Invasion : alternative part 4

Story by Grand_Alezan on SoFurry

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#4 of Invasion : alternative


Le lendemain matin, malgré de gros cernes de fatigue, Stéphanie semblait radieuse. Plusieurs de ses plus proches collaborateurs lui firent quelques sarcasmes à ce sujet.

  • Hé bien, en voilà une qui a fait la fête tous les week-end on dirait ! Lui fit une de ses collègue, et amie, pendant la préparation d'une réunion importante.

  • Non, même pas ! fit Stéphanie sans parvenir à réprimer un large sourire. Je n'ai pas bougé de chez moi.

  • Et je le connais ? il est comment ? dit moi tout ! Questionna son amie.

  • Mais non, qu'est ce que tu vas croire ! il n'y a personne je te jure...

  • Oui on dit ça, je te connais, ça ne marche pas avec moi. Raconte ça à un mec si tu veux, mais pas à moi, lui dit-elle avec un clin d'il entendu.

Cette matinée fut peut-être la plus longue de sa vie. Stéphanie mourrait d'envie de rejoindre Alan. Midi arriva enfin, heure de la traditionnelle pause repas.

Depuis des siècles les humains avaient inventé de très pratiques pilules permettant de se nourrir rapidement. Apportant tous les nutriments nécessaires à un repas parfaitement équilibré dans quelques grammes accompagnés d'un grand verre d'eau, elles n'avaient cependant jamais eu le succès espéré par son inventeur. Malgré leurs prodigieux progrès, les humains restaient attachés à de basiques plaisirs tel que celui d'un bon vrai repas. Et les pilules miracles, si pratiques, n'étaient que rarement utilisée, en cas d'impératif de temps par exemple, quand on ne pouvait pas se permettre de faire une pause pour manger. Ainsi, la pause de midi restait le moment privilégié pour un repas conviviale entre collègues. Dans le milieu social de Stéphanie, il allait de soit que cette pause se prenait dans un restaurant de luxe.

Mais ce jour là Stéphanie déclina l'invitation de ses collègues. '' Je suis fatigué, je préfère manger un petit truc vite fait et faire une sieste '' s'excusa-t-elle. Dans le fond, ce n'était pas vraiment un mensonge, elle comptait bien retourner se coucher, mais pas pour dormir...

Elle franchit le seuil de son appartement et appela son nouvel esclave. Quelques instants plus tard le jeune equinhaur se trouva devant elle, toujours complètement nu, les bras le long du corps, presque au garde à vous.

  • Je suis là maîtresse. Vous avez passé une bonne matinée ?

  • Trop longue à mon goût, mais ça va. Et toi, qu'as-tu fait de beau ?

  • J'ai commencé d'essayer d'apprendre à lire avec la méthode que vous avez lancée sur votre ordinateur, mais c'est difficile, dit-il en baissant la tête, honteux.

  • Ça prend du temps, ne te décourage pas si vite. Que tu essayes me fait très plaisir.

  • Merci maîtresse.

  • Mais c'est tout ce que tu as fait de la matinée ? j'espère que tu ne t'es pas abrutis sur cette méthode quand même !?

  • Non maîtresse ! j'ai fait beaucoup de pauses et pendant celle-ci je me suis démêlé la queue.

Et pour illustrer ses propos il se retourna, présentant sa croupe à Stéphanie, et fit onduler son beau panache de crins blonds en balançant la queue de gauche à droite. Elle s'approcha doucement de lui et posa sa main droite sur les fesses chevaline de son esclave.

  • Arrêtes de dandiner du cul comme ça, ou je vais encore être obligée de te violer !

Alan ne répondit rien, mais il tourna la tête vers elle avec un regard plein de tendresse. Il savait parfaitement de quoi elle voulait parler quand elle évoquait son viol, et il savait donc que ça serait tout sauf violent, au contraire.

Ils tombèrent dans les bras l'un de l'autre pour une étreinte pleine de tendresse. Stéphanie en profitait pour continuer de lui caresser les fesses, Alan en faisait autant. Puis elle fit mine de vouloir lui faire un baiser entre les naseaux, comme elle en avait pris l'habitude. Mais cette fois ci Stéphanie posa ses lèvres sur celles de l'equinhaur et essaya d'insinuer sa langue entre celles du jeune étalon. Alan se pris immédiatement au jeu. Le baiser sur la bouche, et avec la langue, n'était pas une pratique typiquement humaine, les equinhaurs aussi l'utilisaient. Ainsi, malgré leur différence de morphologie, la jeune femme et l'étalon parvinrent à lier leur langue dans un long baisé passionné et baveux.

Pendant ce temps, les mains de Stéphanie n'étaient pas restées sages, toujours sur les fesses d'Alan, petit à petit, ses caresses se firent plus osées. Elle lui caressait maintenant sous la queue, bien entre les fesses, insistant particulièrement sur l'anus de son amant. Stéphanie était troublée par l'incroyable douceur de l'orifice de l'étalon et aimait beaucoup y promener ses doigts. Dans son esprit lubrique, déjà, l'envie d'y promener sa langue avait germée et petit à petit faisait son chemin.

Naturellement, Alan ne restait pas insensible à toutes ces sollicitations de sa libido et son sexe s'était rapidement déployé et tendu pour devenir cette grosse hampe qui plaisait tant à sa maîtresse. Stéphanie laissa la verge s'insinuer entres eux puis se recolla fermement contre Alan. Elle pouvait sentir le gros gland de l'étalon battre entre ses seins ainsi que le liquide préséminal inonder progressivement son petit chemisier. Sa poitrine n'était pas le seul endroit de son corps à s'humidifier, son entrejambe étant mouillé comme jamais.

  • Je vais te violer ! reprit-elle avant de replonger pour un baiser passionné.

Alan, désormais certain des intentions de sa maîtresse, entreprit de la déshabiller. Il lui retira d'abord son blazer puis déboutonna son pantalon qui tomba sur les chevilles de la jeune femme. Lentement, en essayant de ne pas briser leur étreinte, il finit par lui retirer son chemiser dont tout le devant était poisseux de sa mouille chevaline.

Une fois qu'elle fut en soutient gorge, petit culotte et chaussette, Alan la souleva en l'attrapant par derrière les genoux et les épaules et la transporta ainsi jusque dans la chambre où il termina de la dévêtir.

  • Voilà un bon esclave bien dressé, lui dit-elle alors qu'il se couchait à ses côtés. Tu mérites une petite récompense.

Stéphanie se mit alors à quatre pattes, les fesses en sa direction. Puisque le jeune equinhaur semblait vouloir prendre quelques initiatives il aurait été dommage de ne pas en profiter.

  • Prends ta jument mon beau, lui dit-elle pour le motiver.

Alan se releva et la tira doucement au bord du lit puis se plaça débout à côté de celui-ci. Pliant et écartant les jambes il parvint tant bien que mal à se placer à la bonne hauteur pour placer sa verge en face du vagin de la jeune femme.

Stéphanie n'en pouvait plus d'attendre, elle était excitée comme jamais et déjà quasiment au bord de l'orgasme. Le comportement d'Alan, sa constante attention à satisfaire tous ses désirs et sa grande tendresse naturelle, le rendait irrésistible. Elle avait envie de s'offrir complètement à lui, de briser tous les tabous, de ne vivre plus que pour lui, de ne vivre plus que pour le sexe avec lui ! Son esprit lubrique et pervers s'emballait. Sur le coup elle avait envie qu'Alan se trompe d'orifice, qu'il la sodomise fermement et profondément. Un jour ils le ferraient, elle en avait besoin, besoin de le sentir entièrement en elle, besoin de lui montrer jusqu'où allait son amour pour son bel equinhaur. Mais elle mourrait aussi d'envie de sentir sa chatte bien remplie et distendue par le calibre de l'étalon.

Alan l'avait bien compris, et à peine en place, il ne pris aucun délais pour la pénétrer directement avec une bonne moitié de sa verge alors tendue à l'extrême. Stéphanie lâcha un petit cri tout en inspirant profondément. Elle commençait à s'habituer au calibre de son amant et à la forme particulière de son gland, mais à chaque fois lors de la pénétration, elle ne pouvait s'empêcher d'être surprise par la sensation inhabituelle que cela provoquait.

Lentement, mais fermement, Alan se mit à la limer sans délais. La veille ils avaient fait l'amour un dizaine de fois, il commençait donc à bien connaître ce qu'elle aimait, le rythme et la force des coups de reins qui donnaient le plus de plaisir à sa maîtresse adorée.

Mais il devait aussi faire attention à longueur de la pénétration. Il savait qu'il était dix bons centimètres trop long par rapport au vagin de Stéphanie, et que s'il allait trop profond il lui ferait très mal. Dans cette position, elle ne pouvait pas empoigner sa verge pour contrôler la longueur.

Totalement abandonnée, Stéphanie ne pensait plus à ce genre de détail, elle faisait parfaitement confiance à son amant.

Plus attentionné que jamais, Alan semblait comprendre dans quel état d'esprit se trouvait la jeune femme. Alors, pour accentuer encore les sensations, il lui appuya doucement entre les épaules pour l'inviter à ne plus se soutenir avec les bras, à poser sa tête sur le lit et à ne garder plus que la croupe en l'air. Il l'empoigna ensuite fermement par les hanches et continua de la besogner de plus en plus rapidement.

Stéphanie enchaînait orgasme sur orgasme. Elle avait les cuisses trempée tant elle mouillait et n'était plus capable de se concentrer sur autre chose que sur cette belle grosse queue qui la fendait en deux.

Mais puisque toutes les bonnes choses ont une fin, le plaisir d'Alan aussi montait et il finit par jaillir abondamment au fond du vagin de Stéphanie. L'indescriptible plaisir du flot de sperme chaud l'inondant au plus profond de son intimité avant de fuir de tout côté lui arracha un dernier orgasme.

  • Ça va maîtresse ? s'inquiéta Alan

  • Oh oui ! c'est de mieux en mieux, répondit-elle à bout de souffle.

Alan se retira lentement avant de lui faire un long baisé sur chaque fesse. Stéphanie ne bougea pas, elle était dans un état second, ne parvenant pas vraiment à redescendre.

Tendrement, Alan l'allongea sous la couette et se coucha à côté d'elle. Ils finirent par s'endormir un petit moment.

Quand ils se réveillèrent Stéphanie était déjà largement en retard pour retourner travailler. Ils prirent quand même le temps de manger rapidement avant qu'elle ne doive partir.

Sur le pas de la porte, elle ne pu s'empêcher de nouveau de lui passer une main aux fesses en l'embrassant. '' Ce jeune étalon est beaucoup trop excitant, il va falloir apprendre à être forte ma grande '' se dit-elle.

  • A ce soir mon amour ! Et ne t'embêtes pas à changer les draps, c'est pour en remettre ce soir, lui dit-elle avec un clin d'il plein de sous entendu.

  • A ce soir maîtresse.

  • Tu m'aimes ?

  • Bien sûr que vous aime maîtresse !

  • Dit le alors !

Alan était un peu pris au dépourvu. Comment pouvait-il le dire autrement ? Elle s'attendait peut-être à ce qu'il fasse quelque chose pour lui prouver son amour.

  • Je t'aime Stéphanie, finit-il par déclarer timidement avant de lui faire un tendre baiser sur la joue.

  • Je t'aime Alan ! répondit-elle après l'avoir embrassé sur la bouche.

Naturellement, dès son retour au travail Stéphanie eut droit à de nombreuses questions de la part de ses amies. Elle les éluda d'un simple '' Je n'ai pas le temps, j'ai du travail '' faussement sérieux. Mais ses collègues n'étaient pas dupes, elles savaient bien que la cause de la fatigue inexpliquée de Stéphanie suite à son week-end était toujours présente dans son appartement. Mais celle-ci ne laissa transpirer aucun indice. Persuadée que la discrétion était une condition indispensable au bonheur, elle ne parlait jamais de ses conquêtes à ses amies. De plus, même si elle aimait Alan plus que tout, et après réflexion, elle se dit que c'était la première fois qu'elle était aussi amoureuse de quelqu'un, elle n'avait pas envie de ça se sache. Les equinhaurs étaient un sujet tabou. A sa connaissance, elle n'avait jamais entendu parler d'un couple mixte equinhaur - humain et que si elle en parlait Stéphanie craignait de se heurter à un mur d'intolérance et de dégoût.

Et puis elle n'avait pas non plus envie de jouer sa place pour une histoire de cul, aussi formidable soit-elle. Nommée depuis plusieurs mois présidente générale de la filiale de Siemu du groupe qui l'employait, elle savait bien que ce genre de ragot, s'il venait à se propager, risquait bien de lui créer des problèmes. Dans les hautes strates de la société dans laquelle elle évoluait, la discrétion était de mise. Il fallait éviter d'attirer l'attention des médias et éviter tout scandale. Chacun était libre de sa vie privée, mais il fallait éviter de la dévoiler au grand jour.

Cet après-midi là, Stéphanie eut beaucoup de travail, elle ne pu rentrer chez elle qu'assez tard. Mais devant la porte de son appartement une mauvaise surprise l'attendait. Quatre hommes en uniforme, des policiers, patientaient. Quand elle les vit en sortant de l'ascenseur, Stéphanie se figea. Son sang ne fit qu'un tour et immédiatement elle pensa à Alan.

  • C'est pour quoi ? Et pourquoi le gardien ne m'a pas prévu de votre présence ? demanda-t-elle fébrile.

  • Bonsoir mademoiselle, police de Siemu, dit l'un des hommes en présentant son ID. Nos systèmes de surveillance laissent à penser que vous auriez rodé du côté de la décharge au sud de la ville et que vous en auriez ramené un animal sauvage, expliqua-t-il. Nos aimerions visiter votre appartement afin d'infirmer cette hypothèse.

  • Un animal sauvage ? interrogea Stéphanie qui fit semblant de ne pas comprendre.

  • Oui, un equinhaur, c'est une espèce protégée, la détention d'un tel animal est interdite, notamment pour des raisons de santé publique, les equinhaurs étant porteur de nombreux germes pathogènes. Allez-vous nous laisser vérifier votre domicile ou dois-je faire usage de la force ?

Stéphanie, n'ayant pas trop envie de défier l'homme, et se sachant de toute façon fautive, obtempéra. Tremblante, elle ouvrit la porte d'entrée, et comme elle le craignait Alan se précipita à sa rencontre. Il fut tout aussi surpris qu'elle de voir ces quatre policiers fondre sur lui. Alan eut un mouvement de recul puis se figea. Il n'avait aucun moyen de fuir ou de se défendre. Rapidement, il fut menotté aux mains et aux pieds et déjà deux des hommes s'apprêtaient à l'emmener. Alan ne comprenait pas ce qu'il se passait. Etait-ce une trahison de Stéphanie ? La jeune femme était-elle déjà lassée de son nouveau jouet et elle s'en débarrassait ? Alan ne pouvait pas y croire, il y'avait autre chose.

  • Mais laissez le ! Il est à moi ! Vous n'avez pas le droit ! C'est sa mère qui me l'a confiée, s'énerva Stéphanie.

  • La loi c'est la loi, vous n'avez pas le droit de détenir cet animal chez vous.

  • Mais enfin vous voyez bien qu'il n'est pas mal traité et qu'il n'est pas malade.

  • Je ne suis pas habilité à en juger. Je ne fais que d'appliquer les ordres. Voyez ça avec mes supérieurs.

  • Je ne vais pas vous laisser l'emmener si facilement, dit-elle en s'interposant.

  • Vous seriez alors passible d'une procédure pour entrave aux forces de l'ordre gouvernementale et de dix mille yards d'amende.

  • Mais enfin, il y'a des milliers d'entre eux qui sont exploité clandestinement dans les usines et les mines de cette planète et moi je n'ai pas le droit d'en avoir un chez moi, vos lois sont une aberration !

  • Ce n'est pas moi qui fais les lois, je me contente de les faire appliquer. Maintenant laissez nous passer sans quoi je vais être dans l'obligation de sévir.

Alors Stéphanie s'écarta et pris appuis dos au mur. Elle ne savait plus quoi faire pour ne pas qu'on lui enlève son Alan. Finalement, à bout de nerf, elle éclata en sanglot et se laissa glisser pour se retrouver assise à même le sol.

  • Ne lui faite pas de mal, s'il vous plait, ne lui faite pas de mal, implora-t-elle d'une voix étranglée.

  • Mademoiselle, je dois aussi vous avertir que si vous avez eux des rapports sexuels non protégé avec cet equinhaur, vous devriez consulter votre gynécologue.

  • Goujat ! s'indigna-t-elle. Sortez de chez moi ! vite ! vite...

Alors, froidement, les quatre hommes emmenèrent Alan. Trop honteuse de n'avoir su le protéger, elle n'osa pas le regarder partir.

Après un long moment à pleurer toujours assise dans l'entrée de son appartement, Stéphanie se reprit un peu. Elle ferma la porte puis alla directement se coucher.

Comme elle lui avait demandé, Alan n'avait pas changé les draps. Le lit portait encore l'odeur de leur dernière étreinte. Lorsqu'elle senti la bonne odeur de son étalon Stéphanie fondit à nouveau en larme.

Jamais elle n'avait eu si mal. Lui enlever son amant de cette manière était la pire torture que l'on puisse lui faire. Elle aurait préféré qu'ils se disputent et qu'ils décident de se séparer, ou même qu'il meure, mais pas qu'on lui enlève ainsi.

Elle passa la soirée à pleurer et se morfondre, se souvenant maintenant pourquoi elle avait décidé de ne jamais tomber amoureuse. Mais il était trop tard, elle aimait Alan au plus profond de son être et elle ne pouvait pas revenir en arrière. Stéphanie finit par s'endormir recroquevillé dans un coin du lit, enfouie sous sa couette, le visage à l'endroit où l'odeur de son étalon était la plus forte. Son sommeil fut profond et paisible, sans rêve. Il lui fit le plus grand bien et malgré sa profonde tristesse, elle se réveilla bien reposée.

Ce matin la elle évitait autant que possible de croiser le regard de ses collègues et se réfugia dans son bureau pour se plonger dans son labeur. Cela n'empêcha pas ses plus proches collaborateurs de remarquer son trouble. Sa meilleure amie se faisait du souci pour elle, et tenta de la réconforter.

  • Qu'est ce qu'il y'a ma douce ? S'inquiéta-t-elle. Hier tu étais radieuse et aujourd'hui tu ne veux voir personne. Il t'a déjà plaqué c'est ça ? Ah les hommes, tous des salauds !

  • Mais non, ce n'est pas ça, répondit Stéphanie en prenant son visage dans ses mains.

Il fallait vite qu'elle essaye de penser à autre chose, sans quoi elle sentait qu'elle allait se remettre à pleurer.

  • Qu'est ce qu'il y'a alors ? dit moi. Tu sais bien que tu peux tout me confier. Des soucis de santé ? C'est tes parents ?

  • Non tout va bien, mentit Stéphanie. C'est juste un petit coup de déprime passager avec tout ce stress de la nouvelle usine. Ça ira, ce n'est rien.

  • Tu es sûre ? je ne t'ai jamais vue comme ça.

  • Oui, je t'assure ! répondit Stéphanie avec un grand sourire forcé.

De s'abrutir dans le travail n'était visiblement pas une bonne solution pour oublier ses soucis. Stéphanie ne parvenait pas à oublier Alan et de quelle manière on lui avait enlevé. Et puis, oubliant un peu son propre malheur, elle pensait aussi à celui d'Alan. Lui aussi devait être triste. Et puis il avait peut-être d'autres soucis bien plus inquiétant que leur simple séparation. Qu'allait-il devenir ? Elle espérait qu'il ne soit pas mal traité, bien qu'elle ne se fasse pas trop d'illusion à ce sujet. Stéphanie connaissait bien l'histoire de la relation entre les humains et les equinhaurs, et elle avait vu dans quelles conditions ils survivaient. Peut-être même qu'il avait été abattu pour un quelconque motif fallacieux. '' Tout ça c'est encore un complexe d'infériorité typiquement masculin '' se dit-elle. '' Parce qu'ils ont une plus petite bite, les homme son jaloux et s'imaginent que c'est en éliminant tous les equinhaurs qu'il vont régler le problème ''

Soudain, Stéphanie se leva brusquement '' Je ne peux pas laisser faire ça ! '' déclara-t-elle. Se morfondre sur son sort et sur celui d'Alan ne servait à rien. Elle était bien disposée à retrouver son étalon ou en tout cas à savoir ce qu'il était devenu, ne serais-ce que par respect pour lui.

Elle informa ses plus proches collègues qu'elle devait s'absenter tout l'après-midi pour des raisons personnelles et qu'il était inutile d'essayer de la contacter.

La première étape de sa recherche la mena naturellement au commissariat central de la ville. A l'accueil l'hôtesse qui la renseigna fut très étonnée par la recherche de Stéphanie. A sa connaissance, il n'y avait aucun service de police spécifique traitant de la question des equinhaurs. Les problèmes avec cette espèce ayant été réglé par l'armé, c'est plutôt vers cette administration qu'elle fut dirigée. Mais traité avec l'armée n'est pas chose aisée. Dans ce milieu très hiérarchisé et sans réel pôle de contact avec les civils, il fut impossible pour Stéphanie d'avoir le moindre renseignement sur le sujet. Elle abandonna rapidement cette piste puisque, de toute façons, les hommes ayant enlevé Alan étaient des policiers et non pas des militaires.

A tout hasard elle se rendit même à la fourrière. Puisque c'était normalement là que l'on gardait les animaux égarés, il y'avait un petit espoir. Mais la fourrière ne s'occupait que des chiens et des chats égarés, surtout pas des equinhaurs.

Alors Stéphanie se tourna de nouveau vers la police, mais cette fois ci en téléphonant directement au ministère de l'intérieur. S'il y'avait sur cette planète un service spécialisé dans la question des equinhaurs il dépendait forcement de ce ministère. Mais la personne qu'elle eut au téléphone, bien que très polie et serviable, lui répondit '' Je ne suis pas habilité à vous donner ce genre de renseignement. '' sans plus d'explication.

Cette réponse signifiait donc qu'il y'avait bien un service spécialisé, mais que celui-ci n'avait pas d'existence officielle. C'était rageant car elle n'avait aucune piste pour avoir le moindre contact. Stéphanie regretta de ne pas avoir d'amis bien placés dans le milieu politique.

Alors dépitée, elle rentra chez elle.

Le lendemain, bien que toujours affectée par l'absence d'Alan, Stéphanie avait un peu moins tendance à fondre en larme sans raison apparente. Mais elle n'avait plus trop espoir de retrouver Alan, le résultat de ses recherches infructueuses de la veille la confortait dans cette idée. Cependant, comme pour conjurer le sort, Stéphanie avait décidée de s'en tenir au programme qu'elle avait prévu avec son étalon. Elle effet, elle voulait acheter quelques jouets sexuels et accessoires afin de se préparer l'anus au gros calibre de son equinhaur chéri. Stéphanie s'était mise dans la tête qu'elle devait être en mesure de s'offrir complètement à son esclave afin de profiter au maximum de lui.

Elle n'était habituellement pas trop portée sur la sodomie, bien que ce soit une pratique qu'elle apprécie de temps en temps. Mais quand Alan était encore là, elle avait eu cette furieuse envie de lui offrir son petit trou. Peut-être que malheureusement elle n'aurait jamais l'occasion de le faire, mais au cas où, elle voulait être prête.

'' Plus je mettrais de temps pour retrouver Alan, plus j'aurais le temps de m'entraîner '' se dit-elle. Ainsi, ce petit avantage rendrait l'absence d'Alan un tout petit peu moins lourde à supporter.

Stéphanie passa commande de plusieurs jouets de toutes taille. Ce n'était pas la première fois qu'elle s'achetait des godemichés car elle avait l'habitude de les perdre dans ses multiples déménagement, les donner ou même les jeter quand ils ne lui plaisaient plus. Ainsi elle ne le gardait jamais très longtemps, à l'image de ses vrais amants d'ailleurs. Et puis normalement elle n'en achetait que lorsqu'elle était vraiment en manque, en cas de grosse envie, car elle préférait quand même un vrai homme.

Cela lui changea les idées un petit moment, jusqu'au moment de faire son choix parmi les godes de taille plus conséquente. Cela lui rappela Alan et à quel point il lui manquait. Elle tomba dans une petite crise d'angoisse, craignant pour la vie de son amant, avant de fondre à nouveau en larmes.

Stéphanie se reprit tant bien que mal et poursuivit sa commande. Elle essaya de dénicher un gros gode en forme de sexe d'equinhaur, ou de cheval puisque c'était la même chose, mais il n'y en avait point. Au hasard de ses recherches, elle trouva un gros jouet en acier inoxydable, froid, lourd et lisse, c'était un gros cylindre en forme d'obus. L'extrémité était pointue et arrondie mais s'élargissait très rapidement jusqu'à un diamètre bien plus important, au moins deux fois l'épaisseur d'Alan. '' Qui pourrait avoir l'idée d'utiliser un tel jouet, il faut être maso pour s'enfiler ça '' se dit-elle. Et puis finalement, après avoir considéré quelques instant l'objet en question Stéphanie le commanda aussi. '' Quand il te prendra l'idée de vouloir coucher avec un mâle, tu t'enfilera ça dans le cul ma grande, ça te rappellera à quel point ça fait mal de tomber amoureuse '' pensa-t-elle.

Déjà la fin de semaine approchait mais les collègues de Stéphanie voyaient bien qu'elle n'avait toujours pas le moral. Elle tentait de noyer sa peine dans le travail, en se promettant que si jamais elle ne retrouvait pas Alan plus jamais elle ne tomberait amoureuse.

Il y'avait beaucoup de travail et Stéphanie y passait ses journée entière, de tôt le matin jusque tard le soir, mais elle restait d'humeur morose.

Ses plus proches collègues, et amis, étaient bien décidés à lui changer les idées afin d'essayer de lui faire retrouver sa gaîté et sa bonne humeur habituelle.

L'un d'entre eux était parvenu à trouver l'adresse d'un bar ayant une back room où se déroulaient des combats d'equinhaurs.

  • Des combats d'equinhaurs ? interrogea Stéphanie un peu inquiète.

  • Oui, c'est comme un match de boxe, sauf que tous les coups sont permis.

  • Désolé, ce n'est pas trop mon truc.

  • Mais si attends, tu ne sais pas tout. En fait les deux étalons combattent nu. Il parait que ça plait beaucoup aux femmes de voir lutter ces deux beaux mâles musclés.

Stéphanie eut un peu peur, elle cru un instant que ses collègues avaient découvert son secret. Mais elle se rendit compte bien vite que cela ne pouvait pas être le cas, elle avait été bien trop discrète. Et puis si ça avait été le cas, ils auraient été manifestement très maladroit d'inviter Stéphanie à ce genre de spectacle.

  • Bof, je ne suis pas sûr que ça me plaise. Je n'ai pas trop envie, répondit-elle.

  • Mais si ! viens, insista une de ses amies, je suis sûr que l'on va bien s'amuser. Et puis faut te changer les idées un peu, voilà toute la semaine que tu fais la gueule. Tu vas finir par donner le cafard à tout le service, dit-elle en plaisantant.

Ils se retrouvèrent comme convenu le vendredi soir devant le bar en question. C'était un petit bistro de proche banlieue, à la limite d'un quartier industriel et d'une zone commerciale. L'établissement semblait surtout fréquenté par des jeunes qui venaient là en première partie de soirée. L'ambiance était sympa, et à vrai dire ce bar ne différait pas du tout de ceux où Stéphanie et ses amis avaient l'habitude de sortir. Ils auraient très bien pu s'y retrouver par hasard.

L'ami qui les avait invité ici alla parler avec le barman afin d'accéder au spectacle. Pour assister au combat, il fallait prendre une consommation et payer un petit supplément. Il acheta donc leurs places. A part ça il n'y avait pas vraiment de grosses précautions de prise afin de dissimuler cette activité secondaire.

Ils rentrèrent donc dans l'arrière salle où s'était déjà entassé plusieurs centaines de personne. Les lieux étaient plongés dans la pénombre car seul le grand ring au milieu de la pièce était éclairé. L'endroit était sonorisé et comme rien n'avait encore commencé il y'avait la même musique que dans le bar. Stéphanie était inquiète, elle avait peur de sa réaction lorsqu'elle verrait arriver les combattants. Et puis un combat ''où tous les coups sont permis'' ne lui disait rien de bon. Il n'était pas certain que le spectacle lui plairait. Pour se donner du courage elle bu un peu.

Puis les choses commencèrent à se préciser un peu, la musique fut coupée et un homme en tenue d'arbitre de boxe monta sur le ring. Après avoir souhaité la bienvenue aux spectateurs il présenta les combattants.

  • voici d'abord notre grand champion, que l'on appel maintenant Blackdeath, inutile de le présenter puisqu'il revient ici pour la quinzième fois consécutive. Je vous demande de l'applaudir bien fort.

Tout le monde applaudi et c'est alors que le Blackdeath en question entra sur le ring. C'était un grand equinhaur de robe entièrement noire, très musclé et visiblement bien entraîné. Il pavanait sur le ring en faisant saillir ses muscles et en levant les bras au ciel devant les spectateurs qui l'acclamaient. Comme prévu, l'étalon noir ne portait aucun vêtement. Il y'eu d'ailleurs plusieurs sifflet d'admiration de la part de quelques femmes présentent dans la salle, dont une amie de Stéphanie.

  • Nathalie, je t'en prie, un peu de tenue ! Lui fit elle d'un air faussement indignée.

  • Ben quoi, tu ne trouves pas qu'il est sexy cet étalon !? répondit-elle amusée.

  • Oh tu sais moi les equinhaurs c'est pas mon truc, mentis Stéphanie.

Mais contrairement à ce qu'elle affirmait, certains détails de l'anatomie de l'étalon noir ne la laissaient pas de marbre. L'equinhaur semblait particulièrement bien pourvu et ses couilles devaient être une fois et demie plus grosse que celles d'Alan.

Alan malheureusement n'était plus là. De toutes les recherches et les pistes qu'elle avait suivit pendant la semaine, en plus de son travail, aucune n'avaient permit à Stéphanie de retrouver la moindre trace de son étalon. De repenser à lui la fit replonger dans un état mélancolique certain.

  • Son challenger de ce soir est un certain Alan, étalon qui combat ce soir pour la première fois. Sera-t-il à la hauteur ? nous allons le découvrir bientôt, poursuivit l'arbitre.

Au nom de son equinhaur, Stéphanie sursauta avant que son cur ne se fige quelques instants dans sa poitrine. Elle cessa de vivre pendant les quelques secondes qui lui fallu pour se rendre compte que le deuxième equinhaur qui rentrait sur le ring n'était pas son Alan. Cet étalon là était plus grand et plus musclé, plus vieux aussi et surtout il était gris.

Stéphanie soupira, à la fois de soulagement et à la fois de dépit. Pendant un ultime instant, elle avait caressé l'espoir de revoir et de retrouver son amant. Déçue, elle sombra dans une sorte de dépression, si bien qu'elle ne regardait même plus le combat qui s'engageait. '' Pourquoi je l'ai laissé partir ! Et surtout pourquoi je ne l'ai pas suivit !? Nous serions peut-être de nouveau ensemble alors que par ma faute il est sûrement déjà mort... mon pauvre Alan, pardonnes moi s'il te plait'' pensa Stéphanie.

Les deux étalons se jaugeaient, le gris tournait autour du noir, cherchant sont point faible, une faille dans sa défense. Il ne semblait pas rassuré et se préparait constamment à esquiver un coup. Le noir, beaucoup plus sûr de lui, restait au milieu du ring en tournant doucement sur lui-même pour suivre son adversaire. L'étalon gris s'épuisait inutilement dans un jeu de jambe inefficace. Il suffisait d'attendre qu'il fasse une faute d'inattention pour porter le premier coup.

Le combat commençait comme un match de boxe classique, à la différence près que les étalons portaient des coups à mains nues.

Après quelques échanges de coup de poing, l'étalon gris ne semblait déjà plus trop en forme. Il tenta une approche plus au corps à corps. Il agrippa son adversaire et tenta de lui décrocher un coup de genoux dans les testicules. Après tout, tous les coups étaient permis et vu l'issue prévisible du combat il avait tout intérêt à ne perdre aucune chance.

Mais l'étalon noir lui bloqua la jambe entre ses puissantes cuisses avant de l'attraper par l'autre jambe afin de le faire tomber. Un fois à terre, il se laissa tomber sur son adversaire, le coude en avant afin de lui porter un très violent coup à l'estomac.

  • Au fait, qu'est ce qui désigne le vainqueur ? s'enquis une amie de Stéphanie auprès du collègue qui les avait emmené là.

  • Oh et bien c'est simple, fit il, ils combattent jusqu'à la mort ou jusqu'à ce que l'un des deux arrive à arracher les couilles de l'autre.

  • Quoi !? s'exclama Stéphanie.

  • Tu nous fais marcher là, ajouta son amie.

  • Non je suis sérieux. A ton avis pourquoi le noir se fait appeler ''Blackdeath'' ?

  • C'est immonde ! s'indignèrent le deux femmes.

  • Je ne sais pas si je vais rester jusqu'à la fin, ajouta Stéphanie nauséeuse.

Elle venait de penser que son Alan pouvait très bien se retrouver un jour dans ce genre de combat avant de se faire laminer par un de ses congénères. Sur le ring les choses se précisaient. L'étalon gris toujours allonger par terre était quasiment assommé. Son adversaire alors débout lui décrocha un puissant coup de pied dans les couilles afin de l'achever. Le gris ne réagit presque pas, il n'était déjà plus conscient. Alors l'equinhaur vainqueur posa un de ses gros sabots sur la paire de testicule du pauvre étalon terrassé. Il s'apprêtait à les écrabouiller comme on écrase un vulgaire insecte. Certaine personne dans le publique l'encourageaient, appelant au sang. Ainsi étaient les règles de ces combats sauvage. Si l'étalon noir ne voulait pas tuer son congénère, il était obligé de le castrer sans quoi c'est lui que l'on castrerait. Il ne pourrait alors plus combattre. Inutile il serait mis à la rue et finirait sa vie dans la plus profonde misère.

Stéphanie détourna le regard et pris la direction de la sortie, mais elle n'eut pas le temps d'aller bien loin. Alors que sur le ring l'étalon noir s'apprêtait à mettre fin au combat, par les deux portes de la salle s'engouffrèrent une multitude de policiers, armés jusqu'aux dents, en tenue d'intervention spéciale.

  • Police, que personne ne bouge !

Ils n'y avait de toutes façons aucun moyen de quitter l'endroit. Après un bref instant de panique tout le monde observa la réaction de ses voisins et resta en place. Sur le ring, l'étalon gris venait de perdre une bonne partie de sa virilité et son sang commençait à se répandre autour de lui.

Tous furent embarqué et conduit dans un immeuble sans enseigne du centre ville. Hormis les responsables du spectacle, personne n'était vraiment arrêté. Les spectateurs étaient juste entendus en tant que témoin et il était simplement fait mention dans leur casier judiciaire qu'ils avaient assisté à ce genre de combat totalement illégal. Et hormis s'ils avaient participé au paris d'argent accompagnant habituellement ce genre de combat ils n'encouraient aucune condamnation.

Vint enfin le tour de Stéphanie d'être entendue par un agent. Elle ne savait plus trop quoi faire ni penser. Et ce qu'elle craignait le plus, c'est que cet incident l'empêche définitivement de récupérer Alan, si jamais il restait un espoir de le retrouver.

L'agent lui demanda de lui donner son ID, ce qu'elle fit. Il présenta cette carte d'identité électronique face à son écran afin que celle-ci soit reconnue par le système.

  • Voyons voir, Mademoiselle Stéphanie Himerlay, dit-il. Ah mais vous êtes une cliente particulière vous. Je pense que le commissaire serait ravi de vous entendre.

  • Comment ça ? s'inquiéta Stéphanie. J'ai fait quelque chose de mal ?

  • A part assister à un combat illégale d'animaux sauvage ? Fit il ironiquement. J'ai bien peur que oui. Suivez moi.

Alors Stéphanie suivit l'agent jusque dans un bureau à l'étage au dessus. Le policier frappa à la porte avant d'entrer dans le bureau.

  • Commissaire, j'ai une récidiviste, je pense que c'est à vous de traiter son cas.

  • Faites la entrer, je vais voir ça.

L'agent remis l'ID de Stéphanie au commissaire avant de la laisser seule avec lui.

  • Je me présente, Commissaire Lacour, mais je vous en prie, assez-vous mademoiselle.

Alors, timidement, Stéphanie fit ce qu'on lui dit.

Elle commençait sérieusement à avoir de nombreux doutes sur cette affaire. C'était la deuxième fois en moins d'une semaine qu'elle se retrouvait face à des policiers d'un service qui officiellement n'existe pas. Cette histoire d'equinhaur ressemblait de plus en plus à un moyen de pression sur elle. Et si toute cette histoire n'était qu'une manuvre politique ? Le groupe pour lequel elle travaillait était un des acteurs majeur dans le domaine de la construction spatial et sur Siemu, grâce au travail de Stéphanie, il avait bien rattrapé son retard. De part sa place, Stéphanie était en mesure d'exercer un lobbying puissant sur certains acteurs politiques de Siemu.

Elle se rendit compte qu'elle devait être surveillé de très près depuis déjà pas mal de temps. L'arrivée d'Alan, un equinhaur, dans sa vie offrait à ses antagonistes une occasion idéal de la discréditer ou d'avoir un fort moyen de pression sur elle. Il n'empêchait qu'Alan lui avait été bel et bien retiré et qu'elle n'avait aucune idée d'où il se trouvait. Cependant, quelque chose lui disait que finalement elle se trouvait face à la bonne personne pour enfin avoir une piste.

Stéphanie n'avait aucune idée de la personnalité de ce commissaire Lacour, mais il avait l'air plutôt sympathique. C'était un homme d'environ la quarantaine, brun, bien fait, plutôt grand. Il avait les cheveux courts et le front légèrement dégarnit. Il portait un costume gris avec une chemise blanche.

Elle se dit qu'un peu de comédie et quelques larmes pourrait peut-être toucher cet homme, bien qu'il devait sans doute être entraîné pour faire face à toutes les situations. Pour les larmes elle n'eut aucune difficulté, il lui suffisait simplement de penser à Alan.

Alors tout doucement, Stéphanie se mit à sangloter. Cela faisait à peine dix secondes qu'elle était assise et le commissaire Lacour venait tout juste de commencer à lire son dossier. La réaction ne se fit pas attendre.

  • Ce n'est rien mademoiselle, ce n'est pas grave, vous n'allez pas finir en prison pour si peu, tenta-t-il de consoler.

  • Non, ce n'est pas ça, fit elle entre deux sanglots.

  • Qu'est ce qu'il y'a alors ? dites moi tout.

  • C'est que, vous m'avez confisqué mon equinhaur, et que maintenant, parce que j'ai vu ce combat, vous allez croire que je veux qu'il fasse la même chose et ne pas vouloir me le rendre.

  • Ah les femmes amoureuses, c'est un gros problème dans ma mission ça.

  • Comment ça ? s'inquiéta Stéphanie.

  • Et bien je déteste briser le cur d'une jolie femme comme vous, et c'est manifestement le cas ici. Je vois effectivement que nous vous avons confisqué votre equinhaur lundi soir. Vous devez être très amoureuse pour vous mettre dans cet état pour une si petite histoire. Mais je pense que je vous comprends. C'est vrai que les equinhaurs doivent être de meilleurs amants que nous, et que de toutes façons ils ont l'argument pour.

  • Et alors !? Vous êtes jaloux ? Et c'est pour ça que vous m'avez confisqué mon étalon ? Et puis pour moi ce n'est pas une petite histoire ! s'indigna Stéphanie.

  • Oh non pas du tout ! N'allez pas croire que je juge votre choix. Moi aussi j'aime bien les equinhaurs vous savez, c'est d'ailleurs pour cette raison que je suis responsable de ce service. Je suis simplement tenu de respecter certaines procédures afin d'assurer ma mission au mieux.

Stéphanie releva la tête et essuya ses larmes.

  • Comment ça ? demanda-t-elle curieuse.

  • Le but de mon service, qui n'a pas vraiment d'existence officielle, et d'éviter le trafic d'equinhaur afin de mettre fin au marché parallèle qui s'est mit en place depuis plusieurs années et qui prend de l'ampleur de mois en mois. Accessoirement, nous essayons aussi de protéger les equinhaurs de certain mauvais traitement manifeste qu'ils peuvent subir.

  • Et alors je pourrais récupérer mon Alan ? s'inquiéta-t-elle.

  • Normalement oui...

  • C'est vrai !? s'exclama-t-elle avec un grand sourire.

  • Ah voilà, vous êtes beaucoup plus jolie avec le sourire ! Mais oui c'est vrai, vous ne repartirez pas avec ce soir, mais nous vous le rapporterons bientôt.

  • Et pourquoi ? il va bien ?

  • Nous n'avons pas finit avec lui, mais oui il va bien, à part qu'il est sans doute encore plus triste que vous. Au début il ne voulait même pas manger.

  • Qu'est ce que vous lui faite ? s'inquiéta Stéphanie.

  • Rien de particulier, il est en quarantaine afin d'évaluer son état de santé. Mais dès que les analyses sont terminées nous vous le rendrons. Lundi soir si tout vas bien.

  • Ça va être long d'attendre jusque là... Mais je peux au moins le voir ?

  • Je vous écoute à propos des conditions de son achat, car j'ai vu que vous aviez retiré une très grosse somme d'argent le week-end dernier, bien au dessus des prix du marché, j'aimerais que vous m'expliquiez tout ça.

Alors Stéphanie lui raconta toute l'aventure de sa rencontre avec Alan et pourquoi elle avait décidé de l'acheter si chère. Cette explication rassura le commissaire Delacour, d'autant plus qu'elle coïncidait parfaitement avec le témoignage d'Alan. En voyant la somme en jeu, il avait craint l'émergence d'un nouveau réseau et d'un trafic de grande envergure. Il l'emmena ensuite au sous sol de l'immeuble, là où était enfermée les equinhaurs confisqués.

Stéphanie fut surprise du nombre de cellules occupées. Chaque equinhaur avait une cellule individuelle fermée par un champ de force. Sans être confortablement installé, il ne leur manquait rien. Les cellules étaient propre et équipées convenablement pour y vivre dignement. A regret elle constata aussi que certains des equinhaurs enfermé là étaient en piteux états et que leur cellule ressemblait plutôt à une chambre d'hôpital. Plusieurs d'entres eux avaient été victime de mutilations et se trouvaient encore entre la vie et la mort.

Stéphanie reconnu aussi les deux étalons du combat. Le noir allait bien, il semblait même soulagé de se retrouvé enfermé ici. Le gris était sous assistance médicale mais elle apprit qu'il s'en sortirait sans trop de dommage.

Enfin elle se retrouva devant la cellule de son equinhaur. Même s'il dormait, le dos vers elle, et qu'il était habillé d'une combinaison grise, elle le reconnu presque instinctivement.

  • Alan ? appela-t-elle la gorge nouée.

Immédiatement il releva la tête et ses oreilles se dressèrent pour s'orienter vers elle.

Enfin elle était là ! Il l'avait attendu pendant des jours. Sombrant dans une profonde dépression de ne pas la voir arriver pour le reprendre avec elle. L'enfermement n'était rien, mais la solitude et la séparation le torturaient jours et nuit. D'un bond il fut débout et se précipita vers elle pour ne s'arrêter qu'à quelques centimètre du champ de force.

  • Stéphanie ! Euh... Maîtresse je veux dire, corrigea t-il en baissant la tête. Vous m'avez tant manqué ! poursuivit-il en replongeant son regard amoureux dans celui de Stéphanie.

  • Oh ! Alan... comme tu m'a manqué aussi. J'ai eu si peur, je te croyais déjà mort...

Ses yeux s'emplirent à nouveau de larmes, mais cette fois Stéphanie pleurait de bonheur. L'un comme l'autre ne dirent plus rien, mais leur regard en disait long. Ils n'avaient plus besoin de mots pour s'exprimer. Ils cherchaient aussi à se toucher, à se prendre par la main. Ce n'était pas encore possible.

La séparation fut difficile, mais moins douloureuse que la première fois. Ils savaient maintenant qu'ils allaient se revoir bientôt. Stéphanie avait envie de rester là tout le week-end pour veiller sur son étalon, d'attendre patiemment qu'il soit libéré, mais le commissaire refusa catégoriquement. Il était gentil et généreux, mais ce n'était pas non plus le genre d'homme à faire entorse aux règlements.

Alors déçue, mais malgré tout heureuse, elle rentra chez elle. Avant de partir, le commissaire Lacour lui transféra deux cartes de visite, la sienne et celle d'une association anonyme de propriétaire d'equinhaur oeuvrant pour la protection de l'espèce. Il en était un membre important, et espérait voir Stéphanie y adhérer. Elle devait réfléchir à la question, mais promit de faire un don important à cette association afin d'aider leur cause.

Stéphanie appela ensuite ses amis pour les rassurer, ceux-ci voyant qu'elle n'était pas sortie en même temps qu'eux s'inquiétaient et lui avaient laissé un message. Elle se coucha ensuite, bien fatiguée par cette journée riche en émotions.

***

Stéphanie arriva dans le sous-sol où était enfermé Alan. Cette fois-ci elle était seule. Rapidement elle retrouva la cellule de son étalon. Il l'attendait assis sur son lit.

  • Bonjour mon beau, lui dit-elle.

  • Bonjour maîtresse, répondit-il en se levant.

C'est alors qu'elle se rendit compte qu'une grosse bosse se formait sur l'avant de la combinaison d'Alan, au niveau du haut de son ventre. L'étalon bandait ferme et il était impossible de ne pas le remarquer. Là où sont gland tendait le tissus, une large auréole de mouille se dessinait.

  • T'es tout dur mon grand, lui dit-elle avec tendresse. Ça va être difficile de tenir jusque lundi. Et qu'est-ce qui te met dans cet état ?

  • Vous maîtresse ! J'ai hâte que l'on refasse plein de câlins.

  • Mmh ! quand je te vois bander comme ça, ce n'est pas de câlins dont j'ai envie.

  • Moi non plus maîtresse. J'ai les couilles trop pleines, j'ai envie de jouir.

  • Souviens toi que tu n'as pas le droit de te branler.

  • Oui maîtresse, je garderais toute ma semence rien que pour vous.

Stéphanie se mordit la lèvre inférieure pour tenter de réprimer un petit gémissement de plaisir. Déjà sa petite culotte était trempée de mouille. Elle mourrait d'envie de sentir de nouveau la belle bite de son étalon au plus profond d'elle.

  • Oh puis si ! branles toi, je veux revoir ta belle queue, j'ai envie de te voir te donner du plaisir devant moi.

  • Merci maîtresse.

Alors Alan déboutonna complètement sa combinaison du haut en bas. Son membre jaillit par l'ouverture dans le vêtement. Il était encore plus gros que dans les souvenirs de Stéphanie. Le pauvre étalon bandait tout ce qu'il savait, tant et si bien qu'il ne pu résister une seconde de plus de se masturber. Sur son membre gonflé à bloc toutes ses veines se dessinaient parfaitement, et déjà son gland avait commencé à s'engorger et à prendre du volume. Alan empoigna ses testicules et les fit passer dans l'échancrure de son vêtement. Ainsi elle était visible par sa maîtresse et bien remontée comme s'il portait un anneau de sexe.

Soudain et sans explication, le champ de force de la cellule se coupa. Stéphanie regarda autour d'elle et constata qu'il en était de même pour toutes les cellules. Elle ne savait pas trop quoi faire. Elle aurait peut-être dû remonter pour prévenir le commissaire Lacour mais elle était bien trop excitée pour laisser passer une occasion de s'amuser avec son étalon. Et puis le pauvre Alan en avait tout aussi envie qu'elle, il aurait été cruel de ne pas le soulager. Elle entra donc avec lui.

Alan avait arrêté de se masturber et il se caressait doucement la verge. Stéphanie s'approcha doucement de lui, les yeux pleins de désirs et se colla à lui. Coinçant le membre palpitant entre leur deux corps surchauffés d'excitation. Ils s'embrassèrent alors passionnément, leurs langues se lièrent et leurs salives se mêlèrent. Et pendant qu'elle lui massait fermement les couilles et le fourreau, il lui caressait les fesses et commençait à la déshabiller.

Une fois nue, il la prit par les fesses pour la soulever jusqu'à placer le vagin de Stéphanie à la hauteur de sa verge. Elle l'empoigna alors par le gland pour guider le gros membre en elle. Lentement, il la laissa redescendre un peu, tout en continuant de la tenir fermement par les fesses. Stéphanie se retrouvait comme assise sur les larges mains de son étalon, alors qu'il était en train de l'empaler lentement. C'était si bon de le sentir de nouveau en elle. Sans aucune pudeur, elle se mit à gémir de plaisir.

C'est alors qu'Alan remarqua que d'autres étalons enfermés avec lui étaient sortis de leurs cellules et les observaient en train de baiser. Certains d'entre eux bandaient déjà et s'approchaient timidement du couple. Alan n'était pas en position de les repousser, il les laissa donc approcher sans rien dire. Il ne protesta même pas quand l'un d'entre eux, un étalon bai d'environ sa taille, se mit à caresser Stéphanie.

La jeune femme fut sur le coup très surprise, mais finalement se laissa faire. Emportée par le plaisir et l'excitation, elle se sentait prête pour les pires cochonneries. Stéphanie savait qu'elle allait devoir satisfaire tous les étalons qui les observaient et ça l'excita encore plus. L'étalon bai se mit à lui caresser les seins et à lui lécher la nuque.

  • Je ne verrais pas ma maîtresse avant plusieurs jours, et j'ai moi aussi très envie de baiser, dit-il avec un air lubrique. Vous permettez que je participe ?

Alors Alan mit un coup de reins plus fort que les autres, qui arracha à Stéphanie un grand '' Oui ! '' de plaisir. Elle senti le gland du deuxième étalon se poser sur son anus alors bien exposé. Il pénétra sans aucune difficulté dans l'orifice bien enduit de cyprine.

Stéphanie se sentait remplie comme jamais, prisonnière des deux énormes queues qui la pilonnaient sans ménagement. Les rôles étaient inversés et désormais elle était devenu l'esclave sexuel de ces étalons. Elle allait se faire violer par un groupe d'equinhaur, et cette idée l'excitait comme jamais.

Le premier à éjaculer fut Alan, mais il resta bien planté en elle tandis que l'autre étalon continuer de lui limer l'anus. De part les mouvements de sa verge bien au fond de l'anus de la jeune femme, le deuxième étalon continuaient de stimuler le vagin de celle-ci par l'intermédiaire du membre d'Alan toujours bien rigide, prolongeant ainsi l'orgasme de Stéphanie.

Voyant qu'Alan avait finit, un autre étalon l'écarta de Stéphanie afin de prendre sa place. Il était moins épais et moins long qu'Alan, mais déjà largement suffisant pour remplir complètement le vagin de la jeune femme. Celui dans son cul éjacula à son tour et fut remplacé par un quatrième étalon. Stéphanie n'en pouvait plus de jouir, elle était à bout de force et avait mal partout. Ses orifices malmenés la faisait atrocement souffrir, mais en même temps elle continuait de jouir comme jamais. La quantité de sperme que les étalons laissaient en elle servait à faciliter la pénétration suivante. La semence équine lui ruisselait le long des jambes, jamais elle n'avait été si souillée.

Alors un des étalons proposa qu'on la couche, afin qu'un troisième puisse profiter d'elle en même temps que les deux autres. C'est ce qu'ils firent, et immédiatement un gland chevalin vint prendre place dans sa bouche, lui écartant la mâchoire sans scrupule. Régulièrement, l'étalon qu'elle suçait poussait son gros sexe un peu trop profond et lui provoquait un haut le cur. Puis un flot de sperme déferla au fond de sa gorge tant et si bien qu'elle fut obligée d'avaler pour ne pas s'étouffer. Elle finit littéralement gavé de semence d'equinhaur.

Les étalons s'enchaînèrent les uns après les autres, tant et si bien qu'elle perdit rapidement le compte. Certains l'avaient sans doute utilisée plusieurs fois. Ils évoluaient maintenant dans une flaque de sperme gluant et collant.

Il en restait un qui n'avait pas encore eu son tour, le grand étalon noir du combat. A bout de patience il écarta les autres. C'est alors que Stéphanie découvrit son immense membre tout aussi noir que le reste de son pelage. Il était énorme, au moins trois fois plus gros que la moyenne des autres equinhaurs.

  • Oh non ! fit Stéphanie, c'est beaucoup trop gros.

  • Oh si ! fit l'étalon. Tenez là ! ordonna t-il aux autres.

Alors quatre equinhaurs se regroupèrent autour d'elle pour la maintenir fermement au sol, couchée sur le dos et cuisses écartées. L'étalon noir approcha son immense membre. Stéphanie se débattait. Même si elle en avait une énorme envie, elle savait qu'il allait la déchirer, elle ne devait pas se laisser faire. Le gigantesque gland se posa sur la vulve poisseuse de la jeune femme... alors Stéphanie se réveilla !

  • Zut, je ne saurais pas ce que ça fait de se faire défoncer par une énorme bite de cheval, déclara-t-elle après avoir réalisé que son aventure n'avait été qu'un rêve érotique.

De ses souvenirs, c'était sans doute le rêve le plus excitant et le plus humide qu'elle n'ait jamais fait. Les draps étaient mouillés sur un large cercle autour de sa vulve. Le problème d'un rêve, aussi excitant soit-il, c'est qu'il ne soulage pas du désir, au contraire.

Stéphanie se leva pour aller boire un verre d'eau. Elle se recoucha et tenta de se rendormir, en vain. Elle se repassait sans cesse ce rêve qu'elle ne parvenait à sortir de son esprit et ça ne la calmait pas, au contraire.

Après quinze minutes passées à se retourner dans son lit, elle décréta qu'il était temps d'essayer ses nouveaux jouets.

Stéphanie avait reçut le colis la veille mais n'avait pas encore ouvert la boite. Toutes excitée, elle découvrait les uns après les autres les gros godes qu'elle s'était acheté. Décidément dans une période très anal, comme ça lui arrivait parfois, elle ne résista pas à l'envie de s'enfiler immédiatement le plug anal moyen qui accompagnait ses autres jouets. Bien enduit de cyprine, elle l'introduit facilement dans son rectum malgré la taille déjà respectable de l'objet. Les quatre centimètres de diamètre du jouet ne suffisaient pas pour qu'elle se considère comme préparée à l'épaisseur d'Alan, mais c'était déjà bien parti.

Pour son vagin, elle choisit un gode plus gros que la verge de son étalon, et en préparation de la suite, elle en pris un deuxième à peine plus modeste pour son anus.

Stéphanie se recoucha et après avoir éteint la lumière, se plaça sur le dos jambes écartées et cuisses ramenées contre son ventre. Elle s'introduit alors doucement l'énorme gode dans le vagin. Les sensations étaient en rendez-vous car elle se mit à gémir de plaisir.

  • Oh mon Alan comme tu me manques, vivement que tu reviennes.

Une fois le gros jouet bien au fond, elle se mit à lui imprimer en lent mouvement de vas et viens. La taille de l'objet aidant, Stéphanie s'imaginait maintenant dans les bras de son étalon et elle se laissa emporter par l'excitation en accélérant la cadence.

Dans un dernier sursaut de lucidité, avant que le plaisir n'emporte le reste de sa volonté, elle se rappela ses projets.

Stéphanie retira le plug qu'elle portait toujours dans l'anus et, se saisissant de son autre gode se sodomisa avec. Elle eut quand même quelque difficulté car elle avait surestimé ses capacités. Et puis l'excitation avait un peu altéré son jugement. Mais l'abondance de mouille qui suintait entre ses fesses facilita un peu la dilatation de son orifice et Stéphanie se retrouva bientôt profondément empalée sur son jouet. Un gode dans chaque trou, elle se sentait prise comme jamais. Stéphanie retrouvait les sensations imaginées dans son rêve, en mieux et se pris à espérer le vivre un jour avec deux vrais equinhaurs. Le cul largement dilaté, elle repris sa masturbation vaginale et s'envola pour un puissant orgasme. Ensuite, elle se laissa lentement envahir par le sommeille sans prendre la peine de libérer ses orifices, retrouvant ainsi un peu la sensation de s'endormir avec Alan.

_A suivre...

Si vous en avez l'envie, faites moi part de vos idées, que cela concerne les grandes lignes d'une suite ou simplement ce que pourraient faire Stéphanie et Alan, quelques phrases peuvent suffire pour me faire part de vos suggestions. Peut-être que votre idée sera retenue et me servira à élaborer la suite de cette histoire. Merci d'avance à tous ceux qui participeront.

The english speaking peoples who read this story and who want to leave a comment or a suggestion can do it in English. thank ^^_