Le Roi Karteros

Story by Kros on SoFurry

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J'espère que vous apprécierez l'histoire de cette hyène mécontente, de ce roi en manque et de ces deux rhinocéros joueurs. :)

Si vous voulez suggérer des idées pour la prochaine histoire, laissez-le-moi savoir.

Bonne lecture !


Le grand royaume d'Orexis était réputé à travers le monde pour son roi qui avait réussi à être admiré par tous pour son incomparable force et son charisme hors du commun. En effet, l'imposant lion Karteros, béni d'une crinière si épaisse qu'elle ne pouvait être que celle d'un sang royal, était de tous les coins du monde considéré comme l'exemple parfait du bon roi ; bon envers son peuple, bon envers les autres royaumes, bon pour régler les différends : bref, le roi idéal. Néanmoins, bien que presque toutes les décisions qu'ils prenaient pour son royaume s'avéraient être judicieuses, il lui arrivait de faire des erreurs comme tout roi, qu'il soit bon ou non. Mais une vile rumeur courrait parmi les Orexiens. Certains osaient affirmer à demi-voix que ce soi-disant bon roi réservait un châtiment effroyable à quiconque s'opposait à lui, qu'il ait raison ou tort. On disait que sa fierté était sans limite et sa justice, sans pitié. C'est pourquoi l'admiration qu'éprouvaient les Orexiens vis-à-vis leur roi était un mélange subtile de gratitude, de respect et de crainte.

Un jour pourtant, une jeune hyène mâle au pelage jaune tacheté de noir qui répondait au nom de Maki s'aventura sans hésiter dans la caverne luxueuse du roi, le cur brûlant de peur et de rage : il voulait être entendu et les choses devaient changer ! La situation qu'il vivait était devenue insupportable ! En effet, depuis les récents décrets royaux, une partie de son territoire avait été octroyé aux panthères et un tel affront à sa tribu était tout simplement intolérable.

D'un pas précipité, il se dirigea vers le rocher colossal qui faisait office de palais. Alors qu'il s'en approchait, les rumeurs faisaient écho dans son esprit : il est vrai que certains citoyens n'étaient jamais sortis de là. Et au vu des cris qui avaient, à quelques reprises seulement, retenti hors des appartements royaux, la crainte qui habitait son cur n'était que tout à fait justifiée. Il rassembla son courage et franchit le seuil de la salle du trône en souhaitant secrètement que les rumeurs ne soient pas fondées. Les deux rhinocéros qui gardaient l'entrée de leur carrure massive esquissèrent un sourire en voyant quelqu'un se présenter à une séance de doléances : ils savaient que cette fin de journée allait subitement devenir un peu moins monotone. A cette même vue, le roi Karteros, paisiblement avachi sur son trône, haussa les sourcils, également étonné, et considéra longuement le jeune mâle qui venait de troubler la quiétude de son après-midi. Son regard perçant se délectait des mouvements fébriles de son sujet, qui visiblement luttait farouchement pour ne pas prendre ses jambes à son cou. Son il avisé surpris aussi les palpitations irrégulières de l'aorte du mammifère, et, au fur et à mesure qu'il collectait les autres indices qui trahissaient l'angoisse de Maki, il entre-ouvrit sa mâchoire puissante pour laisser briller à la vue de tous un large sourire de satisfaction.

  • Que me vaut ta présence en ces lieux ?, s'enquit le roi d'un ton détaché qui dissimulait parfaitement son intérêt grandissant.

La hyène se sentait de plus en plus oppressée : si les gazelles qu'il tuait pouvaient avoir une dernière image d'imprégnée dans leur mémoire, ce serait sûrement celle d'un regard imparable et sans merci semblable en tous points à celui que le roi faisait peser sur lui à cet instant précis. Maki fut pris d'une bouffée de chaleur, étouffé, écrasé. Il était de taille moyenne pour une hyène, mais tout dans cette salle du trône le dépassait ; des gardes massifs, de grosses dalles en pierre brute, de hautes tentures sur des murs vertigineux : même les bougies qui fournissaient à la pièce sa lumière tamisée faisaient presque un demi-mètre !

Il se ressaisit néanmoins tant bien que mal et tenta de focaliser son attention sur la seule petite lucarne qui donnait sur l'extérieur afin d'évacuer au maximum les vertiges dont il était soudainement pris. Mais au lieu de répondre simplement au roi qu'on lui avait retiré un territoire précieux pour sa bande, il gonfla le torse.

  • Vous-avez-manqué-de-jugement !, dit-il d'un seul souffle.

Il ne manqua pas de regretter ses paroles aussi vite qu'il les avait dites. Un froid glacial lui parcouru l'échine et un silence lourd s'affaissa dans l'air.

Derrière lui, les deux rhinocéros s'échangeaient des regards complices et se mirent à reluquer l'arrière-train de l'éphèbe tétanisé. Tous deux posèrent leur lance contre le mur et entreprirent de masser vigoureusement la pointe de désir qui commençait à poindre sous leur pagne. Cette situation ne semblait pas leur être étrangère et, visiblement, ils savaient qu'elle allait être délectable. La voix rauque et autoritaire du lion rompit l'atmosphère pesante.

  • Vraiment ?, dit-il avec amusement.

  • Oui, vous n'auriez jam-

  • Silence ! Mes hôtes ne parlent que lorsqu'ils sont assis, ne serait-ce que par politesse.

La voix du lion était inébranlable. Toutes ses paroles sonnaient comme un ordre duquel on ne pouvait pas se défiler. Maki comprit qu'il n'était pas de taille et abaissa queue et oreilles pour indiquer sa résignation. Afin d'obtempérer, il balaya des yeux la somptueuse salle du trône et, à sa grande surprise, ne vit rien qui pouvait s'apparenter à un quelconque siège, pas même un vulgaire pouf. Après quelques secondes, sous les yeux divertis du roi, il repéra une peau touffue de zèbre située non loin du trône. Alors qu'il fit les premiers pas vers ce qui allait être son siège improvisé, il fut arrêté dans son élan par Karteros.

  • N'y pense même pas.

Il y avait comme une étincelle dans les yeux de Karteros, comme un pétillement : sans aucun doute, il s'amusait avec sa proie tel un chat avec sa souris.

  • On va voir si ton problème vaut vraiment la peine d'être entendu. Voyons voir... Messieurs ?

Derrière Maki, un des deux gardes sortit une piécette qu'il propulsa dans les airs d'une pichenette. Lorsqu'elle retomba dans la main, il barrit de satisfaction alors que l'autre peinait à cacher sa déception. Tous deux fermèrent la porte de la salle du trône et la barrèrent à l'aide de leur lance. Puis, le victorieux marcha d'un pas léger vers la hyène tandis que l'autre se dirigea vers un seau au fond de la pièce.

  • Je te présente Echo, un de mes deux fidèles gardes royaux. Il te fera office de chaise.

En se retournant pour faire face à son « siège », Maki fut d'autant plus intimidé par le sourire béat du rhinocéros que par l'effrayant angle droit qui faisait se dresser son long pagne. Ce dernier s'assied en tailleur au sol et retira le morceau de tissu qui faisait obstruction à l'imposante uvre d'art qui s'érigeait d'entre ses puissantes cuisses. Maki lui fit volte-face et afficha un visage interrogatif au lion qui se réjouissait de la scène.

  • Qu'est-ce que ça veut dire ?

  • Il te faut un siège. En voici un.

  • Mais vous êtes complètement ta-

  • Si ta requête n'en vaut pas la peine, dégage !

Le ton du lion venait soudainement de basculer ; la plaisanterie n'était plus de vigueur. Maki ne pouvait néanmoins pas se permettre de revenir auprès de sa tribu sans résultat faute de quoi il serait disgracié. Il fallait avouer que ce genre de siège, en temps normal, lui convenait parfaitement, mais la taille démesurée du fauteuil et l'idée de se soumettre totalement, corps et âme, là, devant le roi, était une humiliation qu'il n'était pas forcément prêt à surmonter. Alors qu'il cogitait, l'autre rhinocéros revint muni du seau qu'il était parti quérir. Une forte odeur de gibier en émanait et faisait saliver les deux carnivores. Il en vida la totalité sur l'entre-jambes d'Echo. Une matière épaisse et grumeleuse s'en écoula en de longs filaments adipeux. Le pseudo-liquide se répandit partout, recouvrant d'une épaisse couche de graisse toute la partie inférieure d'Echo, ainsi que quelques dalles du sol.

  • Merci Béren. Alors ?, dit-il à l'intention de l'hyène.

Maki s'approcha d'Echo. Bien que l'un debout et l'autre assis, tous deux étaient face à face. La montagne ointe qui se dressait devant lui exhalait des parfums qui n'étaient pas sans le rendre fébrile. Sa queue se remit doucement à battre l'air et il se résigna à siéger sur le morceau de viande dégoulinante qui s'offrait à lui. A peine s'eut-il retourné pour s'asseoir qu'Echo le saisit en lui enlaçant le torse, le souleva sans effort et l'empala brusquement sur son membre impatient ; malgré la graisse, Echo dut s'y prendre par trois à-coups pour bien pénétrer de fond en comble la jeune hyène et ainsi lui procurer un siège d'exception dont certains rêvent secrètement pendant de longues réunions monotones. Contre son gré, Maki ne put faire autrement que d'entretenir la sinistre rumeur qui planait autour du roi en poussant un hurlement si puissant qu'un zèbre et un suricate qui passait non loin du palais en furent saisis d'effroi. Les oiseaux fuirent des arbres voisins et certains affirment même, probablement pour exagérer et donner plus d'ampleur aux ragots, que même la rivière fut troublée de vaguelettes sous l'effet du cri.

Quelques secondes plus tard, épuisé d'avoir libérer autant d'énergie, Maki était adossé au torse puissant du rhinocéros dont la langue lui léchait délicatement le cou, probablement pour le féliciter d'avoir surmonté cette épreuve, ou peut-être pour l'encourager pour la suite ; il le serrait néanmoins toujours entre ses bras afin d'éviter toute surprise. Quand il vit que l'hyène avait pris ses aises, il se mit à satisfaire son désir par de légers va-et-vient dans les entrailles de son nouvel hôte, va-et-vient qui étaient limités à ce que sa position en tailleur lui permettait. Maki haletait bruyamment et le plaisir qu'il prenait désormais se trahissait par l'apparition de son cinquième membre qui semblait se réveiller d'un profond sommeil. Etrangement, lové et bloqué entre deux bras puissants, immobilisé sur un pieu, Maki se sentait en sécurité et finit par se détendre un peu malgré la douleur vive qui tardait à se résorber. D'entre les grandes respirations profondes et le petit clapotis de graisse, aucun autre son ne venait perturber ce tableau de sérénité.

Karteros se leva enfin, queue au garde-à-vous. Deux pas plus tard, il la déposa comme un colis sur le museau de Maki, toujours en arborant ce sourire avide et assoiffé.

  • Passons aux négociations alors. A toi l'honneur.

Une odeur forte et suave électrifia instantanément l'esprit de Maki ; tous ses sens étaient déboussolés et une chaleur intense s'empara de son corps : une goutte de liquide séminal venait de se déposer sur sa truffe. Il comprit alors l'ampleur du fossé qui le séparait de son roi. Il comprit ce qu'était un sang royal. Il comprit le privilège qu'il lui était offert. Il comprit qu'il perdait son temps à comprendre. D'un coup de langue, il s'abreuva du nectar pur pour en déguster toute la richesse. Tout était clair maintenant : son devoir de sujet était maintenant de faire honneur à son roi. Il s'empara de la verge royale dans sa gueule et se mit à sucer goulument au rythme de l'autre verge qui lui ouvrait de nouveaux horizons.

  • Très fort en négociation à ce que je vois.

Il n'en fallait pas moins pour continuer de motiver l'hyène. En revanche, pour bien lui rendre hommage, il devait la prendre entièrement sans oublier le moindre centimètre de viande. Progressivement, sa gueule fut bientôt remplie de salive et les bruits de succions caractéristiques d'une bonne fellation vinrent s'ajouter au fond sonore. Charmé par tant d'attention, Karteros prit le crâne de Maki entre ses deux pattes et enfonça la totalité de son présent dans sa gorge suivit d'un « Bon toutou. » qui camoufla le petit gémissement de surprise de l'hyène. La truffe de Maki nageait désormais dans une forêt soyeuse qui transpirait la virilité. Même si son museau était envahi par une racine aventurière, une langue gourmande réussit à s'en extirper pour venir caresser et humecter les deux joyaux qui pendaient devant lui, débordants de semence sucrée, énième témoignage de la suprématie masculine du lion sur son sujet. Forcé à respirer par la truffe, chaque nouvelle bouffée d'air chaud qu'il prenait l'enivrait, engourdissait son esprit, lui faisait oublier la tache indélébile qui avait été faite à sa fierté, lui faisait en redemander, encore et toujours. La cadence du lion s'accéléra. La gorge du l'hyène devenait quelque peu endolorie sous l'assaut qu'elle subissait, et son museau sensible se cognait de plus en plus rapidement contre le bas ventre touffu.

Regardant la scène avec une certaine gaieté non dissimulée, Béren se massait vigoureusement le membre, attendant patiemment son tour, encore fallut-il qu'il arrive un jour. Pour montrer qu'il était bon joueur, ou peut-être par pitié, voire même par désir, Echo relâcha son étreinte de Maki et se saisit de la verge de l'autre rhinocéros qu'il se met à embrasser puis à sucer avec autant de passion qu'il pénétrait le jeune mammifère.

Après s'être assuré que la gueule de son sujet allait se souvenir encore quelques jours de son passage au palais, Karteros s'en retira, se pencha et lécha le crâne qu'il serrait toujours dans l'étau de ses deux pattes.

  • Messieurs, à vous l'honneur, dit-il en se redressant.

Echo et Béren s'échangèrent des regards complices et s'activèrent. Sans même avoir compris ce qu'il se passait, Maki se retrouva au sol, libéré de sa délicieuse chaise de torture, pour ensuite être manipulé dans un mélange de mains et de bras. Les joueurs venaient de changer de position : Maki, sur ses quatre fers, offrait désormais son arrière-train démonté et abondamment lubrifié au roi qui s'empressa d'y insérer sa verge qui y pénétra comme une lettre à la poste. Bien que le roi perde systématiquement toute potentielle compétition phallique face aux rhinocéros, il entendait bien compenser son infériorité de taille par sa supériorité de puissance : l'hyène allait goûter à autre chose qu'à quelques petits à-coups maladroits. Béren quant à lui comptait bien être de la partie : il s'agenouilla devant Maki pour lui offrir sa queue en pâture, puis fut forcé à se mettre à quatre pattes au-dessus du petit mammifère par Echo qui était décidé à détendre une seconde rondelle. Le quatuor à queues se mit bientôt en branle, chacun désirant s'assouvir dans l'autre.

Une atmosphère bestiale, épaisse et humide, planait maintenant dans la salle du trône. Elle enveloppait chacun de ses résidents d'un halo de virilité suintante qui les unissaient tous dans leur débauche.

Les deux rhinocéros s'en donnèrent à cur joie. Echo enculait avec ferveur son comparse en ponctuant son rythme mécanique tantôt d'un pincement des mamelons bien senti, tantôt d'une claque retentissante sur les fesses ou encore d'un massage ferme de ces dernières. Leurs testicules qui n'étaient pas sans rappeler quatre boules de pétanque s'entrechoquaient avec force comme un marteau s'abattant sur une enclume. Ils offraient le spectacle même de la virilité animale : deux masses de muscles transpirant le mâle animées de gestes violents, sans retenue.

Karteros aimait bien être clairement compris. Il affectionnait aussi tout particulièrement sa position de roi qui le plaçait au-dessus des contraintes, au-dessus des lois. C'est ce même genre de liberté qui lui permettait par exemple, de choisir des citoyens qui avaient des fonctions stratégiques ou qui lui plaisaient tout simplement, puis de les forcer à venir se plaindre pour qu'il se retrouve finalement là, devant lui, la queue emprisonnée dans sa patte et le corps dépossédé de toute dignité. Le sentiment d'omnipotence lui électrisa l'échine. Ses griffes sortirent de leurs pattes pour prendre racine dans les flancs de l'hyène. Sa cadence dépassa bientôt les battements de cur frénétiques de sa victime. Hormis l'emprise du lion sur lui, la seule chose qui empêchait Maki d'avancer d'un mètre après chaque pénétration était l'imposant pieu qu'il avait dans la gueule et qui tapait le fond de sa gorge. Son regard perçant sembla se perdre au loin puis se concentrer sur le fessier qui lui servait de fourreau. Il se mit à pilonner l'hyène comme s'il n'y aurait pas de lendemain. L'hyène cria du mieux qu'elle put. La graisse qui était au départ en surabondance autour de l'anus de Maki se faisait de plus en plus rare, comme si elle aussi craignait les assauts du puissant félin.

Après d'interminables minutes passées dans cet infernal engrenage, Maki fut le premier à ouvrir le bal avec un puissant orgasme qui lui fit projeter son sperme jusque sur les couilles d'Echo. Pour l'en remercier, le rhinocéros lui remplit abondamment la gorge d'un bon litre de lait non écrémé dont la moitié déborda sur sa gueule puis sur le sol. Ce fut ensuite au tour de Béren de lâcher sa charge dans son partenaire de longue date. Finalement, dans un rugissement d'extase, Karteros cracha sa semence dans les tréfonds de son sujet, assez profond pour qu'à jamais une trace de son passage y persiste. Après s'être extirpé de l'anus béant de l'hyène, il la saisit par la peau du cou, la retourna brutalement et lui enfonça son membre gluant dans la gueule pour qu'il goûte la saveur de son humiliation, ultime affront à la dignité de Maki.

« Je pense que nous allons pouvoir arriver à nous entendre, mon petit. Mais, il faudra revenir me convaincre chaque semaine : j'ai la mémoire courte. »