Rin and Seri, (plus qu') inseparable

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Rin et Seri, l'inséparable duo, profitent d'un matin radieux

J'ai écrit cette rapide histoire après avoir monté un deck commander basé sur Rin et Seri, Inséprables. J'ai trouvé ce duo beaucoup trop mignon pour ne pas en faire un truc sale.


C'était un matin comme n'importe quel matin dans la vallée. Rin fut le premier à se réveiller, réchauffé par la lumière du soleil filtrant depuisl'entrée de la grotte. Seri dormait toujours entre ses pattes, contre son ventre, alors il a choisi d'attendre. Il n'y avait rien depressé. Ils avaientchassé une grosse proie la nuit précédente et une bonne part de la carcasse était encore comestible, donc la faim ne serait pas un problème avant un jour ou deux. Non, il n'y avait rien à faire de plus important ce matin-là que de se détendre en regardant les nombreuses créatures vaquer àleurs activités.

Seri se tortilla dans son sommeil, vivant probablement un rêve agréablepuisqu'elle ronronnait et riait au hasard. Rin la laissa faire, mais plus elle s'agitait contre une certaine partie de son anatomie, plus Rin sentit un besoin monter dans son fourreau. Il lui lécha la tête avec amour, pour la réveiller. Cela la fit ronronner plus fort, car elle adorait être toiletée. Après la tête, Rin lécha plus bas, son menton, puis son cou, et encore plus bas, la roulant sur le dos pour lécher sa poitrine, son ventre, puis ses tétines. Il adorait lui lécher les mamelles. Les lécher, les pincer, les grignoter, les téter, les baigner pour la faire ronronner si fort que cela passaitpour de la musique à ses oreilles. Après un temps consacré à cette attention, il est descenditplus bas, vers l'attraction principale de ce petitjeu. Ici, nichée entre ses pattes,à peine cachée par la longue fourrure, reposait le curde son désir. Elle était déjà trempée, et il ne put s'empêcher de poser son nez sur ces pulpeuseslèvres, reniflant profondément, se noyant dans son odeur intime. Et quel parfum ! Le parfum de son excitation était une ambroisie enivrante pour son nez, et un chemin directementcâblé dans son cerveau pour durcir sa virilité.

Lassée par les préliminaires, Seri se retourna sur le ventre et prit la pose typique d'accouplement que Rin trouvait si érotique. Le principal évènement était pour maintenant. Il lachevaucha, visant un peu haut, la pointe de son pénis caressant son anus, avant de la pénétrer doucement, tendrement, jusqu'à ce que son nud touche son sphincter. Ils avaient déjà essayé une pénétration vaginal auparavant, mais il était bien trop gros pour elle. Seri était grande pour un chat - très grande en fait, elle devait avoir du sang de caracal dans sa lignée - mais elle était quand même bien trop serréepour accueillircette énorme verge. Et énorme il était. Il avait même du mal à rentrer dans le vagind'une chasseresse léonine qu'ils croisent souvent, alors qu'elle était beaucoup plus grande que lui. Les vagins des félidéesétaient comme ça : petits. Aussi petits que le sont les mâles félins, en fait. La pénétration anale était plus faisable, après quelques dilatations et entraînements. Seri en raffolait. Sa taille l'étirait tellement qu'ellese sentait remplie. Il commença àlimer lentement, avec de longs va-etvientcalmes, de toute sa longueur, de la pointe au nud. Seri aimait cetteattention bienveillante, et sentait venir un orgasme très rapide, amplifié à chaque fois que le nud de Rin frappait leslèvres de sa vulve. Au fur et à mesure que le plaisir augmentait, Rin accéléra,fit des coups plus rapides et plus courts, son nud frappant les lèvres de Seri, stimulant son clitoris, avec plus de force. Le ronronnement qu'elle faisait se changea en gémissements, puis en miaulements. Sanscrier gare, Serijouit. Durement. Son vaginspammait désespérément sur rien, alors que ses sphincters anaux se resserraient sur la grand vergede son amant. Cela fit que Rin atteignit sa limite et la fourra complètement, avectout ce qu'il avait, nud inclus. La soudaine intrusion et sensation d'étirement fit de nouveau jouir Seri, beaucoup plus intensément, presque jusqu'au point de l'évanouissement. Profitant de sa propre libération, Rin s'effondraà côté de Seri, haletant, complètement vidé. Seri elle-même se prélassa dans la sensation constante de semence chaude jaillissant profondément dans ses intestins. Lenud pulsantappuyait sur son point G à travers la fine barrière de son côlon, prolongeant son plateau. Ils restèrentdans cette positionjusqu'à ce que le nud de Rin se dégonfle.

Ils s'aimaient mais, pour l'instant, ils étaientinséparables. Littéralement.