Relation écailleuse

Story by Nimble Glance on SoFurry

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Petite histoire suite à un paris avec un pote, alors soyez indulgent j'ai écrit ça en cour ^^ en temps normal je suis plus performant.

Cette année s'annonce dure. Des heures et des heures sans arrêt, leçons copiage, leçons et copiage, encore et encore. Concentré, j'entendis à peine Reine descendre souplement de mon lit et se glisser furtivement derrière moi. Elle posa ses pattes avant griffues sur mes épaules et frotta doucement sa joue contre la mienne. «Tu n'as pas encore finis ? Râla-t-elle»

Je souris. Pour apprendre mes cours, je devais les recopier, une tâche qui me prenait le plus clair de mon temps, au grand désarroi de ma dragonne blanche débordante d'énergie. «Désolé Reine, mais j'ai pris du retard et je dois le rattraper.» A ces mots, elle laissa s'échapper un grognement déçus. Une violente culpabilité m'étreignit le cur. «Tu pourrais peut-être aller chasser en attendant ? Proposai-je.

-Je n'ai pas faim, répliqua-t-elle, et je ne veux pas y aller seule, je préfère avec toi.

-Je sais ... moi aussi dragonne de mes rêves, avouais-je, mais je ne peu pas, pas ce soir ...

-Mais tu es épuisé ! protesta-telle.

-Oh ! À peine, menti-je, trahi par les craquements de protestation de mon poignet.

-Arrête toi quelques minutes, viens te reposer un peu avec moi.»

Me tordant le cou, je parvins à déposé un baisé sur sa joue. «Je voudrait bien Reine, mais tu sais que si j'arrête je n'aurais pas le courage de reprendre.

-S'il te plait, geignit-elle.» Elle nicha son museau dans mon cou et poussa un long soupir. Son souffle chaud sur ma peau m'arracha un frisson. Encouragée, elle commença à me lécher, d'abord dans le cou, puis sur la nuque, pour redescendre sur ma poitrine. Malgré moi, un gémissement m'échappa. C'était trop.

Repoussant négligemment mes cahiers, je m'emparais avidement de sa bouche, savourant son haleine brulante, sa langue enlacée avec la mienne, et sa salive. Opportuniste, elle me tira de ma chaise, puis, rompant notre baisé, elle me plaqua au sol. Le carrelage était froid, mais ça n'avais aucune importance. Elle s'allongea sur moi en ronronnant et m'embrassa de nouveau. D'un coup de griffes de ses pattes arrière elle déchira mon pantalon et mes sous-vêtements, puis, avec un sourire entendu, elle commença à frotter ses hanches contre les miennes.

La sensation de son sexe chaud et humide sur le mien m'arracha un nouveau frisson. Reine, entrainé dans la suave danse de ses hanches, cessa de m'embrasser pour se contenter de me fixer du haut de ses magnifiques yeux crépuscule, ses pattes avant posées sur ma poitrine, les ailes mi-tendues. Après de trop courte minute de ce doux traitement, elle se recula et, se penchant en avant, donna quelques coup de langues sur mon sexe déjà raide puis le pris dans sa bouche. Le contact de ses dents frottant contre mon axe et de sa chaude salive contracta mes muscles. Ses yeux fixés dans les miens, elle commença à jouer avec mon sexe, le relâchant par moment, l'engloutissant complètement après, elle enroulait sa longue langue le long de mon arbre, serrant plus ou moins fort, selon son envie. Relâchant mon sexe désormais couvert de bave, elle s'en prit à mes testicules, jouant d'elle avec sa langue, puis les gobant vivement, puis les relâcher imbibées, pour ensuite dévorer a nouveau mon arbre, refermant cette foi ci complètement ses lèvre pour le pomper littéralement, tout en titillant mon gland du bout de la langue. Aprés plusieurs minutes, sous l'effet conjugué de sa langue et de la pression qu'elle exerçait son palais sur mon axe, je déversais dans un cri ma semence dans sa bouche.

Elle libéra mon sexe et, avec un sourire tandis qu'elle nettoyait sa gorge de sa langue, tourna sur elle-même et s'assis sur ma poitrine, présentant sa chatte gonflée en rajustant ses ailes. « A ton tour, susurrât-elle d'une voix sensuelle agrémenté d'un coup d'il aguicheur » Trop heureux d'obéir, je commençais à embrasser son intimité, goutant les fluides de son excitation, puis commençais à la lécher, fourrant ma langue dans sa chair. Gémissement de plaisir, ronronnement assourdissant. Affamé d'elle, j'entrepris de dévoré son vagin, enfonçant ma langue et mes lèvre sans retenue, savourant sa douce chair chaude. Elle poussa un long gémissement que j'ignorais, sans pitié, tout à mon uvre. En plus de ma bouche, j'enfonçais un doigt dans son sexe, puis un autre et encore un autre, la langue toujours vriller en elle. Je fini par retirer ma bouche pour la remplacer par ma main droite. Lorsqu'elle la senti en elle, elle se mit à gémir bruyamment. Me redressant, je l'embrassais avec fougue tout en jouant de ses chairs, caressant ses parois internes de mes doigts. A se rythme, il ne lui fallut pas longtemps avant de cracker. Dans un rugissement, elle se contracta et, écartant vivement les ailes, inonda mon bras de sa jouissance.

Je retirais doucement ma main, et rompant le baiser, Reine s'appliqua à la nettoyer consciencieusement de ses propres fluides. Puis elle m'embrassa à nouveau, partageant avec moi son eau. D'un mouvement brusque elle brisa notre lien, dans un reflet flou elle fit mine de mordre mon cou, se contentant en réalité de le saisir délicatement entre ses mâchoires, ou elle laissa courir sa langue. D'une légère pression, elle m'invita à la suivre tandis qu'elle s'allongeait au sol, écartant les ailes pour ne pas blesser ses articulations. Elle m'attira au creux de ses reins, entre ses pattes arrière écartées, ma verge palpitante contre son vagin humide et gonflé à craquer. Relâchant mon cou elle m'embrassa de nouveau, posant ses pattes avant griffues sur mes épaule, une lueur suppliante au fond du regard, entouré de désir et de hâte, attendant que je la pénètre. Moi aussi d'ailleurs, mon sexe était douloureux tant il était raide de nouveau, mais je me fis violence et mon contentait de frotter ma verge contre ses lèvres dégoulinante, tout comme elle l'avait fais plus tôt, mais cette foi ci a ma façon et à mon rythme. Dans de lent mouvement de bassins, j'appuyer suffisamment mon sexe sur le sien pour écarté ses parois, faire glisser ma verge si délicatement qu'il me semblait la survoler, mais pas suffisamment pour rentrer entièrement. Je continuais mes mouvements suaves sans égard pour ses gémissements suppliants, l'obligeant à mouillé d'avantage, jusqu'as dégouter mon tapis sur lequel nous reposions.

Lorsque cependant elle rompit notre baiser pour gronder son mécontentement la gueule ouverte, je consentis à arrêter. Sous son regard impérieux je tentais de l'embrasser, mais je ne pus que poser mes lèvres sur les siennes qui restèrent obstinément fermé malgré mon insistance. Renonçant finalement à mon élan de tendresse, j'accédais à son désir, et accessoirement au mien. Une légère pression de ma verge suffit pour rentré en elle, aidé par sa salive et les fluides qui suintaient de son vagin. Je pris mon temps, savourant millimètre par millimètre mon intrusion dans son intimité. J'attendis d'être entièrement en elle pour commencer mon va-et-vient. D'abord lent, savourant le frôlement de ses parois contre mon axe, je me laissai finalement emporté petit à petit par les cris de nos corps. Reine gémissais sans retenue, tandis que je me mordais les lèvres, et ses gémissement grandissais d'autant que j'accélérais. Une douce chaleur grandissait dans ma poitrine, de plus en plus forte, s'étendant jusqu'a mes hanches, comme m'ordonnant d'accélérer. Ce que je fis. Brusquement et sans crier gare, je transformais mon tranquille roulement de bassin en coup de butoir. Nos hanche s'entrechoquaient bruyamment et Reine, en réponse à cette soudaine vigueur, me mordis l'épaule tout en gémissant. Je grimaçais. Elle ne fessait pas mal mais je pouvais clairement sentir ses crocs aiguisés pincer rudement ma peau, une habitude qu'elle n'avait jamais perdue.

Sous le plaisir, elle contracta son vagin, augmentant la pression de ses parois contre mon sexe. Fermant les yeux, je me couchais sur elle, collant ma poitrine contre la sienne, chaude. Comme en elle. C'était chaud et doux. Elle fini par lâcher mon épaule pour s'emparer de ma bouche. Instinctivement, j'accélérais de nouveau, battant désormais des hanches comme un dément. Ses gémissements se muèrent en cris pendant qu'elle enfonçait douloureusement ses griffes dans la fragile peau de mes épaules. Elle nous entoura de ses ailes, formant un coquons d'intimité et de chaleur, où je laissais courir mes mains, caressant ses fines et sensibles membrane en connaisseur de ses faiblesses. Je ne pensais pas qu'il était possible qu'elle ronronne d'avantage, et pourtant si, atteignant la puissance du pires de ses grognement, et c'est peu dire, son corps lui-même, et par conséquent le mien, fut pris de tremblement. Petit à petit, la chaleur dans mes hanches revint, bien plus forte, et après avoir tenté de lui résister, ne voulant pas que ce moment s'arrête, je lui cédais. Mon rythme s'emballa, mes muscle et mon sexe se contractèrent douloureusement, Reine aussi, compressant ma verge à l'extrême. Pris dans ce ballet infernal, je joui dans un hurlement, déversant en elle tout mon jus. Je n'avais pas encore finis qu'elle vint à son tour, dans un rugissement je sentis les fluides de son plaisir embrasser mon sexe avant de gicler de son vagin avec violence.

Encore quelque minutes de va-et-vient, et mon corps céda à la fatigue insidieuse qui me menaçais silencieusement. Je me laissai tomber sur sa poitrine en haletant, couvert de sueur. Les ailes de reine retombèrent au sol et, quand elle libéra nos lèvres, elle aussi haletait, la langue pendante. Je lui souris. Toujours en elle, nous nous laissâmes rouler sur les flancs, je refermais mes bras sur elle tandis qu'elle me serait entre ses pates, enroulant sa queue le long de ma jambe. Son regard dans le mien, je lus dans ces yeux du remord. « Je me suis encore laisser emportée, s'excusa-t-elle ». Tordant le cou, je parvins à apercevoir mon épaule. La ou elle avait enfoncé ses crocs se tenait désormais des trous d'où perlais de petite goutte de sang écarlate. La chaleur de l'action passée, la douleur qui s'échappait de ma blessure et de mon dos m'arracha une grimace, en plus de l'état potentiel de ce dernier. « Ce n'est rien, la rassurais-je ». C'était vrai. De toute manière, quoi qu'elle fasse je ne pourrais lui en vouloir. Ma petite malédiction, enfin si on peu dire. Malgré mes paroles elle entreprit de nettoyer son uvre avec sa langue. Je profitais les yeux fermé du traitement curatif, savourant le contact de sa langue chaude malgré la douleur qu'elle provoquait. Quand elle eu fini, elle vint poser son menton sur ma tête, et nous recouvris d'une aile. « Tu voudrais qu'après ça je retourne travailler, lançai-je, narquois.

-Ne te sent-tu pas plein de vigueur ? répliqua-t-elle sur le même ton. »

Nous restâmes un long moment ainsi. Profitant de la chaleur de l'autre, des battements de son cur, et des mots qui passaient, invisible entre nous. « Je t'aime, murmurai-je ». Reine sourit, son ronronnement, qui c'était calmer revint, plus doux et agréable que jamais. Le temps passait, le silence restait. Le sommeil me tiraillait sans réussir à m'emporter. Ce n'est qu'après quelle m'ai susurré « Moi aussi » que, bercé par sa chaleur et les puissants battements de ses curs, je m'endormis paisiblement, blottit contre son corps écaillé.