Chapter 1 - Maggie et Bam (Story in french)

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#1 of Maggie and Bam

This story is in french because i'd like to know if there's a French audience for this multiverse of incredible stories. For the 99% who speak English, use a translator. :)

(This text isn't recommanded for a peoples who are under 18 years.)

Laissez un commentaire constructif. :)

Je téléchargerai l'histoire en anglais un de ces jours...

Enjoy.


Maggie avait passé la tête entre les barreaux de la cage. Derrière elle, allongé et en train de dormir, se trouvait Bam, un loup mâle. La louve regardait avec mélancolie le monde que les humains lui avait arraché, elle ne savait pas pourquoi ils l'avaient enfermée. Ce qu'elle ressentait n'était pas de la peur, mais une sensation d'injustice ; pourquoi les autres loups avaient-ils le droit d'être libre et pas elle ?

Mais alors qu'elle voulut s'asseoir, son entre-jambe lui donna un violant frisson qui lui hérissa le poil. Elle savait pertinemment pourquoi elle avait ressentit ça, mais elle décida de serrer les crocs et de laisser passer le tressaillement. Lorsqu'elle se retourna, sa queue se leva légèrement et brassa l'air autour de sa féminité, ce qui dispersa son musque jusqu'à sa truffe. Elle eu alors un nouveau frisson.

De son côté, Bam commençait à se réveiller, les phéromones produis par le derrière de Maggie l'avait sortit de ses rêves. Sa libido monta soudainement et sa pointe rougeoyante sortit légèrement de son fourreau, laissant du pré-sperme s'égoutter. Par curiosité, il se leva et se dirigea vers Maggie.

Une fois à elle, il lui fit une mimique de salutation avec ses oreilles, lui lécha les babines et s'assit devant elle. Maggie et Bam étaient des amis de longue date. Bam provenait d'Europe et Maggie du Canada.

-- Quand est-ce qu'on sera libre ? demanda Bam.

Maggie tourna la tête vers le paysage.

-- Je ne sais pas, mais j'ai autant envie que toi de partir d'ici et rejoindre les autres.

Suite à cela, Maggie souffla sa peine et se dirigea vers un coin de la cage et s'y installa confortablement en passant son museau à travers les barreaux. Bam tourna la tête vers la croupe de Maggie et pu, pendant une seconde, percevoir l'arôme aphrodisiaque à sa source. Une fois que la louve s'est calmement posée, Bam s'approcha d'elle.

-- Tu es en chaleurs.

-- Je sais, Bam, pas la peine de me le rappeler.

-- Ça n'a pas l'air de te déranger plus que ça.

Maggie roula des yeux.

-- Bien sûre que si, ça me brûle même, mais je ne veux pas me soulager. Je ne veux pas toucher à la zone que j'ai entre les pattes arrières, je m'en sens indigne.

Bam savait que Maggie était prudente d'un point de vue purement sexuel, mais il ne pensait pas qu'elle avait une si grande honte à se toucher les parties intimes.

-- Et quand tu fais ta toilette ? Tu es obligé de passer un coup de langue là où je pense.

-- Non, je ne passe jamais la langue à cet endroit.

-- Tu ne te laves jamais le derrière ? Même pas le... tu sais, sous la queue.

Bien que Bam soit en âge de se reproduire, il était souvent gêné de parler de la partie postérieur des loups à voix haute, et surtout devant une louve, qui de plus est son amie. Maggie en rigola.

-- Tu es toujours autant embarrassé par ça, dit-elle.

-- Non, c'est juste que, je n'aime pas utiliser ce vocabulaire, c'est tout.

-- Trou de queue ! hurla-t-elle pour le charrier.

Bam se sentit éperdument révulsé par la manière et l'audace qu'avait eu son amie pour dire une telle chose sans paraître un seul instant mal à l'aise.

-- Pas si fort, baissa-t-il les oreilles de honte.

Maggie rigola une nouvelle fois et posa sa tête sur le sol. En levant les yeux vers le mâle, elle pu voir la pointe rouge sortir timidement de sa gaine. Pendant un bref instant, sa libido lui fit imaginer ce que cela ferai d'avoir Bam sur le dos, à donner de puissants coups de reins dans son sanctuaire. Elle se lécha les babines et détourna le regard pour essayer de calmer son imagination et son attirance.

Les émanations de phéromones arrivèrent une nouvelles fois au narines de Bam et lui firent augmenter sa libido. Car, même s'il était embarrassé des termes, cela ne l'empêchait pas d'appétit sexuel.

-- Maggie, dit-il timidement, est-ce que je peux te donner un coup de langue entre les jambes ?

-- D'accord, mais à deux conditions ; de un, ce sera un seul coup de langue, de deux, seulement si tu passes autour de ma vulve. C'est bien parce que tu es mon seul vrai ami.

Tout en restant couché sur le flan, Maggie écarta sa queue et révéla sa région génital, mais aussi sa petite étoile brune sous sa queue. Bam baissa la tête et la dirigea vers les arrières de la louve consentante. Une fois le museau devant son entre-jambe, il ferma les yeux et prit une profonde respiration. Le musque de la louve était si intense qu'il faillit avoir un orgasme sur le cou. D'ailleurs, un petit peu plus de sa pointe sortait et un peu plus de pré-sperme s'égouttait, faisant apparaître une petite flaque sous lui.

-- Bon, dépêche toit de me lécher le pourtour avant que je ne change d'avis.

-- Oui, oui.

Suite à cela, il ouvrit la gueule et laissa sa langue pendre. Des gouttes de salives tombait sur la vulve de Maggie et la fit sursauter à chaque impactes. Puis il plaça sa langue au niveau de la cuisse droite de la louve et remonta doucement jusqu'à son périnée, il pouvait sentir Maggie contracter son sphincter, signe qu'elle ressentait du plaisir à ce qu'on lui administrait.

-- Je dois dire que c'est assez agréable, dit-elle.

Bam remonta et passa sa langue à quelques millimètres de la féminité de Maggie. Il voulais tellement passer la langue directement dessus, mais il voulait garder sa confiance et décida de suivre les instructions que la louve lui avait fournis. Ne voulant pas la mettre en colère, il arrêta sa léchouille juste avant de recouvrir son étoile de salive.

Une fois la léchouille terminé, il se retira et posta devant la louve. Il était heureux et cela pouvait se lire sur son visage gris.

-- Merci, Maggie.

-- Si ça t'a fait plaisir, c'est le plus important.

-- Tu es la meilleur amie.

Maggie baissa la tête de gratitude à son égard et puis la releva. La louve replaça sa queue comme avant, cachant sa féminité et son trou serré. Puis elle reposa la tête au sol et ferma les yeux.

-- Toi aussi, ton es mon meilleur ami.

Malgré ce que la louve lui avait laissé faire, sa libido n'avait pas diminué, pire, elle avait augmenté de façon exponentiel. Son entre-jambe à lui le faisait souffrir d'envie, ses testicules étaient plein et n'avaient jamais été vidé. Il fallait qu'il trouve un moyen de se soulager de toute cette tension. Il eu alors une idée, qui le rebuta certes, mais qui pouvais réduire la tension.

-- Maggie, est-ce que tu peux me lécher l'intérieur du fourreau ?

Maggie leva très soudainement la tête et ouvrit les yeux de surprise sous cette demande pour la moins exotique. Elle tourna lentement le museau vers lui et le vit effarouché, comme si ce qu'il avait prononcé ne venait pas de lui.

-- Heu, l'intérieur du fourreau ?

Bam était mort de honte, mais il était désespéré, c'était sa toute dernière chance de pourvoir se soulager. L'odeur que Maggie produisait le rendait fou, il n'en pouvait plus, c'en était trop pour lui. Alors il fixa fermement Maggie dans les yeux et lui expliqua.

-- Je n'en peu plus, ton odeur me rend dingue, j'ai besoin de quelque chose pour me soulager. Je t'en supplie, aide-moi. Je ferai vraiment tout ce que tu voudras.

Puis il partit à l'autre bout de la cage et se roula en boule. Maggie se leva et le rejoignit, elle semblait comprendre ce que Bam ressentait. Depuis toujours elle avait réussis à surmonter la brûlure que ses chaleurs lui donnait et avait réussi à ne plus les ressentir. Mais pour Bam ce n'était pas le cas, d'habitude pour éviter ce genre de situation, il s'isolait loin des femelles et attendait que leur période strale se clôture. Là ce n'était pas le cas, il était difficile pour lui de s'isoler à trois mètres d'une louve en chaleur.

-- Je suis consciente que tu ne puisses pas supporter ma présence. Pour ce que tu m'as demandé, je veux bien le faire. Mais promet moi de n'en parler à personne.

-- Oui, je te le promet ! se réjouit-il.

-- Allez, présente moi ton fourreau.

Bam se leva et fit une léchouille d'affection sur les babines de Maggie. Il était heureux, mais anxieux lui aussi, il n'avait jamais envisagé une telle chose. Maggie se pressa au sol et rampa jusqu'à avoir le fourreau de Bam devant les yeux.

Maggie sortie sa langue baveuse et l'approcha de la pointe rose qui sortait de Bam. Elle commença à introduire sa langue en repoussant de force la pointe dans sa cachette. Bam gémissait de plaisir, jamais il n'avait ressentit une telle chose.

-- Tu peux la faire bouger à l'intérieur ? demanda-t-il.

-- C'est bien parce que c'est toi...

Maggie l'écouta et fit passer sa langue tout autour du pénis prisonnier. Elle massa et nettoya la gaine de Bam jusqu'à ce que ce dernier éjacule.

Le lendemain, les deux loups se réveillèrent de bonne heure et s'étirèrent de toute leur longueur au sol. Bam avait réussi à s'endormir en essayant de penser à autre chose que sa libido, et cela avait fonctionner. Mais alors que Maggie allait se mettre debout, un humain s'approcha de la cage. Cet humain était leur soigneur, il allait s'occuper de leur santé durant tout la duré de leur isolement. Il avait dans la mains droite une mallette noire et dans l'autre main, les clés de la cage pour qu'il puisse entrer. Il n'avait pas peur des deux loups, car il les connaissait depuis longtemps déjà et réciproquement.

Lorsque qu'il entra dans la cage, Bam et Maggie s'attendaient à ce qu'il les relâche, mais il en fut autrement. Étant en proie à une maladie, il serai idiot de les relâcher avant de les avoir guérit. Le soigneur posa la mallette au sol et l'ouvrit. Il y avait une boîte en carton, l'humain tira un morceau de plastique, qui s'avère être un gant. Il l'enfila sur sa main droite et se dirigea vers Bam. Mais ce dernier savait ce qu'allait faire son soigneur, car, ce n'était pas la première fois qu'il faisait ça. Le loup recula, mais les barreaux de la cage ne lui permirent pas d'aller plus loin. L'homme s'agenouilla au niveau de la croupe de Bam et lui leva la queue avec sa main non gantée, laissant Maggie voir son étoile à lui. « N'es pas peur, ce n'est pas la première fois et je ne t'ai jamais fait mal. » Bam ne comprenait pas ce que disait l'humain, mais essaya de se détendre, après tout c'est vrai, il ne lui avait jamais fait de mal.

-- Tu as une belle étoile, Bam, fit Maggie.

-- Profite-en parce que...

Bam ne put finir sa phrase, que son soigneur avait placé son majeur et son index sur son plis très serré. Lâchant sa queue, il utilisa sa main libre pour lui caresser le dos et ainsi le déstresser. Une fois bien positionné, le soigneur fit bouger ses deux doigts en cercle en appuyant rigoureusement fort. Puis sentant que son sphincter était détendu, il plaça son index sur son étoile et fit entrer la première phalange. Cela fit sursauter Bam, qui tenta de mettre sa queue entre ses jambes. Le soigneur s'aperçut de ce mouvement et retira son doigt, croyant lui avoir fait mal. « Désolé, dit-il, je sais que ce n'est pas le meilleur moment de la semaine, mais je suis obligé de faire un prélèvement pour les analyses pathologique. » Par mesure de prudence, il lui souleva la queue et regarda son trou de queue attentivement, espérant ne pas voir de sang. Heureusement, il n'y eu aucune trace rouge et il replaça son index, faisant rentrer une nouvelle fois la première phalange. Bam se contorsionna et lécha la main du soigneur. L'humain fit bouger sa phalange et essaya de faire pénétrer la seconde phalange, cette fois cela se fit plus facilement. Enfin, la troisième phalange finit par entrer, il avait maintenant les onze centimètres de son index dans le derrière de Bam.

Le soigneur fit gigoter son doigt pour stimuler la muqueuse et récupérer un peu de la fine couche de matière fécale, cela fit s'accroupir le loup. Un fois le frottis terminé, le soigneur retira très lentement son doigt jusqu'à la seconde phalange, voulant que ce soit Bam qui le rejette en poussant ; cela permis de faire se refermer l'anus naturellement et ne pas le laisser dilaté avec le diamètre du doigt.

Le doigt était, par endroit, recouvert de tâches brunes. Le soigneur pris avec sa main non ganté, un tube à essai avec un coton-tige de la mallette et avec le coton-tige, récupéra les résidus digéré et mis la tige dans le tube qu'il referma avec un bouchon rouge et le mis dans la mallette.

Le soigneur jeta son gant dans un compartiment déchet, de la mallette et en prit un autre qu'il enfila sur la même main. C'était au tour de Maggie. Bam quant à lui se coucha sur le flan et se lécha le trou de queue. Durant tout l'opération, il n'avait pas reçu une once de plaisir, le doigt n'avait pas atteint sa prostate. L'opération l'avait sortit de sa libido et sa pointe rouge ne se voyait plus.

Maggie de son côté voyait en elle monter un petit stresse dû à la situation. Elle regarda le gant avec un peu d'appréhension, mais contrairement à Bam, elle ne bougea pas et laissa l'humain s'agenouiller auprès d'elle. Il savait qu'elle était en chaleurs, voyant sa vulve dégoulinante de sang et de ses fluides, il prit un mouchoir dans sa mallette et le tapota doucement sur la féminité noire de Maggie. Cette dernière détestait que quelqu'un lui touche cette zone, mais le soigneur était une exception. En un rien de temps, la partie du mouchoir exposé sur la vulve était complètement mouillée et recouverte d'un peu de sang. « Depuis le temps que je te connais, je ne sais toujours pas pourquoi tu ne fais pas la toilette de tes parties intimes, pourtant il faut que tu le fasses, tu risques une infection. » Maggie ne comprenait pas le langage des humains, mais elle savait que d'un manière ou d'une autre, le soigneur parlait de sa zone sacrée.

L'humain jeta le mouchoir à côté de la mallette et commença l'opération. Il saisit la queue de Maggie et posa les deux doigts sur son trou de queue. Sauf que cette fois-ci, la louve s'accroupit directement au contact des doigts. Le soigneur lâcha sa queue et pu constater qu'elle se courbait vers le haut. Il su que la louve s'apprêtait à faire la grosse commission, alors il posta sa main ganter sous l'anus de la louve et se prépara à recueillir ses fèces. Maggie ne pu se retenir et relâcha son sphincter, faisant tomber une boulette dans la main du soigneur. « Je t'ai tant stimulé que ça ? demanda-t-il. » Il savait qu'il n'aurai pas de réponse, mais il était tout de même surpris. Au moins il n'aurai pas à aller farfouiller. Il sortit un second coton-tige de la mallette et le frotta sur la boulette, puis une fois récolté, il jeta la boulette à l'extérieur de la cage. Le soigneur s'en alla vers la mallette et ouvrit un autre tube à essai dans lequel il mit le coton-tige souillé, puis le reboucha. Pour finir il enleva son gant, et avec l'autre, le mit dans un sachet plastique, de même que pour le mouchoir.

Une fois le soigneur partit, les deux loups se regardèrent, heureux que les prélèvement soient terminés. Maggie se dirigea vers Bam et s'allongea à côté de lui. Mais en se déplacent, son musque emplit de nouveau l'air et fit tressaillir Bam. Sa point rouge recommença à sortir de son fourreau et du pré-sperme s'écoula de l'ouverture. La libido de Bam reprit vigueur et il ne tarda pas à redevenir excité, ce que Maggie remarqua.

-- Bon, écoute. Je te propose un marché ; je te laisse me nouer sous la queue, en échange, tu me donneras la moitié de la viande que les soigneurs nous apportent.

-- Sous la queue, le trou de queue ? Ça va te faire mal.

-- Ne t'inquiète pas et monte moi si tu es d'accord.

Bam monta alors Maggie sans hésitation et enserra fermement ses hanches avec ses pattes avant. La louve écarta les pattes arrières et leva la queue tant bien que mal avec la présence du mâle. Une fois que Bam aligna son fourreau avec l'anus de la louve, il le plaqua contre l'anneau de chair et commença de longs coups de reins bien placés. Maggie gémissait à chaque fois que la pointe rougeoyante venait piquer son anus. « Ralentis ! Je t'en pris, dit-elle dans la douleur. » Bam ralentit sa dance effrénée et posa sa tête sur le garrot de la louve.

À force de donner des coups de reins, il ne fallut pas longtemps avant que son pénis grossisse et que le nud l'enferme dans le rectum de la louve. Et à force de stimulations dû aux spasmes anaux de Maggie, Bam hurla de bonheur et jouit dans le tunnel serré de la louve tout ce que contenait ses testicules ainsi que tout ce que pouvait produire sa prostate d'un seul coup. Un peu de jus était arrivé à sortir malgré l'obstruction du nud et venait ruisseler sur le périnée de Maggie.

À suivre...