Entre deux rituels. Chasseur de vampires.

Story by MatthewBlackCat on SoFurry

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Entre deux rituels. Chasseur de vampires.

(dans les "entre deux", je placerai, je pense, les côtés les moins tendres de la sexualité d'Agone, si je puis dire... DOnc, soyez avertis, dans celui là, il y a de l'urine !)

Rêver de sang qui gicle sur les murs et le plafond et de corps nus démembrés ne pouvait dire qu'une chose. Il aura beaucoup de boulot, du genre physique dans les jours à venir. Il se réveilla péniblement, ce n'est pas le genre de rêves reposants où il passait une bonne nuit. Il mit deux fois plus de temps à se laver, même l'eau ne le réveillait pas. Complètement à la ramasse. Puis il alla prendre son café, et salua Camille d'un simple signe de main.

Ils s'étaient bien compris sur ce point : ils ne sortaient pas ensemble. Agone avait juste besoin de sexe, et Camille était le candidat parfait. Cela dit, ça n'empêchait pas ce dernier de rougir dès qu'il voyait le magicien.

Agone soupira. Au vu de ce qu'il attendait, il devrait aller se faire un autre tatouage dans le dos. C'était quelque chose de terriblement douloureux pour un anthro, l'aiguille devant tatouer la peau mais aussi toucher la racine des poils pour en modifier la couleur de telle sorte à ce que le tatouage soit toujours le même peu importe la taille du poils. Quand il l'annonça au renard, ce dernier fit la moue.

« Je veux t'accompagner.

_Non. Ce n'est pas un endroit pour toi.

_Agone... Je veux sortir. Ça fait trop longtemps que je suis là à rien faire, et puis... Tu veilleras sur moi ? Dit-il en souriant. »

Agone mit ses mains dans les poches. Il allait à un endroit tout à fait infréquentable. Il pouvait se fondre dans n'importe que foule, mais Camille... Et puis, après tout, le protéger des quelques emmerdeurs ne serait pas le plus difficile à faire. Agone accepta, mais lui prévint qu'ils allaient marcher. Le gros renard bondit de joie, et se précipita pour se préparer. Il mit bien une heure pour se préparer.

C'était pour Camille un temps en or pour sortir. Il ne faisait pas trop froid, et le soleil brillait, chose assez rare dans le coin. Et puis, il ne sortait plus, avec sa prise de poids. Agone gratta une allumette, et alluma sa cigarette. Les briquets, c'était pas son truc. Il n'arrivait pas à les allumer quand il voulait, et parfois, il se coinçait les poils dans le mécanisme; anecdote qui amusa beaucoup le renard.

Agone sentait le regard de son colocataire peser sur lui. Il y avait pourtant mieux à voir : ils étaient arrivés au plus grand parc de la ville. Tout était recouvert de verdures, de jolies fleurs au parfum agréable et d'arbres; un endroit rêvé, surtout pour une ville pareille.

« Tu n'es pas le même, dehors, finit par dire Camille.

_Vraiment ?

_Oui. Tu paraît plus vieux ! Dit-il en souriant. Tu ne souris même plus. Tu es fâché ?

_Non... »

Agone fronça les sourcils. Il ne s'en rendait pas bien compte. Après tout, il avait en ce moment la tête plein de projets ésotériques. Il se préparait psychologiquement au tatouage, et à affronter les monstres, si possible avant la nuit.

Camille se mit à rougir face à une bande de jeunes qui le regardaient de travers en pouffant dans leurs mains. Il accéléra le pas, et Agone peina à suivre la cadence. Les jeunes se mirent alors à les appeler, à dire quelques saloperies. Le magicien baissa les yeux, il avait l'impression de comprendre maintenant pourquoi il était si difficile pour lui de sortir. Mais les jeunes les suivaient amusés par la situation. Ils courraient derrière un bibendum pédé comme un foc et sa petite amie maigrelette. Camille écarquilla les yeux quand ils insultèrent Agone, qui lui même s'arrêta avec un petit sourire malsain. Il se retourna, et les jeunes s'arrêtèrent, soudain inquiets. Ils se mirent à le menacer, que s'il voulait se battre, ils allaient lui exploser le cul, lui faire hurler sa mère comme une petite pédale. Il ne fit qu'un pas en avant, et trois sur les quatre reculèrent. Camille essaya de tirer Agone par le bras, mais ce dernier posa doucement sa main sur la sienne. Le renard rougit, et recula, incertain.

Le magicien sourit au jeune de manière malsaine, le déstabilisant. Le jeune homme faisait une tête de plus que lui, et probablement le double de son poids en muscles. Dommage qu'il soit hétéro et homophobe. Il continuait de les insulter, les autres derrière essayaient de le dissuader. Le jeune se mit à rire, et essaya de frapper Agone au visage, mais se dernier évita le coup, et en profita pour le plaquer contre un arbre. Il plongea son regard dans le sien, son désagréable sourire figé. Le jeune se débattit un instant, mais à partir du moment où Agone l'embrassa, il se paralysa, les yeux grand ouverts. Le magicien rejoignit alors, sous les regards médusés des trois autres jeunes.

« Qu'est-ce... Qu'est-ce que tu lui a fait ?

_Oh, un tour de... Passe-passe ! Dit-il en faisant ''apparaître'' une cigarette d'entre ses doigts. Disons que... les yeux sont les portes de l'esprit, et qu'il a entrevu mon âme.

_Elle est... Si horrible que ça ?

_T'as pas idée... Dit-il en souriant, mains dans les poches. »

Ils longèrent alors un grand lac, où certains s'y baignaient, ou d'autres naviguaient en barque. Camille demanda s'ils pouvaient y retourner, mais Agone lui rappela qu'il n'avait pas besoin de lui pour sortir. Le renard baissa alors la tête, en grimaçant.

Camille commençait à se plaindre de la longueur du trajet; Agone lui dit pour la troisième fois qu'il l'avait prévenu, et que de toutes façons, ils étaient arrivés. C'était une rue sale, très peu fréquentée, qui glaçait le sang du renard. Agone donna une série de coups précis à la porte, un rythme complexe. Il attendit un instant, et un immense gars, trop musclé pour que cela soit appréciable, ouvrit la porte.

« Agone... Petite ordure. Tu n'as pas pris rendez-vous.

_Tu sais bien que Khamal adore mes petites visites surprises.

_Si tu es venu foutre le souk...!

_Tatouage, encore.

_T'as plus d'encre sous la peau que de sang dans les veines ! Et qui est le... Dit-il en regardant Camille de haut en bas.

_Il m'accompagne. Et je peux te garantir que le premier qui le touche aura affaire à moi. Vu ? »

L'homme croisa les bras, et soupira, passablement énervé. Il finit par les laisser passer, non sans regarder Camille de la tête au pied, en insistant sur les fesses. Camille rougit, et découvrit le lieu de débauche qu'était cet endroit, où régnait une musique électronique sensuelle. Dans le salon, certains faisaient l'amour à même le sol sale, parmi les nombreuses tâches de sperme, d'urine, de sang et d'autres, certaines sèches, et d'autres fraîches. D'autres étaient assis, le regard vague, une seringue dans le bras.

« Tu me suis ? »

Agone partit devant, montant à l'étage et évitant, tâches et déchets divers. Il n'y avait qu'une seule pièce, certainement la plus propre de la maison, aux murs couverts de dessins angoissants, avec au centre une table étrange, avec un trou pour la tête, un autre pour l'entrejambe. Tout pouvait bouger, sur cette table, d'après les parties amovibles. Les jambes, les bras, une étrange machine. Assis à côté, un ours noir, avec des piercings et d'étranges tatouages de partout, assez musclé, bien que son ventre était légèrement rond. Ce dernier lui serra la main, et lui tapota l'épaule.

« Alors, le diable n'a toujours pas posé sa main sur ton cul parfait, hein ? Dit la voix rocailleuse de l'homme.

_Bien sûr que non.

_Eh, l'autre jour, c'était l'enfer sur Terre, hein ? Je parie que même Dieu était furax. Qui sait, tu as peut-être ta place au paradis, maintenant.

_Je ne pense pas. Ma place est écrite avec de jolies enluminures de sang en Enfer, Khamal. »

Agone se débarrassa de sa veste, gilet, cravate et chemise.

« Tu as un corps parfait, je te l'ai déjà dit ? Dit Khamal. Cela dit, j'ai une préférence pour le jeunot, là... »

Camille, quand il comprit qu'il parlait de lui, croisa les mains derrière son dos, et rougit en fuyant son terrible regard rouge. Khamal se mit à rire, pendant qu'il stérilisait l'aiguille.

« Ouaip, j'en croquerais bien un bout...

_Il n'est pas là pour ça, le coupa Agone. Il m'accompagne, et personne ne le touche sans son consentement.

_Tu as un ami, toi maintenant ?

_Comme quoi, il ne m'arrive pas que des emmerdes. »

Khamal rit à nouveau. Camille, ayant obtenu la preuve qu'il était ami avec le séduisant Agone, ne cessait de rougir.

« Tu as toujours ton petit... Soucis ?

_C'est à vie, Khamal. Je l'aurais toujours. J'ai besoin d'une protection contre le vampirisme.

_Oh, alors tu as entendu parler du Nid, hein ?

_Je l'ai vu en rêve.

_Ah, le pouvoir des rêves... Les tiens sont toujours contagieux ? Demanda-t-il en regardant d'un air pervers Camille.

_Oui. Allez, dépêche-toi, j'ai pas toute la journée. »

Khamal incita alors Agone à passer sa tête dans le trou, et lui bloqua la tête avec une ceinture prévue pour. Il attacha ainsi ses bras et ses poignets, ainsi que ses jambes et chevilles. Devant l'air inquiet du gros renard, il sourit, et gratta la nuque d'Agone.

« Faut pas qu'il bouge. La douleur est assez forte comme ça. Tu pourrais l'enculer qu'il bougerait pas d'un iota. Et puis... »

Il appuya sur une pédale au sol, et la table fit écarter les jambes d'Agone, qui lui demanda d'arrêter ses conneries.

« ... ça le dérangerait pas, je connais le loustic. Je peux parier qu'il bande déjà. »

Camille s'approcha, peu rassuré. Tout ce qu'il savait, c'est que Agone, énervé, pouvait devenir terrible, il l'avait compris par lui-même. Mais l'idée de le sodomiser, alors qu'une aiguille pleine d'encre spéciale glissait sous sa peau le mettait mal à l'aise.

Comme l'aiguille commença son travail, Agone grimaça, grogna et ses poings se fermèrent violemment. Il en avait déjà les larmes aux yeux. C'était comme se faire lacérer par une lame rouillée imprégnée de vinaigre. Camille porta la main à sa bouche, et s'approcha de lui.

« Est-ce que ça va aller ? Demanda-t-il, la gorge serrée.

_Est-ce que j'en ai l'air ? Cria Agone. Ça fait un mal de chien !

_ça m'a toujours fait bander, de voir le petit Agone prendre son pied... Tu es pire que moi, tu le sais, ça ? Dit Khamal.

_Ta gueule ! Ta gueule et dessine ! »

Khamal se mit à rire, écartant les jambes pour laisser son sexe entrer en érection sous son short. Camille rougit de plus belle, sentant sa propre érection arriver. Mais il resta dans son coin, la situation le dépassait.

Le tatoueur se pencha alors, et fit glisser la fermeture éclair du pantalon d'Agone, qui ne dit pas un mot. Il lui sortit le sexe, en érection, et qui déjà crachait un petit peu de pré-sperme. Camille n'en revenait pas...

« Il est tout a toi, peluche, dit Khamal. Il est dépendant, de ces conneries. Maudit, même. C'est pas la première fois...

_Mais, et vous...

_Moi ? »

Il se mit à rire, à gorge déployée. Il eut la présence d'esprit de retirer l'aiguille avant, tout de même. Agone, lui, continuait de grogner.

« Putain, tu me fais le coup à chaque fois, fils de... Dit Agone.

_Jusque là, tu ne t'es jamais plains ! »

Camille fit quelques pas hésitants. La situation était totalement folle ! Mais avec Agone, elle risquait de l'être souvent... Et puis, voir son joli et gros sexe canin humide pendre comme ça lui faisait drôlement envie. Pourquoi pas, après tout ?

Timidement, il s'allongea sous le sol, la tête sous le sexe du loup. Il leva la tête, le voyant les yeux fermés, la mâchoire crispée. Il se rassura en disant que lui faire une fellation le calmerait probablement, ne serais-ce qu'un peu. Il reçut une goutte sur la joue, goutte relié par un mince filon de sperme jusqu'au sexe gonflé d'Agone. Il n'hésita pas plus longtemps, et lécha le bout de son gland. Il avait un goût âcre, salé et métallique. Mais savoir que c'était du sperme, qui plus est de cet homme-là changeait complètement la donne, rendant ce goût agréable et excitant. L'odeur, quant à elle, était enivrante. Comme affamé, il le prit en bouche intégralement; sa gueule était assez grande. Agone protesta vaguement, surtout pour la forme.

Camille était très doué, pour sucer... Stimulé par sa bouche comme par l'aiguille, Agone ne fut pas bien long, l'affaire de cinq minutes. Son nud grossit suffisamment pour rester coincé derrière les dents de Camille, qui s'efforça de tout avaler; mais il en déborda un peu sur ses joues. Quand il put retirer son sexe de sa bouche, le tatouage était fini. Il saignait par endroit, mais il était fin prêt pour l'étape du soir.

Après avoir trouvé une arme spéciale, un fusil à pompe en forme de crucifix qui crachait des balles bénites, il courut à la bonne maison. Le temps était compté, le Nid était loin et le soleil n'allait pas tarer à se coucher. Il avait dû rentrer vite chez lui, laisser Camille en plan, puis repartir chercher l'arme et les munitions. Il n'aurait pas le temps de les buter tous avant leur réveil, ça n'allait pas être joyeux.

Il défonça la porte d'entrée, et se dépêcha d'ouvrir les volets. Sa sentait la mort, le sexe, la merde. Il y en avait de tous les côtés. Les vampires sont des dingues, si loin des films à l'eau de rose. Les dents hyper-pointues, la peau grise, pas de pelage, des yeux horribles et jaunes, ailés, griffus...

Certains se mirent à hurler et se débattre, prenant feu sous les derniers rayons du soleil. Ceux qui se réveillaient à l'abri, Agone les tuaient. La balle, en argent bénite, les tuait du moment qu'on touchait un point sensible, mais le mieux restait la tête ou le cur. L'odeur de chair brûlait lui montait aux narines, c'était à vomir. Mais il tenait le coup.

Le soleil n'éclairait plus la bâtisse quinze minutes après son arrivée, et il en restait bien une dizaine. Il dut éviter les coups, ignorer les insultes, mais il finit par tous les avoirs, ces rejetons de l'enfer. En y réfléchissant, c'était les créatures les plus merdiques après les zombies.

On frappa à la porte. Inquiet, Camille alla ouvrir. Agone saignait de partout, il avait était mordu et griffé de partout. Le gros renard eu un hoquet de panique, le loup ne tenait même pas debout correctement. Il se dépêcha de stériliser et de panser ses plaies, c'était horrible à voir. Des trous et des griffures sur les épaules, le torse, le dos, les bras... Agone semblait pourtant paisible, une cigarette à la bouche. Timidement, Camille finit par lui demander :

« Tu... Tu as fais une invocation ? »

Agone se tourna vers lui. Camille avait envie de lui, même s'il n'était pas présentable comme maintenant...

« Oui ! »

Le loup sourit, et embrassa le gros renard, passionnément. Il lui caressa le ventre, jouant avec sa peau. C'était mou, sûrement très confortable. Il le traîna jusqu'au lit du renard sans attendre, se déshabilla, et s'allongea sur lui pour l'embrasser. Oui, c'était mou et confortable. Peut-être son nouveau type d'hommes... Le renard ne disait rien, mais à son souffle, et la bosse que formait son caleçon, il en avait envie. Agone lui lécha les mamelons, l'embrassa, puis sans attendre, retira le caleçon de Camille. Il resta un moment bête; elle était énorme. Terriblement grosse. Et des couilles parfaites. Il les lécha, lécha sa queue, suça son gland. Le renard restait silencieux, mais il haletait et gémissait tout de même.

Après s'être élargi avec deux doigts, Agone recouvrit le membre du renard de lubrifiant, avant de s'y assoir dessus, s'empalant lentement mais sûrement. Bon sang, c'était énorme ! Il avait l'impression de s'enfoncer un train. Camille pressait ses hanches, lui demandant sans parler de se l'enfoncer jusqu'au bout, alors qu'Agone, lui, s'agrippait à son ventre.

Quand il arriva à se la mettre en entier, il avait l'impression qu'il allait s'arracher en deux avec le plus grand plaisir du monde. Camille n'attendit pas, et remua les hanches, ramonant à fond le magicien, qui lui-même donnait des coups de reins pour gagner en intensité. Ça faisait trop longtemps qu'il ne l'avait plus fait, quel plaisir de se faire enculer à nouveau ! Surtout avec une queue pareille... ça faisait autant de mal que de bien, l'alliance parfaite pour passer le meilleur moment possible. En tout cas, vu comme Camille lui pelotait le cul, il devait être aux anges.

Il eut l'impression que son sexe gonflait en lui, avant qu'il ne balance la sauce en criant. Même Agone se mit à crier de plaisir, alors qu'il sentait son jus l'inonder copieusement, remplissant ses intestins, le salissant. À bout de souffle, il resta ainsi assis, à regarder Camille, tout rouge. Agone lui sourit, et lui caressa le ventre.

« Tu es vraiment gentil, Camille...

_Tu devrais la faire sortir...

_Je préfère attendre encore un peu... Dit-il en souriant tendrement.

_J'ai un peu mal... Oh non ! »

Camille rougit, et détourna le regard. Agone ne comprit pas, jusqu'à ce qu'il sente un liquide encore plus chaud l'envahir. Il poussa un petit cri, et agrippa son ventre.

« Tu me pisses dans le cul !

_Oh, pardon, pardon, pardon Agone, je suis tellement désolé...

_Oh... Fit-il en gémissant. C'est brûlant...

_Je te fais mal ?

_Même pas en rêve, c'est... »

Le cul plein comme jamais, Agone garda sa queue le plus loin enfoncé en lui, et se masturba. Se savoir plein de sperme et de pisse le rendait dingue... Il ne tarda pas à éjaculer, et tâcher le gros ventre du renard. Tous deux sonnés, ils restèrent ainsi un moment. Camille, lui, restait gêné.

« Tu... tu as aimé ça ? Finit-il par demander.

_Je vois pas ce qu'il y a de déplaisant... Faudra juste que je courre aux toilettes me vider d'un bon litre, c'est le seul petit problème.

_Tu es fou...

_Et j'adore ça. »

Agone sourit, voyant que Camille, bien qu'incertain, était rassuré. Il fit alors sortir son sexe, essayant de ne pas faire sortir trop d'urine, et se dépêcha d'aller aux toilettes. Il laissa échapper un véritable flot, qu'est-ce qu'il pouvait pisser ! Et éjaculer aussi... Un rêve, un vrai rêve, il était aux anges. Surtout que pour une fois, il n'avait pas fait d'incantations pour accomplir sa mission.