Invasion : alternative part 3

Story by Grand_Alezan on SoFurry

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#3 of Invasion : alternative


Sans plus attendre, Stéphanie pris son jeune esclave par la main et le tira dehors. Tout aussi discrètement qu'elle était venu, mais beaucoup plus prestement, ils regagnèrent son véhicule. Il n'avait même pas eu le temps de dire au revoir à sa famille et encore moins de remettre ses vêtements tant Stéphanie était pressée de quitter au plus vite ce lieu lugubre. Elle avait ce qu'elle voulait, il n'y avait donc plus aucune raison qu'elle ne revienne ici. Derrière eux, elle entendis le bruit des pas de la mère Lyma et de ses enfants qui fuyaient eux aussi la décharge afin d'échapper au raquette qu'ils ne manqueraient pas de subir si jamais ils restaient là.

Une fois arrivé à sa voiture, Stéphanie le fit monter dans le coffre. Désormais elle craignait plus que tout qu'on la voit en compagnie d'un equinhaur. Elle ne serait rassurée qu'une fois celui-ci enfermé dans son appartement.

  • Désolée, lui dit-elle, même si j'aimerais me passer de telle précaution, je n'ai pas le choix. On ne doit pas me voir avec toi.

  • Ce n'est pas grave, je comprends.

Sans perdre plus de temps, elle démarra puis quitta la zone. En route elle vérifiait sans cesse que personne ne la suive. Et une fois arrivée en ville, elle craignait plus que tout de se faire arrêter pour un banal contrôle et que l'on découvre dans son coffre le jeune étalon, nu qui plus est.

Enfermé dans le coffre, le jeune equinhaur eut tout le temps de se rendre compte de ce qui lui arrivait. Sur le coup il n'avait pas trop réalisé, mais maintenant il savait. Cette jeune femme l'avait visiblement pris pour faire de lui un esclave sexuel. Il avait déjà entendu parlé de cette pratique et bien que marginal, c'était de plus en plus courant. A ce qu'il avait compris, certains humains admiraient les étalons pour la taille de leur sexe et c'est pour cette raison qu'ils aimaient en faire de esclave dévoué à leur satisfaction sexuelle. Ça ne le gênait pas trop, il trouvait les humains, et surtout les femmes, plutôt attirante et si c'était bien ce qu'il avait compris, il n'aurait aucune difficulté a faire ce qu'on lui demanderais. Cependant il avait quand même quelques craintes, car il avait aussi entendu dire que certains humains aimaient torturer et mutiler des étalons pour le plaisir.

Heureusement ça ne semblait pas être le cas de Stéphanie, en tout cas il espérait ne pas se tromper à son sujet.

Arrivés dans le parking de son immeuble, tout danger semblait écarté. Stéphanie étant la seule résidente de l'immeuble, il n'y avait aucune raison pour qu'elle rencontre quelqu'un. Certes il n'était pas trop tard, la soirée commençant a peine, mais normalement un samedi soir tous les bureaux étaient déserts.

Ils s'engouffrèrent dans l'ascenseur pour finalement arriver sans encombre à l'étage de l'appartement de Stéphanie. Ils entrèrent et elle verrouilla immédiatement la porte. Elle pouvait enfin se détendre.

Stéphanie se servit alors un double whisky qu'elle descendit d'un trait avant de s'affaler dans son fauteuil préféré.

  • Et bien ! Que d'émotions ! On peut dire que je me souviendrais de cette soirée !

Le jeune étalon était resté sagement débout au milieu du salon, tête baissée, les mains croisées devant son entrejambe.

  • Arrêtes de cacher ton sexe veux-tu... Je t'ai pris pour ta jolie paire de couille, alors laisse moi au moins les admirer comme je veux, lui dit-elle gentiment.

  • Bien maîtresse.

Alors l'étalon retira ses mains pour les mettre dans son dos.

  • C'est beaucoup mieux comme ça ! Au fait, c'est quoi ton petit nom ?

  • Mon prénom c'est Alan, madame.

  • Tu es très mignon Alan tu sais !

  • Merci.

  • Oh mais j'y pense, tu dois être mort de faim ! Il faut que tu reprennes des forces. Et je vais manger aussi, les émotions ça creuse ! Pour ce soir c'est moi qui m'occupe de toi, mais à l'avenir ça sera l'inverse, c'est le but d'avoir un esclave non ?, alors profites en bien.

  • Merci maîtresse.

  • Tes ''maîtresse'' à la fin de toutes tes phrases ça m'excite, c'est bien, continue comme ça, tu me plait. Au fait, tu sais ce que c'est qu'un esclave sexuel ?

  • Je crois, oui, maîtresse.

  • En fait je t'ai pris parce que tu es mignon, que tu as un beau cul, une grosse bite, des couilles bien pleine et que t'es cochon. J'attends donc de toi que tu me fasses l'amour comme un dieu quand j'en aurais envie, à tout heure du jour ou de la nuit.

  • Bien maîtresse.

Stéphanie n'en revenait pas de son langage. Habituellement jamais elle ne tenait de propos si vulgaire, en plus et malgré qu'elle adore cela, elle évitait de parler de sexe, préférant l'action à la parole. Mais il fallait croire que la présence du jeune étalon l'excitait beaucoup. Elle réalisait un vieux fantasme qui lui trottait dans la tête depuis longtemps. Et même si au début de ses recherches Stéphanie s'était donné pour excuse de prendre un esclave afin qu'il entretienne son appartement, en réalité elle savait très bien qu'elle voulait en fait un jouet sexuel. Alan semblait parfait pour ça, et ce qui ne gâchait rien, était visiblement partant pour cette aventure perverse.

Elle leur prépara un copieux repas, enfin surtout pour lui, puis ils mangèrent tranquillement. Alan avait été bien élevé et faisait tout son possible pour ne pas se jeter sur la nourriture et se tenir correctement. Bien que c'était la première fois de sa vie qu'il mangeait à table, il se débrouillait plutôt bien. Ils en profitèrent aussi pour faire un peu plus connaissance. Stéphanie lui raconta sa vie, ses études, son métiers, ses multiples voyages sur de nombreux mondes, plus tout un tas de chose que normalement les equinhaurs ne devraient pas savoir. D'ailleurs très peu d'entre eux en savaient maintenant autant que Alan sur les humains et leur conquête de l'univers.

Viens ensuite le moment du bain. Alan était très sale et même sa bonne et forte odeur de cheval ne parvenait pas à couvrir complètement celle de la crasse. Et là Stéphanie eut du travail. Pendant qu'elle faisait couler le bain Stéphanie commença par une bonne douche de prélavage de l'equinhaur. Ce fut pour elle l'occasion de se mettre nue à son tour, puisque qu'elle devait rentrer dans la cabine de douche avec Alan.

  • Je te plais ? lui demanda-t-elle une fois entièrement nue devant lui.

  • Oui maîtresse, vous êtes très belle.

  • Vraiment ? tu ne dis pas ça pour me faire plaisir j'espère. Peut-être que tu préfères les juments, ça serait tout à fait compréhensible, alors répond moi franchement.

  • C'est vrai maîtresse, vous me plaisez beaucoup.

Ils rentrèrent sous la douche afin qu'elle le mouille et le savonne généreusement. Elle ne manqua pas de bien insister sur ses testicules, son fourreau et sous sa queue. L'eau de rinçage de ce premier lavage fut aussi brune que la robe du jeune étalon alors Stéphanie décida de faire un deuxième lavage sous la douche avant de passer au bain. Cette fois ci nettement moins de crasses s'écoulèrent du pelage d'Alan. Ils pouvaient passer à la deuxième étape.

Elle coupa l'eau et lui mit une petite tape sur les fesses.

  • Hop ! Au bain l'étalon ! déclara-t-elle.

Alan eut un peu de mal à rentrer dans l'eau, Il n'avait pas l'habitude de se laver à l'eau chaude. Heureusement la douche l'avait déjà un peu préparé et habitué à la température de l'eau.

  • C'est chaud ! dit-il.

  • Mais non, il suffit de rentrer doucement. Tu vas voir ensuite comme c'est bon.

Petit à petit il rentra dans l'eau et après un ultime effort il se retrouva assis dans l'immense baignoire. Stéphanie vint le rejoindre immédiatement après, armé d'un flacon de shampoing et d'une brosse à cheveux.

  • Alors, c'est bon ?

  • Oui c'est plutôt agréable, j'aurais presque envie de m'endormir ici.

  • Dodo c'est pour plus tard, avant je dois encore essayer de démêler ta crinière.

Stéphanie se mit immédiatement à l'ouvrage. Shampooingnant à nouveau généreusement la crinière de son equinhaur avant de commencer à la démêler grossièrement avec les doigts.

  • Je suis le plus chanceux des étalons, dit-il après un petit moment de silence.

  • Pourquoi ? demanda Stéphanie amusée par cette remarque.

  • Ce matin je me suis réveillé à moitié mort de froid, le ventre vide depuis des jours, sans but et sans perspective d'avenir ; et ce soir je suis bien au chaud après avoir fait un bon repas alors qu'une jolie femme s'occupe de moi.

  • Oh mais tu sais, ce n'est pas gratuit. Ensuite ça sera à toi de t'occuper de moi.

  • Je sais maîtresse, et je le ferrais avec plaisir car je vous suis reconnaissant et que je sais maintenant que vous satisfaire est le but de mon existence.

  • Tu es mignon Alan, dit-elle tendrement, je sens que l'on va bien s'entendre tous les deux.

  • A part vous maîtresse, personne ne l'espère plus que moi.

Stéphanie mit presque trente minutes à démêler entièrement la crinière du jeune equinhaur. Après un dernier rinçage à grande eau, venait le temps du séchage. Elle plaça Alan débout au milieu de la salle pièce sur un grand drap de bain tandis que, toujours armée de sa brosse et d'un sèche cheveux, elle sécha soigneusement son étalon. Pour sa queue elle la démêla grossièrement car Stéphanie n'avait plus la patience d'y passer encore autant de temps que pour sa crinière. Il était tard et elle avait maintenant plutôt envie d'aller se coucher.

  • Voilà ! Tu ne sens malheureusement plus bon le cheval mais tu es tout propre et encore plus beau qu'avant. Jamais je n'aurais imaginé que tu sois si mignon.

Alan gêné baissa la tête. Elle le plaça devant un grand miroir afin qu'il puisse constater par lui-même les changements apportés par cette séance de nettoyage. Il avait toujours sa belle robe café au lait si caractéristique, mais il avait maintenant un pelage brillant et fin extrêmement doux au touché. Ses longs crins blonds bien peignés lui donnaient un look beau gosse parfaitement harmonisé avec ses grand yeux bleus. Stéphanie se mit derrière lui pour le regarder dans le miroir et se mit à lui caresser tendrement les fesses.

  • C'est comme ça que je veux que tu sois tout le temps. Parfaitement soigné en toute circonstances et aussi toujours nu afin que je puisse te regarder et te toucher sans contrainte à chaque fois que j'en ai envie. D'accord ?

  • Oui maîtresse.

  • Bien, alors maintenant au lit !

Elle le mena alors jusque dans sa chambre. Stéphanie se retrouvait alors confrontée à un petit problème. Elle mourrait d'envie de prendre Alan dans son lit avec elle, mais dans son esprit ce n'était pas la place d'un esclave. Il ne devait coucher avec elle que lors de circonstances particulières de son choix, et non pas de manière régulière et habituelle.

  • A ton avis Alan, où dois dormir un esclave pour servir pleinement sa maîtresse ?

  • Je dirais au pied de son lit, afin d'être à sa pleine disposition sans qu'il oublie qu'il n'est qu'un esclave.

  • Je vois que nous sommes du même avis. Tu connais donc maintenant ta place.

Alan acquiesça d'un signe de la tête. Pour lui ça ne changea de toute façon rien, il avait l'habitude de dormir par terre. Pour lui ici c'était le grand luxe, la pièce étant chauffée, le sol était plat et régulier et le lit posé sur une grande descente de lit apparemment épaisse et moelleuse.

Stéphanie se glissa dans son lit, retrouvant avec bonheur sa chaude couette. Sans qu'elle ne lui demande rien, Alan la borda avant de poser un tendre baisé sur sa joue. Il commanda l'extinction de la lumière puis comme convenu se coucha au pied du lit de sa maîtresse. Stéphanie avait beaucoup apprécié sont comportement tendre et attentionné '' Là tu marques des points mon bel étalon '' pensa-t-elle. Puis elle essaya de s'endormir, mais malgré l'heure tardive et la fatigue de ses péripéties de la journée elle ne parvenait pas à trouver le sommeil. Elle était beaucoup trop excitée pour dormir. Stéphanie avait à sa disposition l'amant de ses rêves et elle, bêtement, le faisait dormir sur le tapis. Il y'avait là un non sens manifeste qui la tourmentait. Finalement, à force de se retourner dans son lit, après avoir attendu quand même près d'une heure, elle changea de stratégie.

  • Alan... appela-t-elle a voix basse.

Pas de réponse.

  • Alan ! insista-t-elle à peine plus fort.

  • Oui ? répondit l'equinhaur d'une voix endormie.

  • Viens avec moi s'il te plait.

Alors, sans qu'elle n'ait besoin de lui répéter, il se glissa doucement sous la couette. Stéphanie se colla dos contre lui. Il la prit dans ses bras et timidement la caressa un peu. Cette fois ci le sommeille la gagna rapidement, Alan ne fit pas long feu non plus.

Habituée à se lever tôt, Stéphanie fut la première réveillée. De vérifier qu'Alan était toujours à côté d'elle était la première chose qu'elle fit. Non, elle n'avait pas rêvée les événements de la veille, le bel equinhaur était toujours là. Avec beaucoup de précaution, elle se colla a nouveau contre lui et enfoui son visage dans le soyeux pelage de la poitrine de son amant. Alan était maigre, il n'avait pas la volumineuse musculature qui la faisait craquer pour les equinhaurs. On voyait même ses côtes et il avait les hanches saillantes. Mais pour le moment Stéphanie s'en moquait. Après quelques mois de soins, de nourriture équilibrée et d'exercices le jeune étalon deviendrait comme ceux de ses fantasmes.

Doucement, sous les tendres caresses de sa maîtresse, Alan finit par s'éveiller. Stéphanie ne dit rien mais lui sourit, il lui rendit son sourire et bien que le visage d'un equinhaur soit un peu moins expressif que celui d'un humain, on ne pouvait douter qu'il soit heureux.

Elle lui fit alors un gros baisé sur le bout du nez, entre les naseaux. Baisé qu'il lui rendit tendrement sur la joue du bout de ses douces et grosses lèvres.

Stéphanie n'avait pas arrêté ses caresses. Le jeune étalon se laissait faire, visiblement sous le charme. Petit à petit ses caresses se rapprochèrent de son entrejambe. D'abord le ventre, puis l'intérieur des cuisses, elle voulait vérifier quelque chose. Elle savait bien sûr qu'au réveil les hommes ont une vigoureuse érection, elle avait aussi constaté ce comportement chez chevaux, les vrais chevaux, maintenant elle voulait voir s'il en était de même chez les equinhaurs.

Alors, sans plus attendre elle lui empoigna fermement les couilles. Décidément il en avait vraiment une belle grosse paire et Stéphanie s'en étonna une fois de plus. Elle ne pu résister à l'envie de les pétrir un peu avant de continuer son investigation.

Remontant vers le fourreau, elle fit là le désagréable constat qu'il semblait moins gros que dans ses souvenirs. Mais elle constata que c'est tout simplement parce qui se trouvait habituellement à l'intérieur s'était complètement déployé. En effet, en remontant sa main, elle eut la bonne surprise de pouvoir empoigné la base d'une verge bien tendue et rigide à souhait.

Alan était vraiment bien monté. D'une main, Stéphanie ne pouvait pas faire le tour de la base de sa bite. Elle pouvait sentir a cet endroit de nombreuses grosse veines qui donnaient au membre équin un touché moelleux et agréable malgré sa rigidité incontestable.

Stéphanie était de plus en plus excitée, elle mouillait maintenant abondamment et ça se sentait dans l'air. Cela faisait longtemps, trop longtemps, qu'elle n'avait pas fait l'amour, qu'aucun mâle ne l'avait honoré et elle en avait furieusement envie.

Poursuivant son exploration, elle trouva l'épais anneau prépucial de son amant. Elle s'y attarda un peu avant de continuer de remonter le long de la hampe chevaline. Malgré la longueur qui défilait lentement sous ses doigts, Alan était toujours aussi épais. Décidément, cette belle queue promettait de puissants orgasmes. Stéphanie était plutôt vaginale et pendant l'amour ce qu'elle cherchait avant tout c'est de se sentir bien remplie. Manifestement avec Alan elle aurait largement ce qu'elle cherchait.

Il restait à espérer qu'il sache se servir de sa bite. Mais de toutes façons un bon dressage pouvait arranger ce problème en cas de nécessité.

Finalement, après avoir parcouru les trente deux centimètre de la verge de son esclave, Stéphanie arriva sur son épais et court gland en forme de chapeau de champignon. Exactement comme celui des vrais chevaux s'il ses souvenirs étaient exactes, et ce n'est pas le genre de choses qu'elle oubliait facilement. Encore plus épais que le reste du membre, quelques difficultés seraient à envisager pour le faire rentrer, mais une fois ce problème réglé il promettait un plaisir hors du commun. Il était déjà tout poisseux de mouille alors Stéphanie se servit de ces sécrétions pour bien lubrifier le gros manche de l'étalon.

Alan était excité comme jamais et il mourrait d'envie de prendre sa maîtresse, de lui donner ce qu'elle semblait vouloir avec impatience. Mais timide et inexpérimenté, a plus forte raison avec une femme, il n'osait pas trop prendre d'initiatives. Il se risqua cependant à lui caresser doucement les cuisses et les fesses et de la lécher tendrement dans le cou.

Stéphanie le branlait de plus en plus vigoureusement, mais voyant que l'étalon tardait à lui donner sa queue elle se résout finalement à lui forcer un peu la main.

  • Prends moi mon beau ! J'ai envie de ta queue. Met moi là... appela-t-elle lascivement.

Alors il la fit s'allonger sur le dos et se plaça à quatre pattes au dessus d'elle. D'un doigt timide, il lui caressa doucement la vulve afin de trouver l'entrée de son vagin. Stéphanie s'abandonna aux caresses de son esclave alors que sa respiration s'accélérait. Il lui introduit un doigt afin de commencer à la masturber doucement. La jeune femme était excitée comme jamais et mouillait abondamment. Un deuxième doigt vint rejoindre le premier et déjà Stéphanie se senti bien remplie, un premier orgasme approchait lentement. Elle se détendait en vue d'accueillir l'énorme verge toujours bien tendue sous le ventre d'Alan.

L'equinhaur retira ses doigts et posa alors son gland à l'entrée du vagin de Stéphanie.

  • Fait doucement, implora-t-elle dans un dernier sursaut de lucidité.

Elle se concentra afin de détendre son vagin au maximum. La pression du gland contre sa vulve augmentait rapidement, soudain il pénétra en elle de plusieurs centimètres d'un coup.

Stéphanie pris une grande inspiration et bascula la tête en arrière tout en échappant un petit cri de douleur, de plaisir et de surprise mélangés.

Alan se figea.

  • Ça va maîtresse ? s'inquiéta-t-il.

  • Mmh ! oui ! Continue mon grand.

Il fit alors ce qu'on lui demandait et continua de pousser pour essayer de rentrer plus profondément. Pour lui aussi les sensations étaient très agréables et excitante. Stéphanie était chaude, humide et très serrée, ça lui donnait envie de se déchaîner et de lui mettre de grand coups de bite afin de montrer à cette jument en chaleur ce dont il était capable.

Mais il maîtrisa ses instincts et la douceur de ses coups de reins lui apportait finalement autant de plaisir. Stéphanie s'adapta rapidement à la taille de l'étalon, et bientôt elle eut en elle vingt bons centimètres de cette épaisse verge équine. Elle empoigna ferment les dix autres centimètre encore dehors et qu'elle ne pourrait de toute façons pas accepter en elle, et s'en servi comme d'un poigné pour imposer le rythme à son étalon.

Alan suivait celui-ci sans difficulté, il allait de plus en plus vite et de plus en plus fort pour arriver finalement à donner de violent coups de reins. Chacun d'entre eux arrachait à Stéphanie un grand cri de plaisir et de jouissance. Elle enchaînait orgasme sur orgasme, n'en pouvait plus de crier son bonheur et agrippait et griffait tout se qui se trouvait à portée de ses mains, y compris les épaules d'Alan.

Le jeune equinhaur, lui, tenait bon, bien qu'il commençait à s'essouffler et qu'il sente son orgasme approcher. Déjà ses testicules s'étaient contractés dans son scrotum, signe s'il en fallait que le déluge de semence fût imminent.

Alan se mit soudain à grogner et à hennir exactement comme un cheval, cela surpris et excita encore plus Stéphanie. Et puis, dans un profond soupir, il donna un dernier coup de bite avant de se figer profondément planté dans la jeune femme.

Stéphanie senti alors le flot de sperme chaud la remplir et déborder de ses lèvres vaginales de chaque côté de la hampe chevaline.

Sans se retirer, Alan utilisa ses dernières force pour porter Stéphanie et la retourner avec lui afin de l'allonger sur son ventre et sa poitrine. Elle s'affala sur son esclave à bout de souffle.

  • Ça va maîtresse ? lui demanda-t-il.

  • Oh oui ! dit-elle avant de lui donner de nouveau un gros baisé sur le bout du nez.

Puis elle posa tendrement sa joue sur l'épaule de son amant où elle finit par s'endormir, toujours profondément empalée sur sa verge désormais molle.

Alan s'endormit aussi, plus heureux que jamais.

***

Epuisés par leur étreinte matinale, Stéphanie et Alan se réveillèrent bien plus tard. La jeune femme eux l'agréable surprise de constater que son étalon était toujours en elle, mou mais toujours là. Elle aimait cette situation, de savoir qu'ils s'étaient endormis alors qu'ils étaient liés lui fit très plaisir. Et puis Alan avait franchement assuré. Après des mois d'abstinence, de renouer avec le plaisir sexuel de cette manière, avec un amant aussi excellent que le jeune equinhaur, était un pur bonheur. Stéphanie se sentait en pleine forme, prête à passer la journée à faire plein de cochonneries avec son nouveau ''jouet''... jouet dont elle se sentait très amoureuse d'ailleurs.

  • Désolé, mais j'ai très envie de faire pipi, déclara Alan.

  • Je ne sais pas si je vais te laisser y aller. Je suis curieuse de savoir combien de temps tu peux te retenir avant de te faire dessus.

  • Comme vous voulez maîtresse.

  • Je plaisantais, mais c'est une idée à retenir pour plus tard.

Alors elle se retira de son partenaire et s'allongea à côté de lui. Alan se leva et pris la direction des toilettes. Soudain une idée lubrique germa dans l'esprit de Stéphanie, elle avait envie de taquiner son étalon. Elle le rejoint aux toilettes alors qu'il était en train de soulager sa vessie.

  • Nouvelle règle en ce qui te concerne. Dit-elle en ouvrant brusquement la porte. Désormais tu n'as plus le droit de fermer la porte lorsque tu fais tes besoins, je dois pouvoir te regarder faire.

  • Bien maîtresse, répondit l'étalon.

  • C'est parce que je veux être sûr que tu n'en profites pas pour te masturber, dit-elle comme si elle avait besoin de se justifier. Car à partir d'aujourd'hui tu n'as plus le droit au plaisir solitaire. Que je te surprenne à te branler et je te coupe les couilles. Compris ?

  • Oui maîtresse.

Alan était un peu gêné car la jeune femme s'était placée à côté de lui et le regardait pisser avec un air amusé. Mais il avait tellement envie qu'il ne pouvait plus se retenir pour attendre qu'elle finisse de donner ses instructions. Les yeux pleins de gourmandise, Stéphanie regardait couler le puissant jet de pisse de son esclave. Son sexe, bien que mou, était complètement sorti de son fourreau. Le pénis d'Alan était majoritairement rose, hormis la base jusqu'à l'anneau prépucial, et deux grosse taches noires sur le reste de la verge. Son gland était rose aussi.

Le jet finit par se tarir. Alan s'égoutta, laissa pendre son sexe au dessus de la cuvette quelques instant puis son pénis se rétracta dans son fourreau.

  • A mon tour, déclara Stéphanie en s'asseyant.

  • Il fallait le dire, je vous aurais laissé la place.

  • Et je n'aurais pas pu te regarder pisser, ça aurait été dommage.

Comme le bruit du jet de pisse de Stéphanie se mit a résonner sur la porcelaine, Alan gêné baissa la tête et tourna les sabots pour la laisser seule.

  • Où vas-tu ? je ne t'ai pas autorisé à partir.

  • Désolé maîtresse, je pensais que vous vouliez être seule.

  • Non, j'ai encore besoin de toi.

L'urolagnie avait toujours intrigué Stéphanie. Et s'il était délicat d'en parler à un homme de peur d'être mal jugé, il en était tout autrement avec un esclave sexuel. Elle pouvait expérimenter avec lui les plus tabous de ses fantasmes sans crainte. Stéphanie comptait bien tester Alan sur ce sujet. Visiblement il était un peu gêné, mais était-ce un réel dégoût ou simplement de la timidité ?

  • J'ai finit. Tu peux me nettoyer s'il te plait ? lui demanda-t-elle gentiment.

  • Euh... oui maîtresse, mais comment dois-je faire ?

  • Je ne sais pas, utilises ta langue par exemple...

Pour lui faciliter ta tâche, Stéphanie se recula complètement sur le siège des toilettes et écarta généreusement les jambes. Elle ne nota aucun moment d'hésitation avant qu'Alan ne s'agenouille devant elle et lui donne un grand coup de langue sur la vulve. '' C'est très bien mon grand, continues comme ça, tu es vraiment un esclave génial '' pensa-t-elle. Et comme s'il avait entendu ses pensés, Alan lui donna d'autres coups de langue. L'organe de l'equinhaur s'avérait être extrêmement doux et agile, parfait pour un bon cunnilingus dans les règles de l'art, se dit Stéphanie.

Au dessus de la cuvette odorante, Alan retrouva sur la langue le goût puissant de la cyprine de sa maîtresse, un peu de son urine, mais surtout beaucoup de son sperme. Cette situation l'excitait beaucoup et il se remit à bander bien dur. Il s'appliquer à bien lécher sa maîtresse, et même à insinuer sa grosse langue entre ses lèvres vaginales, à l'entrée de son vagin. A la respiration rapide et saccadée de Stéphanie, il savait qu'il lui faisait beaucoup de bien.

Quand sa mère avait décidé de le vendre comme esclave, Alan n'avait pas été trop enchanté par l'idée. Et même s'il savait que c'était pour lui le meilleur moyen d'aider sa mère et sa petite sur, il aurait cependant préféré qu'elle évite de recourir à cette solution. Et même si l'esclavage était pour de nombreux equinhaurs quasiment le seul moyen de ne pas finir mort de faim, ça impliquait souvent un travail très pénible et de mauvais traitements.

Mais à cette époque quand il pensait '' mauvais traitement '' il était loin de penser à ce que lui faisait subir Stéphanie, et surtout de penser qu'un mauvais traitement puisse être agréable et excitant. C'est certain, il aimait beaucoup la jeune femme et ne regrettait absolument pas de l'avoir suivie.

Stéphanie sentait le plaisir et l'excitation monter. Si Alan continuait ainsi, elle aurait bientôt de nouveau besoin de faire l'amour avec lui. Mais pour le moment elle avait surtout faim. Ils auraient ensuite toute la journée pour continuer. D'une main sur son nez, elle le repoussa gentiment. Alan s'arrêta, et toujours agenouillé devant elle, plongea son regard amoureux dans les yeux de sa maîtresse.

  • Dis moi Alan, je te trouve particulièrement soumis et obéissant. C'est très bien, mais est-ce parce que c'est simplement typique des equinhaurs ou c'est une caractéristique qu'y t'es propres et j'ai eu la chance de faire le bon choix ?

  • Je ne sais pas maîtresse, il y'a peut-être un peu des deux, dit-il en baissant le regard.

  • Oh mais tu bandes ! Quel gros cochon que tu es, je t'adore. Debout, donnes moi ta bite.

Alan se releva donc pour se placer débout devant sa maîtresse et attendis les mains dans le dos. Ainsi positionné, Stéphanie voyait le gros gland chevalin tressauter juste au dessus de son visage au rythme des battements du cur d'Alan. Elle l'agrippa à la base pour le tirer un peu vers le bas et sans autre forme de procès le prit complètement en bouche. Pour elle, hors de question d'en prendre plus. Alan était bien trop épais et trop long pour qu'elle puisse lui faire une fellation complète comme elle en avait l'habitude avec ses amants humains.

'' Voilà une bonne introduction pour un petit déjeuné, une bonne ration de sperme de cheval ça doit être excellent '' se dit-elle en suçant goulûment la bite de l'étalon.

Elle recevait de copieuse rasade de mouille salée et goûteuse dont elle se délectait, mais son étalon semblait particulièrement endurant.

  • Branles toi, lui dit-elle au cours d'une pause, je veux goûter ton jus.

C'est alors se que fit Alan. Et pendant que l'equinhaur se masturbait énergiquement, elle se remit à le sucer tout en lui caressant les couilles et le périnée. Le résultat ne se fit pas longtemps attendre et bientôt le gland d'Alan se mit à gonfler avant qu'un puissant jet de sperme n'inonde la bouche de Stéphanie. La jeune femme ne pu pas tout avaler d'un coup, et un grande quantité de semence lui échappa, se rependant sur sa poitrine.

Après plusieurs copieux jet, le gland de l'equinhaur dégonfla et Stéphanie pu le recracher, non sans auparavant avoir pris la précaution de bien le sucer jusqu'à la dernière goutte de sperme.

Conscient du désordre qu'il avait semé sur le corps de sa maîtresse, il s'agenouilla de nouveau devant elle afin de lui lécher la poitrine avec application. De par la fermeté de ses tétons, l'état d'excitation de la jeune femme était indiscutable. Alors, même si la peau de Stéphanie avait été débarrassée de la dernière particule de sperme depuis longtemps, Alan continuait de lui lécher les seins, et même de lui mordiller tendrement les tétons.

Pour l'encourager à continuer, elle lui grattait doucement derrière les oreilles.

  • Et si nous retournions nous coucher afin de voir si tu es en état de gagner ton petit déjeuner ? proposa-t-elle.

A suivre