunion de Stéphanie, il n'avait pu s'empêcher d'angoisser toute la soirée.

Son réconfort se transforma rapidement en besoin de tendresse. Stéphanie se laissa caresser un moment et lui rendit ses faveurs.

Victoria les regardait faire les yeux pleins d'envie. Son angoisse se dissipait peu à peu alors qu'elle constatait que le bel Alan était tendre et attentionné.

  • Alan, je te présente Victoria, dit finalement Stéphanie sans se libérer complètement de l'étreinte de son étalon. C'est une nouvelle amie qui fait aussi partie de l'association. Victoria, voici donc Alan, mon amoureux.

  • Bonsoir mademoiselle, enchanté, fit Alan.

  • Bonsoir Alan, répondit timidement Victoria.

  • Venez, passons au salon pour y prendre un verre, proposa Stéphanie.

Victoria fut enjointe à passer devant et s'installa sur le bord du divan. Stéphanie s'assit juste à côté d'elle alors que l'étalon sortait des verres.

  • Je vous sert quoi ? demanda t-il.

  • Pas d'alcool pour moi, merci, répondit Victoria.

  • Tu es sûre ? lui fit Stéphanie, un petit verre t'aidera à te détendre un peu...

Alan, met lui la même chose qu'à moi, s'il te plait.

Alan connaissant parfaitement les goûts et les habitudes de sa maîtresse versa donc deux whiskies avec quelques glaçons et servit les deux femmes.

Victoria restait très impressionnée par l'étalon. Il était grand à côté d'elle. Voir un equinhaur en vrai c'est tout de même autre chose que sur une vidéo ou que de les apercevoir de loin. En plus Alan déambulait autour d'elle complètement nu. Elle pouvait à loisir observer sa jolie croupe et sa puissante musculature qui se dessinait parfaitement bien sous son beau pelage brun crème. Pendant qu'il l'avait servie, Victoria avait même eux une vue imprenable sur ses bourses et son fourreau. De nouveau elle senti son entrejambe s'humidifier, elle prit alors une petite gorgé de whisky pour se donner le courage d'en profiter.

  • Alan, il faut que je te parles, j'ai besoin de ton avis, parla Stéphanie alors que son étalon venait juste de s'asseoir à côté d'elle.

  • A quel sujet ?

  • Voilà , te souviens-tu du petit incident de cet été avec mon amie Clémence ?

  • Parfaitement, pourquoi ?

  • J'aimerais essayer de calmer ma jalousie maladive à ton sujet, afin de tenir ma promesse.

Alan n'avait pas besoin d'en savoir plus et comprenait soudain la raison de la présence de Victoria.

  • C'est vraiment nécessaire ?

  • Uniquement si tu le veux bien. Je sais que tu as été marqué par ma réaction ce jour là , et je comprendrai parfaitement que tu n'ais pas envie de recommencer. Mais cette fois c'est différent...

  • Je dois faire quoi exactement ?

  • Coucher avec Victoria.

  • Je ne sais pas si je pourrais.

  • Pourquoi ? Elle ne te plait pas ?

  • Oh si, je n'ai pas dis ça, elle est à croquer, mais je t'aime trop. Je ne pourrais jamais le faire avec une autre femme en sachant que ça te fait du mal.

  • Mais c'est moi qui te le demande, et ce n'est pas me faire du mal, c'est me rendre service en m'aidant à surmonter un point négatif de mon caractère.

  • Je ne le trouve pas négatif moi ce point de caractère.

  • S'il n'a pas envie ce n'est pas la peine de le forcer, se permit d'intervenir Victoria. Je préfère ne pas le faire plutôt que de coucher avec un étalon qui n'est pas impliqué dans ce qu'il fait. C'était très gentil de ta part de me proposer ça et je suis ravie d'avoir rencontré Alan. C'est une première pour moi de côtoyer un étalon d'aussi près et c'est déjà beaucoup. Tu voulais que je sois sûre que les equinhaurs c'est vraiment mon truc ? et bien je peux t'affirmer maintenant que c'est le cas. Rien que son odeur me rend dingue de désir...

  • Je ne veux surtout pas le forcer, répondit Stéphanie. Je comprend parfaitement bien ce que tu ressent pour les equinhaurs et je me doute bien que tu n'as pas envie d'un gode de plus, lui fit elle avec un clin d'.."il entendu. Il est plein de tendresse et d'amour, je suis certaine qu'il peut t'en donner un peu s'il sait qu'il le fait pour moi.

Alan, je ne veux surtout pas te forcer la main, si tu veux me rester fidèle et me donner ton amour exclusif alors je comprendrai. Mais il faut que tu saches que de mon côté j'aurais parfois envie de coucher avec quelqu'un d'autre, Clémence par exemple, et que j'aimerais que tu puisses te joindre à nous sans avoir envie de t'étrangler si tu la touche. Ça ne voudra pas dire pour autant que je ne t'aime plus, au contraire, ça serait pour mieux te retrouver ensuite et me souvenir à quel point je t'aime et que je suis bien avec toi. Tu comprends ?

  • Je pense que je le peux. Et tu sais que je ferrai toujours tout pour te faire plaisir, donc si c'est le cas je ne vois pas de raison de refuser.

  • Merci, t'en un amour ! Répondit Stéphanie avant de lui faire un long baiser entre les naseaux. De toutes façons je sais que tu ne résisteras pas à l'envie d'essayer. Regarde cette mignonne petite "pouliche" encore vierge et innocente... Ajouta-elle pour plaisanter.

  • A condition qu'elle arrive à m'exciter, précisa Alan.

  • Autant dire qu'elle est déjà dans ton lit !

Stéphanie s'écarta un peu d'Alan puis en tapotant la place à côté de l'étalon elle invita Victoria à venir s'installer entre eux.

  • Et si vous faisiez un peu connaissance tous les deux ? dit-elle pour appuyer son invitation.

Pour se donner du courage Victoria vida alors son verre de whisky d'un trait. Elle qui n'avait pas l'habitude de boire fit une horrible grimace avant qu'un frisson désagréable ne le remonte le long du dos. Cela fit beaucoup rire Stéphanie qui se moqua gentiment.

Victoria s'assit donc juste à côté d'Alan, Stéphanie ne lui avait pas laissé beaucoup de place, de telle manière que la jeune femme soit obligée de se coller à l'étalon. Une telle proximité avec le beau mâle lui donnait le trac. Elle sentait ses jambes trembler.

Victoria en était devenue toute timide. Elle habituellement si exubérante, toujours en train de parler de sexe et d'étaler ses fantasmes les plus pervers au grand jour, se retrouvait comme muette.

  • Tu sent bon, j'aime beaucoup ton parfum, lui dit Alan pour essayer de détendre un peu la jeune femme.

Ce n'était pas un mensonge à proprement parlé, mais en réalité si avait dit cela c'est surtout parce que l'entêtante odeur de l'intimité de Victoria lui parvenait aux naseaux. Elle était très excitée et ça ne pouvait pas échapper à un equinhaur, même avec toute la volonté du monde. Il fallait beaucoup de concentration à Alan pour qu'il trouve la force de retenir son érection. Il sentait son fourreau enfler inévitablement.

  • J'ai la tête qui tourne un peu, le whisky me monte à la tête, dit-elle finalement pour justifier d'avoir posé sa tête contre l'épaule de l'étalon.

Victoria s'enivrait elle aussi de l'odeur du mâle, enfouissant par moment le nez dans son pelage. Alan ne sentait pas très fort. Il se lavait régulièrement et le parfum du shampooing avait tendance à masquer son odeur naturelle, mais Victoria percevait tout de même celle-ci sans aucune difficulté. Une odeur équine et virile aux accents érotiques qui lui faisaient beaucoup d'effet.

C'était la première fois qu'elle pouvait vraiment se délecter de l'odeur d'un étalon, mais elle su immédiatement que ça aurait sur elle l'effet d'une drogue et qu'elle ne pourrait plus s'en passer.

De sa position sa vue plongeait sur l'entrejambe de l'equinhaur. Elle pouvait à loisir, et sans que ça ne paraisse suspect, admirer les bourses et le fourreau du jeune mâle.

  • Tu as quel âge au fait ? Demanda alors Victoria.

Elle venait de poser sa main sur la cuisse d'Alan et espérait que sa question détourne un peu l'attention. Alan en fut encore plus troublé et ne pu retenir ses pulsions. Son fourreau gonfla encore un peu et finit par laisser échapper son pénis, laissant alors apparaître son prépuce.

  • Bientôt dix-huit ans, répondit-il pour essayer de se concentrer sur autre chose.

  • C'est amusant, tu es plus jeune que moi...

  • Ça te gène ?

  • Non pas du tout, mais jamais j'aurais cru que ma première fois serait avec un petit jeune, dit-elle en gloussant. Habituellement je fantasme plutôt sur les étalons d'âge mur. Ne t'en fais pas, tu es tellement mignon et gentil qu'en fait je préfère que ce soit ainsi. Après tout ce n'est qu'un fantasme, la réalité c'est beaucoup plus excitant.

Etrangement, le fait de savoir qu'Alan était plus jeune qu'elle, même d'un an, la débloquait un peu. A moins que ce ne soit l'alcool qui commence à faire effet ? Toujours est-il que presque inconsciemment Victoria se mit à caresser la cuisse de l'étalon.

Cela n'échappa pas à Stéphanie qui trouvait quand même que la jeune fille perdait beaucoup trop de temps.

  • Tu sais, il est peut-être jeune mais il à déjà beaucoup d'expérience. Ce n'est pas tes petites caresses du bout des doigts qui vont lui faire beaucoup d'effet, dit Stéphanie en se moquant gentiment. Il faut y aller plus franchement...

Et pour illustrer ses propos elle attrapa la main de Victoria pour la plaquer sur les bourses d'Alan.

  • Là ... tu sens ses grosses couilles pleines de bon jus ? C'est ça que tu veux non ? Alors prend les.

Victoria voulu retirer sa main vivement, comme si elle se brûlait les doigts au contact de l'étalon mais Stéphanie la retenait fermement. Rouge de honte et d'excitation, la toute jeune femme se décida finalement à profiter de la situation. Elle se mit à pétrir tendrement les testicules d'Alan.

Dans ses fantasmes elle n'imaginait pas que les choses se passent ainsi. Elle aurait aimé prendre plus de temps pour découvrir l'equinhaur, qu'il se révèle doucement à elle. Victoria devait cependant reconnaître que sans l'intervention de Stéphanie elle n'aurait peut-être jamais osée en venir à des choses si concrètes avec un étalon. Il y'avait aussi la sensation d'être soumise, de s'en remettre entièrement aux désirs de Stéphanie. Ça aidait à se laisser aller et à accepter de le faire avec un mâle qui n'était pas libre.

L'alcool aidant, Victoria se rapprocha encore plus d'Alan, au point de se coller contre lui. Elle posa tendrement sa joue contre l'épaule virile de l'étalon avant de s'y frotter doucement à la manière d'une chatte. Victoria se sentait bien ainsi, elle découvrait lentement un monde de plaisir et de luxure. L'odeur sauvage de l'equinhaur emplissait ses narines, lui signifiant qu'elle allait bientôt concrétiser ses fantasmes, comme l'aboutissement d'une quête.

Alan était beau, gentil, il sentait bon " Et qu'est-ce qu'il a de belles couilles " pensa Victoria. Elle tombait amoureuse, même si elle savait qu'ainsi elle se faisait du mal.

Victoria releva doucement la tête pour observer le visage de l'étalon. Alan le senti et il plongea son regard dans celui de la jeune femme. Elle résista à l'envie de baisser les yeux, presque trop timide pour le supporter.

  • Embrasses-moi... dit-elle à voix basse.

Alan s'exécuta, il s'approcha doucement et leurs lèvres se touchèrent d'abord timidement. Le contact se fit plus franc, puis Victoria osa insinuer sa langue. Elle finit par rencontrer la grosse et douce langue de l'étalon. L'expérience d'Alan aidant, leur baiser se prolongea longtemps en une voluptueuse caresse buccale. Il sentait la jeune femme comme fondre sous sa langue.

Victoria fut immédiatement folle du goût de la salive de l'equinhaur et ne se lassait pas de se baiser de plus en plus baveux.

Alan l'avait prise par les hanches depuis un petit moment déjà , laissant même parfois une main s'égarer sur le haut de ses fesses. Victoria osa alors à son tour aller plus loin. Sa main encore libre, elle la posa elle aussi sur le bas du dos de l'étalon et elle se mit à lui gratouiller doucement la base de la queue, juste à la naissance des fesses. Elle ne savait pas trop pourquoi mais elle imaginait que ça devait être agréable pour l'étalon... et ça l'était.

De son autre main elle arrêta de lui pétrir les bourses pour remonter sur son fourreau qu'elle massa un petit moment. Presque instinctivement, elle savait qu'à ce moment l'étalon bandait déjà fermement. Victoria en eux confirmation un peu plus tard quand sa main remonta encore un peu et qu'elle rencontra la grosse hampe battante de l'equinhaur.

C'était sa toute première fois. Presque religieusement, elle caressa lentement l'énorme verge, remontant doucement jusqu'au gland et s'extasiant de la longueur qui défilait sous ses doigts et de l'épaisseur du membre qui remplissait sa paume. Dans ses mains, le sexe d'un equinhaur lui semblait soudainement énorme, colossale, monstrueux même. Ça lui paraissait bien plus gros que ce qu'elle s'était imaginée en regardant des vidéos et en jouant avec ses godemichés. Victoria en avait soudainement presque peur, pas une peur panique mais une légère angoisse qui paradoxalement augmentait encore son excitation. " Comment font les femmes qui s'emmanchent sur un telle pieux ? " se demanda-t-elle. Heureusement il y avait Stéphanie pour la guider et Alan était expérimenté avec les femmes.

Finalement elle avait bien fait d'accepter la proposition de sa nouvelle amie. Elle n'aurait peut-être jamais eu le courage de se lancer seule, avec un étalon inexpérimenté dont elle aurait pu perdre le contrôle du fait de l'excitation.

Pendant ce temps Stéphanie n'était pas restée complètement inactive. Contrairement à ce qu'elle appréhendait sa jalousie ne se manifestait pas. Sans qu'elle ne sache vraiment pourquoi ça l'excitait de voir cette "gamine" avec son étalon. Elle enviait un peu sa jeunesse et sa candeur, se remémorant sa première fois avec Alan.

Pour Victoria s'était encore différent, sa première fois avec un equinhaur était aussi sa toute première fois avec un mâle. Elle allait offrir sa virginité à Alan. La situation prenait alors une toute autre dimension.

Comme d'un commun accord, Alan et elle se mirent à dévêtir Victoria. Ce fut plutôt lent, très sensuel, accompagné d'énormément de caresses et de baisers. Victoria se retrouva alors nue, la peau directement contre le doux pelage de l'étalon, sans avoir trop compris comment. Elle avait trop bu, elle le savait. Le whisky lui faisait un peu perdre la tête. Elle restait lucide mais avait parfois de petits moments d'égarement, comme par exemple quand elle se retrouva à embrasser Stéphanie. Sur le coup ça l'étonna. Victoria ne se souvenait pas comment elle en était arrivée là , elle eut un petit mouvement de recul mais Stéphanie la retint puis elle se laissa aller. C'était une exercice inédit pour elle, certes un peu moins excitant que d'embrasser un étalon mais plein de volupté, mais aussi plus facile.

Peu de temps après ce fut au tour de Stéphanie d'être complètement nue. Alan aussi se prit au jeu. Cette petite partie à trois commençait vraiment à l'exciter et à lui plaire. Le fait que sa maîtresse participe le rassurait, il n'avait plus l'impression de la tromper mais au contraire de faire quelque chose de spécial pour elle.

Victoria devenait leur jouet à tous les deux. Un moyen de varier les plaisirs tout en étant le centre d'intérêt et l'invitée d'honneur de la soirée.

Pendant que les deux femmes s'embrassaient à nouveau, il lui écarta délicatement les jambes afin de pratiquer sur Victoria un cunnilingus dont lui seul avait le secret.

Au premier coup de langue elle faillit mordre les lèvres de Stéphanie puis elle se reprit afin de continuer son baiser. Dans ces conditions il lui était difficile de rester concentrée. Sous l'organe expert d'Alan, elle ne pu s'empêcher longtemps de gémir puis de soupirer de plaisir, la forçant à abandonner la bouche de Stéphanie.

  • Si on passait dans la chambre pour se mettre au lit ? proposa Stéphanie, on sera plus à l'aise.

Alan eux tôt fait de prendre Victoria dans ses bras après quoi celle-ci s'empressa de coller ses lèvres à celle de l'étalon. Tous trois furent rapidement couchés et reprirent de plus belle leurs baisers et leurs caresses.

  • Une jeune femme bien élevée rend la politesse à son étalon... fit Stéphanie qui commençait à trouver tous ces préliminaires un peu long et qui voulait passer à quelque chose de plus concret.

  • Comment ça ? répondit Victoria qui ne comprenait pas.

  • J'ai mieux, fit alors Alan. Couches toi sur moi tête bêche...

  • Mmh ! soixante-neuf ? demanda Victoria.

  • Bonne idées ! s'empressa d'ajouter Stéphanie. Une bonne grosse sucette, voilà qui va te mettre en bouche pour la suite, dit-elle en gloussant, contente de sa plaisanterie.

Victoria se mit en position allongée sur Alan. Ainsi le contact avec l'étalon était encore plus excitant, elle avait l'impression que sa cyprine lui dégoulinait le long des cuisses pour aller souiller Alan tant elle mouillait. L'equinhaur eut tôt fait de lécher tout ça pour lui laisser une vulve bien propre tout luisante de salive. De temps à autre il insinuait sa langue à l'entrée du vagin ou parvenait à attraper le clitoris de Victoria du bout des lèvres, tout ça avant de remettre quelques grands coups de langues.

Victoria sombra immédiatement dans une béatitude orgasmique. Elle avait juste eux le temps d'attraper la base de la verge d'Alan, hésitant un peu trop longtemps avant de la prendre en bouche bien qu'elle ne rêve que de ça, et avait perdu d'avance cette bataille du plaisir. Elle s'y agrippait maintenant à deux mains, comme un unique point de repère, une dernière accroche pour ne pas sombrer. Elle sentait le membre palpiter sous ses doigts. L'étalon était très excité, elle le voyait à la mouille qui maintenant s'échappait presque continuellement de son gland. Une odeur virile et musquée lui parvenait aux narines, accentuant encore son trouble. Cela sentait le sexe, ça sentait la bite !

Dans un dernier sursaut de lucidité, l'alcool ayant laissé depuis longtemps sa place à l'ivresse de l'excitation et du plaisir, après un ultime effort de concentration, Victoria goba l'énorme gland. Elle ne pu en prendre plus, le gland et c'était tout, mais ça lui suffisait. Le doux liquide salé qui lui coulait sur la langue et dont lui gratifiait Alan la comblait d'aise. Enfin elle donnait du plaisir à un étalon, en tout cas elle essayait. Elle suçait de toutes ses forces en usant de toute la souplesse de sa langue pour procurer le maximum de caresse à son amant.

Victoria avait un mal fou pour se concentrer car Alan avait déjà une bonne longueur d'avance. Elle ne rêvait que d'une chose : sentir l'étalon se vider dans sa bouche.

Heureusement Stéphanie vint lui prêter main forte. Elle s'installa entre les jambes d'Alan afin de lui lécher les testicules. Parfois elle remontait un peu, allant jusqu'à lui lécher la base de la verge puis redescendait sur ses couilles. Alan restait imperturbable et continuer de lécher Victoria avec application, la faisant sombrer dans le plaisir.

Voyant cela, Stéphanie se décida à aider un peu plus sérieusement sa nouvelle amie. Elle posa ses mains sur celle de la jeune femme, afin de la guider pour une masturbation efficace de l'étalon. Elle lui montra où et comment le branler. Victoria comprit rapidement, et tout en continuant de sucer Alan avec application, elle le masturbait vigoureusement.

La jeune femme sentait l'attention de l'étalon se relâcher un peu, celui-ci, dans une dernière tentative pour reprendre le dessus mit quelques coups de langues bien placés qui arrachèrent à Victoria quelque gémissement de plaisir et la forcèrent à recracher temporairement ce qu'elle avait dans la bouche. Les efforts conjugués des deux femmes eurent cependant raison de sa détermination. Il devenait beaucoup moins appliqué, ne pensant maintenant plus qu'à jouir.

Son membre se raidit encore un peu plus, son gland s'engorgea avant qu'il ne donne involontairement un petit coup de reins. Son ventre se contracta, ses testicules remontèrent puis une copieuse et puissante giclée de sperme s'écrasa au fond de la gorge de Victoria.

Celle-ci, surprise et non habituée, faillit s'étouffer sous le flot de semence, la forçant à recracher de force l'énorme gland qui avait grossit dans sa bouche.

Voyant une deuxième giclée se perdre, elle reprit bien vite son souffle afin de na pas gâcher plus de la précieuse liqueur qui l'avait tant fait rêver et qui était enfin à sa portée. Elle remit sa bouche sur le gland de l'étalon et se délecta du reste de son éjaculation.

Stéphanie pendant ce temps s'appliquait à lécher sur la verge de son equinhaur tout ce que la jeune femme avait échappé. Une fois le plaisir d'Alan terminé, elle s'empressa d'embrasser à nouveau Victoria pour tenter de lui voler les dernière goutte du jus de son étalon. Dans la bouche d'une autre, le sperme d'Alan changeait de goût, pas moins bon mais différent. Ce baiser au sperme rendait indéniablement la situation lubrique au possible et de ce fait très excitantes pour les deux femmes.

Le jeu finit par se calmer. Alan avait débandé mais son sexe restait déployé et gardait encore une bonne fermeté. Victoria s'allongea entièrement sur l'étalon, enfouissant son visage au creux de son aine afin de sentir ses gros testicules reposer sur son visage.

Stéphanie s'allongea à côté de son étalon et ils s'embrassèrent tendrement.

  • Merci, c'était génial, finit par dire Victoria.

  • Tu en as déjà assez ? tu n'as même pas goûté au plaisir de t'empaler sur une bonne queue d'equinhaur.

  • Oh si j'en veux encore, mais il faut laisser Alan reprendre des forces.

  • Si tu crois qu'une petite pipe suffit pour le calmer tu vas avoir des surprises. Avec lui quand on l'excite il faut assumer...

  • C'est ce qui fait l'intérêt d'un étalon non ?

Tout en disant cela, Victoria s'était remise à caresser délicatement les couilles, le fourreau et le sexe d'Alan et eux l'agréable surprise de le voir immédiatement durcir sous ses doigts.

  • Tout a fait !

  • Il est de nouveau prêt... Je te le laisse, après tout ça tu dois être folle d'envie et tu n'as eu que des miettes. Finalement c'est ton étalon, dit-elle en se laissant glisser sur le côté de l'equinhaur.

  • A toi l'honneur, tu es mon invitée.

  • A vrai dire je préférerais que tu me montres, ça me fait encore un peu peur...

Sans se faire plus prier, tant elle avait envie, Stéphanie se plaça à califourchon sur Alan. Elle s'allongea ensuite sur lui, ramenant ses jambes contre les flancs de l'étalon. A tâtons elle trouva le membre tendu de son amant et le dirigea vers son vagin. Avec une facilité qui déconcerta Victoria, Stéphanie recula sur la verge de son étalon jusqu'à s'en introduire les deux tiers. Elle fut ensuite partie pour vingt bonnes minutes de chevauchée.

Victoria ne pu s'empêcher de se toucher pendant qu'elle les regardait faire. Le spectacle semblait si magnifique et surréaliste. Elle avait déjà vu ça des centaines de fois sur des vidéos et pourtant elle ne s'en lassait pas. De le voir en vrai donnait à la chose une tout autre dimension, comme si c'était absolument nouveau. " Comment fait-elle pour encaisser des coups de reins aussi puissant ? Oh ! Ça doit être trop bon ! " Pensait-elle. " Qu'est ce qu'il a une belle queue... mais comment fait-il pour s'arrêter toujours à la bonne profondeur sans lui faire mal ? " Dans son esprit des tas de pensées se bousculaient, ses fantasmes se recombinaient, tous semblaient soudainement si accessible. A en juger par les cri et les râles de plaisir de Stéphanie et de ses "Oui ! Oh oui !" qui n'en finissaient plus, elle n'avait pas exagéré les qualités de son étalon.

Puis se fut son tour. Victoria se retrouva dans la même position que Stéphanie. Elle sentait la verge d'Alan reposer contre la raie de ses fesses. Elle la saisit, ajusta sa position et posa l'énorme pieu au gland évasé sur sa vulve. En sentant Alan tout contre son intimité, Victoria ne pu s'empêcher de se mordre la lèvre inférieure.

  • Tu n'est pas obligée de te faire pénétrée aujourd'hui, lui rappela Stéphanie qui l'avait vue faire.

  • Oh si, j'en ai trop envie. Si je ne trouve pas le courage de le faire maintenant je ne le ferrais jamais.

  • Fait attention...

  • Ne t'en fait pas, Alan n'est pas si énorme que ça, j'ai des jouets plus gros que lui.

Enfin, sauf qu'une fois entre ses mains, la hampe chevaline paraissait bien plus impressionnante qu'un godemiché de même taille.

Victoria se concentra et tout en tenant toujours fermement la verge d'Alan juste derrière le gland, elle cambra les reins et accentua la pression. Petit à petit, elle sentait ses lèvres vaginales s'écarter et s'ouvrir pour avaler le colosse. Même pas la moitié du gland était rentré qu'elle avait déjà l'impression d'être écartelée au maximum. Soudain, alors qu'elle envisageait finalement de renoncer, elle senti le membre d'Alan se précipiter en elle. Tout le gland et les premiers centimètres de verge jusqu'à la butée que formait sa main étaient maintenant bel et bien plantés dans son intimité restée jusqu'alors vierge.

Sur le coup elle lâcha un petit cri de surprise, jeta la tête en arrière et resta la bouche grande ouverte et les yeux écarquillés pendant de longues secondes.

  • Ça va ? s'inquiétèrent en c.."ur Stéphanie et Alan.

  • Oh oui ! je suis au paradis... répondit-elle en reprenant finalement son souffle.

Alan l'avait sans doute aidée inconsciemment, d'un coup de reins ou d'une poussée pelvienne issue d'un réflexe masculin de pénétration. Déjà , sentir l'étalon en elle la remplissait de joie. " Comment ais-je pu vivre jusqu'à maintenant sans connaître une bonne vraie queue d'equinhaur " se demanda t-elle.

Alan ne bougeait toujours pas, laissant la jeune femme s'adapter tranquillement à son calibre. Il lui caressait doucement les fesses et les cuisses, promenant parfois un doigt à proximité de son anus sans oser aller plus loin. Victoria se recoucha complètement sur lui, se détendant complètement et pesant de tout son poids sur l'étalon. Désormais en confiance, elle relâcha le membre et se contenta de goûter ce moment de tendresse en toute simplicité.

L'excitation la faisait mouiller comme jamais, elle n'eut aucune difficulté à faire coulisser un peu plus de la verge d'Alan en elle. Sa détente aidant, Victoria en absorba une bonne quinzaine de centimètres. Elle fit ensuite de nouveau une pause.

Stéphanie ne l'entendait pas de cette oreille. Voyant que la jeune femme avait finalement les capacités pour ce genre de relation, elle encouragea Alan à prendre les choses en mains.

  • Mon grand, tu devrais lui montrer que tu peux être beaucoup plus intéressant qu'un gode, lui dit-elle pour l'encourager.

Alan, dont le sexe lui faisait mal tant il était lui aussi excité, était bien d'accord avec sa maîtresse. Il se retira un peu et mit un premier coup de reins.

  • Houuuf ! Souffla Victoria prise par surprise.

D'un rythme calme et stable, l'étalon se mit à la limer doucement, augmentant progressivement la profondeur de pénétration à chaque vas et viens. Victoria voyageait déjà dans un autre monde. Le plaisir avait emporté sa dernière bribe de volonté, et toutes ses appréhensions. Elle gémissait, criait même de bonheur. La douleur de cette pénétration contre nature ne faisait que de décupler le plaisir de se sentir remplie entièrement et à l'extrême. Victoria se retrouvait dépendante de cette grosse queue avant même d'avoir finit sa première fois. Elle n'avait plus envie que ça s'arrête, jouir encore et encore jusqu'à perdre la raison.

  • Oh oui Alan ! n'arrêtait elle pas de crier.

Victoria s'agrippait aux épaules de l'étalon et y plantait ses ongles tant les orgasmes la déchaînaient.

Pour Alan aussi l'orgasme était proche. Voyant que la jeune femme avait déjà jouit plus de que de raison, il ne fit aucun effort pour prolonger sa performance. Il accéléra encore le rythme, donnant des coups de reins de plus en plus violent.

Soudain Victoria senti le membre enfler en elle, le gland d'Alan lui semblait devenir énorme et la dilatait à l'extrême. Elle faillit perdre connaissance tant le plaisir que cela lui procura en devint presque insupportable. Mais elle resta consciente et pu sentir plusieurs grandes saccades de sperme bouillant se déverser en elle. Immédiatement, Alan se calma et à la fin du dernier jet de sperme se détendit complètement. Ils étaient tous deux à bout de souffle.

Victoria respirait fortement par le nez, et laissait entendre quelques petits gémissements de satisfaction.

Peu à peu le couple se calma et ils se laissèrent gagner par une douce torpeur. Victoria était toujours empalé sur le pénis désormais mou d'Alan et elle comptait bien rester ainsi le plus longtemps possible. L'equinhaur certain d'avoir remplit son rôle, dormait déjà .

Stéphanie les recouvrit avec la couette, éteignit la lumière et se coucha à leur côté avant de s'endormir rapidement.

Ce soir là fut la première d'une des très nombreuses visites de Victoria. Au début plutôt timide, elle prit rapidement de l'assurance avec Alan. Stéphanie laissait à la jeune femme tout le loisir de venir quand bon lui semblait. C'est ainsi que Victoria pris l'habitude de venir rejoindre Alan le jeudi après-midi. N'ayant qu'un cours littéral le matin et puisqu'elle faisait en sorte d'être toujours en avance dans son travail, la jeune femme pouvait se permettre cette demi journée de détente, de plaisir et de luxure seule avec l'étalon.

Parfois elle leur rendait visite le week-end, mais préférais ces jours là laisser Stéphanie seule avec son mâle.

Contrairement à ce qu'elle craignait au départ, Stéphanie ne ressentait aucune sorte de jalousie vis-à -vis de Victoria. Avait-elle finalement réussit à surmonter ce trait de caractère ?

Elle n'en était pas franchement certaine. Pour elle Victoria restait un jouet qu'elle s'amusait à livrer à son equinhaur. Sans compter que les deux femmes étaient devenues très complices et intimes, ce qui facilitait encore le partage. " Le bilan de cette expérience reste très positif pour tout le monde " se dit finalement Stéphanie qui rêvassait en regardant tomber les premiers flocons de neige de l'année à travers la fenêtre de son bureau.