Le garçon scato de la plage

Story by Otaks on SoFurry

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Un plan scatophile imaginaire comme j'aimerais en vivre...


Je l'avais repéré à la plage.

Des yeux bleus couleur de la mer, difficile de ne pas s'y noyer. Un regard froid de celui qui ne veut pas se laisser séduire, mais qui te happe en un regard sans possibilité de faire demi-tour. La peau doucement bronzée qui, de s'être trop baignée, luisait encore à la lueur chaude du soleil.

Ses premières rides lui faisaient un sourire particulièrement ravageur, si bien que j'en avais eu le souffle coupé. De ses mèches de cheveux brunes gouttait l'eau de la mer dont j'aurais rêvé pouvoir me désaltéré.

Il avait de larges épaules, ses pectoraux formidablement dessinés, sans être trop gros laissaient pointer deux magnifiques tétons d'un rosé foncé par son bronzage doré. Et puis il y avait ces tablettes de chocolat délicieusement dessinées sur lesquelles je salivais à l'idée de pouvoir peut-être un jour les lécher. Et dessous son petit nombril si ravissant, il y avait ce fameux V sur lequel on fantasme tous. Un V puissant, viril qui plongeait bec le premier vers ce short jaune aux nombres de plies impressionnants, qui laissaient ainsi deviner que se dissimulait dessous un objet de désir imposant. Short jaune qui descendait jusqu'aux genoux qu'il ne couvrait pas,eux aussi étaient la preuve que cet homme musclé travaillait régulièrement à la perfection de son corps d'athlète. Et puis il y avait enfin ces petites fesses bétonnés, si rondes et visiblement très fermes que leurs muscles laissaient aller et venir par à coups virils et secs, au gré des mouvements de ses pas.

Comme je l'avais maté sans discrétion aucune, mon corps m'avait mis en alerte par une érection douloureuse de faire plus attention. Alors je m'étais allongé sur le ventre, mais trop tard. Il m'avait déjà repéré, et j'entendais ses pas lourds dans le sable qui se dirigeaient vers moi.

Sur ma serviette je le vis qui s'allonger à côté de moi.

« Rejoins-moi dans la cabine numéro 26 » lança-t-il d'une merveilleuse voix grave.

Je fus impressionné par l'énorme pomme d'Adam qui s'était accroché à son cou. J'aurais voulu la dévorer.

Je le vis repartir, m'offrant une fois de plus le spectacle de ses fesses gourmandes et de son dos si joliment fabriqué.

Je m'assis en regardant les vagues de la mer aller et venir au rythme de mes hésitations. Devais-je y aller ? Devais-je ne pas m'y rendre ? Qu'allais-je trouver là-bas ? Allions nous faire l'amour ? Voulait-il seulement discuter ? Je n'en avais guère la moindre idée.

Je n'étais pas à l'aise avec tout ça. Je n'étais pas du genre de ceux qui suivent le premier inconnu venu pour se faire sauter. Mais j'en avais marre de louper les bonnes occasions et de faire partie de ceux qui ne savaient pas s'éclater. Ce garçon me plaisait beaucoup et mon interminable érection ne viendrait sûrement pas me contredire sur ce point.

Après avoir enfilé un short beige, je décidai finalement de m'y rendre.

Je toquai trois fois. Pas de réponse. Je recommençai.

« Tu peux rentrer, sois discret ».

Je m'exécutai en silence. Je le découvrit alors abaissé. Il se releva précipitamment. Il était complètement nu, son short jaune sur les chevilles. Je m'empressai alors de fermer la porte derrière moi. Alors je ne pus m'empêcher de le regarder de la tête aux pieds, des pieds à la tête, en passant par son énorme engin. Il était à demi-molle et non décalotté, sans doute faisait-il dix huit centimètre. En pleine érection il devait donc sûrement dépasser les 20.

Sans une seconde de répit il m'attrapa par la taille et me fourra sa langue dans la bouche. Je me cambrai en arrière pour lui offrir ma gorge pleine dans laquelle son organe s'insinua avec beaucoup d'adresse. Ses mains passèrent dans mon dos torse nu et vinrent finalement empoigner mes fesses avec forces. Le souffle coupé et gagné par une excitation que je ne me connaissais pas, je le plaquai alors contre le mur de la cabine qui vacilla légèrement. L'endroit était fragile. Alors je m'éloignai de son visage et vînt coller mes lèvres et ma langue sur son cou puissant que je m'empressai d'embrasser à profusion. J'aspirai. Il leva le menton et se mit à gémir. Caressant ma raie du cul de ses doigts fermes il me fit perdre pied. Alors je m'empressai de laisser ma langue parcourir sa gorge et je vins me saisir de son adorable pomme d'Adam pour me mettre doucement à la sucer, comme s'il s'agissait de son gland.

Surpris il dégagea une de ses mains et utilisa l'autre pour me coller à lui en n'oubliant pas de continuer à me chauffer la raie. De sa main libre, il vînt me saisir le haut du crâne et ramena ma tête de force sur sa paume que je continuai de sucer. Il me supplia de ne pas m'arrêter.

Malheureusement pour lui, bien que j'avais trouvé sa pomme très sexy ce n'était pas la partie de son anatomie qui m'avait le plus intéressé. Alors je revîns embrasser ses douces lèvres avant de m'abaisser. Je passai ma langue entre les muscles de son torses pour revenir, par surprise, attraper un de ses tétons légèrement entre mes dents et me mettre à le lécher puis à le téter comme un biberon.

Alors il passa ses deux mains sous mon short et vint doucement me titiller l'anus de ses deux majeurs ainsi que ses deux index. Je les sentais me caresser doucement, aller et venir. Je sentais ses autres doigts m'écarter les fesses. Tandis que je le biberonnai, je ne pus m'empêchait de gémir.

Je sentis doucement son pénis grandir et se durcir pour venir frapper doucement contre le mien, toujours enfermé sous mes maigres vêtements. Au contact du sien, mon chibre s'excita à son tour et se poussa vers la sortie. Doucement, son merveilleux gland rosé pointa le bout de son pubis.

Je m'empressai alors de descendre baiser son nombril et d'attraper solidement sa grotte bite pour me mettre doucement à la masturber. En même temps, je m'amusais à donner quelques coups de langues à l'intérieur de son séduisant nombril.

  • Suce moi ! me supplia-t-il.

Sans attendre, j'obéis et j'enfournais son gland dans ma bouche gourmande. Il était chaud et remplissait une bonne partie de ma gorge. Je commençai quelques légers mouvements de va et vient tout en tournant ma langue autour de son gland et de son pubis. Il déposa alors solidement ses deux mains sur ma tête et enfonça son pénis tout au fond de ma gorge. Son gland vînt rencontrer mes amygdales. Il me baisai la gueule.

  • Putain c'est trop bon, t'es une sacrée salope !

Il avait levé la tête vers le plafond de notre étroite cabine de plaisir et s'était mis à donner des coups de reins de plus en plus abruptes et puissants. Ses couilles pleines venait s'abattre sur mon menton. Je sentais la salive qui montais dans ma bouche et qui viendrait rapidement me noyer du plaisir d'avoir la gorge pourfendu par ce délicieux serpent de plaisir. Bientôt j'étouffai, je manquais d'air et n'allai pas tarder à vomir. Alors il ralentit le rythme de ses coups de reins qui se firent beaucoup plus petit comme pour me soulager et sortit finalement sa bite de ma bouche. Je recrachais tout un flot de salive sur son short jaune. Je pouvais enfin respirer.

Je posais ma main droite sur sa hanche et j'attrapai son chibre de la main gauche. Je le masturbais tout en léchant généreusement son gland. Alors je portai ma bouche sur le côté de son gros engin que je me mis à embrasser et à lécher à de multiples reprises. J'attrapai finalement sa bite entre mes dents, doucement, et commençai un léger mouvement de va et vient. Il gémi de bonheur.

Alors je posai mon autre main sur son autre hanche et je laissai de nouveau son gland reposer sur ma langue. À l'abri de ma gorge chaude, ce délicieux pénis doucement sucrée et légèrement acide de sueur se durcit encore et se gonfla. Je décidai de ne faire que le lécher, comprenant que si je continuais, le garçon au short jaune exploserai bientôt dans ma bouche. Et je ne voulais pas que ça se termine déjà. Alors je vins gober ses couilles et les lécher.

  • Tu veux me lécher le cul ? me proposa-t-il entre deux râles de plaisir.

Je ne su que lui répondre puisque je n'avais jamais fais ça auparavant, mais l'idée de me retrouver aussi proche de ses deux magnifiques fesses qui n'appartiendraient plus qu'à moi m'excita drôlement alors j'acceptai, ravi.

Le garçon au short jaune se retourna. Elles étaient là. Si musclées, si magnifiques. Rondes, petites musclées. Si fermes, si généreuses. Elles n'attendaient que moi. Le garçon vint doucement porter six doigts sur ses fesses qu'il écarta tout doucement. Entre quelques poils bruns et fins je découvrit alors son bel anus rosé tout serré. Alors je sentis l'eau me monter à la bouche, ce qui me surpris d'abord, finalement je m'y fit très bien et sortit mon pénis pour le masturber alors que ma langue était inlassablement attiré vers le trou du cul de mon plan sexe.

Son anus sur ma langue me fit un effet buf. C'était doux et humide. C'était chaud, c'était ferme. Le bougre gémit et vint me saisir le haut du crâne d'une de ses puissantes mains pour me plonger le visage entre ses fesses. J'attrapai alors son anus dans la bouche et m'amusa de ma langue, comme si je lui roulais une bonne pelle bien crasseuse et baveuse. Le garçon au short jaune vint alors plaquer son cul sur moi et il recula brutalement. Si bien que je faillis tomber en arrière mais mon crâne vint percuter la porte de notre cabine. J'étais coincé entre la porte et ses fesses dans lesquels j'étais plongé. Je ne pouvais plus bouger que les bras, alors j'attrapai ses poignets de mes mains.

Le garçon se pencha en avant et me poussa encore en arrière. Il s'installa, assis sur ma bouche.

Il péta.

L'odeur me monta dans les narines et vint irriter le fond de ma gorge. Je fut d'abord écuré, du moins je crus que je le serai, car cela aurait dû l'être, je réalisai rapidement que ce ne fut pas le cas. Je ne savais pas encore s'il l'avait fait exprès ou pas. Si ce n'était pas le cas, je considérai déjà que ce n'était pas bien grave, si c'était fais exprès, ne restai plus qu'à l'en remercier. S'il ne l'avait pas fait exprès, c'était peut-être faute d'excitation, dure de lui en vouloir malgré la situation délicate. S'il l'avait fais exprès, ça se révéla être une bonne idée.

J'aimais l'odeur qui m'envahis, alors j'ouvris grand la bouche et laissai pendre ma langue qui vint titiller son anus comme pour tenter de l'ouvrir toujours plus, et j'espérai alors qu'il comprenne que j'attendais qu'il recommence. Une fois de plus il se lâcha. Je humais d'abord son pet de tout mon nez que j'avais plongé dans son trou, et comme il en lâcha un troisième je m'empressai d'enrouler ma bouche autour de son trou et me mis à aspirer pour récupérer un maximum de son prout au fond de ma gorge. Pendant ce temps, ma langue devînt folle et restait accrochée à son anus sur lequel elle se dandinait comme un serpent qu'on tentait de chasser. Mais c'est parce qu'elle était heureuse, comme la queue d'un chien qu'il remuerait pour exprimer sa joie.

  • Oh toi t'as faim ! cru-t-il remarquer.

Je n'avais pas compris ce qu'il avait voulu dire, moins encore lorsque je l'avais vu écarter ses fesses de ma bouche et rester assis dans le vide, à quelques centimètres de ma bouche restée ouverte. Mais lorsque je vis son anus s'ouvrir comme une fleur, je compris. C'était si beau à voir, l'anus qui s'ouvrait était magnifique, sexy, viril, puissant. J'avais envie de lui, de le toucher, de le lécher, de le bouffer. De l'avoir en moi. Alors une masse marronâtre apparue doucement à la sortie de son cul.

Il allait me chier dessus.

L'odeur de sa crotte vînt gagner mes narines. Je me surpris à apprécier. La crotte s'allongea et vint pendre entre ses fesses , à quelques petits centimètres de ma bouche ouverte. Elle était si belle, si majestueuse, si bien formée. Forme cylindrique appétissante. J'y portai timidement mes lèvres pour l'effleurer avant de me lécher les babines. C'était amère et ça fondait en bouche, sous l'effet de la salive. Je m'efforçai d'avaler. J'eus un haut le cur mais je n'étais pas pourtant dégoûter et écurer et j'avais même envie d'en avoir plus. J'avais beaucoup apprécié le goût tiède qui m'était resté dans la bouche, il fallait que je vérifie.

  • Dépêche, la laisse pas tomber. me fit-il sous le ton d'un ordre.

Alors j'avançai ma bouche jusqu'à sa crotte que je glissai au fond de ma gorge, hésitant, je fini par claquer des dents pour en prendre un bon morceau. Je fermai les yeux, je mâchai doucement. Je crus vomir à plusieurs reprises, mais ça ne vint pas. Plus la merde restait dans ma bouche et plus je l'appréciais. Alors j'avalai. J'avalais pour retrouver ce goût si plaisant que j'avais adorais la première fois, ce goût tiède et doucement amère qui reste longtemps dans la bouche.

Tout avalé, j'ouvris de nouveau les yeux pour découvrir que sa merde filais encore de son cul. Je l'attrapais dans ma bouche et vînt me coller à son cul. Je croquer encore. Je laissais la crotte fondre dans ma bouche, car c'était fort agréables et je profitai bien plus du goût, sans haut le cur à présent, tendit qu'une nouvelle crotte glissai sur mon nez. Je m'empressai d'avaler pour la prendre à mon tour et la manger avec joie.

Comme je le sentis qui poussait encore je laissai ma bouche au contact de son cul, pour que la prochaine fournée me tombe directement dans la bouche. On gémit tout deux d'un bonheur harmonieux.

C'était pour moi un moment de partage unique. Il était en train de chier pour moi et je dévorai sa merde avec passion. Il m'offrait une partie de lui, quelque chose que son corps avait produit et il me le confiait pour m'en nourrir. J'étais en train de me nourrir de lui. Assis sous ses fesses j'avais l'impression de totalement lui appartenir, d'être à lui. Et comme je dévorais sa merde, une part de lui, j'avais l'impression qu'il m'appartenait ; Nous étions l'un à l'autre, dans un moment de partage précieux et unique.

Comme il avait fini de chié, je m'étais plongé le nez dans son cul pour me mettre à lécher et aspirer tout le tour de son anus et ses poils salis par les crottes pour m'assurer de tout nettoyer et n'en rien laisser. Il poussa un énorme râle de plaisir, comme s'il avais jouit. Je fut rassurer de vite comprendre que ce ne fut pas le cas. A moins qu'il ne s'agisse d'un orgasme anal.

Son cul propre, je m'éloignais. Il se retourna et se pencha sur moi pour me lever le menton de sa main et m'embrasser. J'avais encore tout le goût de sa merde mêler à sa salive et je sentais encore des bouts de crottes sur mes dents mais ça ne l'arrêta pas, bien au contraire. Il s'en délecta et me nettoya jus qu'aux amygdales .

  • Tu dois avoir soif maintenant. Se demanda-t-il en se saisissant de son solide pénis des deux mains.

Cette fois, je compris de suite ce qu'il voulait. Alors, après ce que j'avais déjà vécu, je n'hésitai pas une seconde et j'ouvris, une fois de plus, grand la bouche.

Sa pisse chaude et jaunâtre tomba doucement sur mon torse pour venir ruisseler jusqu'au sol. Il remonta son pénis pour venir viser mon cou et mon menton, puis finalement ma bouche.

L'odeur de la pisse chaude et amère gagna rapidement la cabine, ce pour mon plus grand plaisir. Je n'avais jamais été écuré par les odeurs de vieilles pisses qu'on pouvait parfois sentir dans les rues, même quand elles étaient très prononcées. Je les avais même toujours trouvé plutôt agréables, viriles. Et je dois reconnaître que d'imaginer un type sortir son chibre de son jean, écarter légèrement les jambes, attraper son engin et pisser sur le coin d'un mur m'avais toujours excité. Mais je ne m'étais pas imaginer que de me faire pisser dessus me plairait autant et me ferait tant de bien.

Au moment même où la pisse chaude de mon partenaire avait commencé à s'abattre sur moi j'étais devenu fou de plaisir et m'étais mis à me branler à très vive allure. Pour ne pas éjaculer trop rapidement j'avais été obligé de me reprendre et de m'arrêter.

Sa pisse chaude était très bonne, finalement plus acide qu'amère, on pouvait même sentir une petite pointe de sucré fort agréable. Et de la même manière que pour la merde, le plus agréable était le goût qui restait longtemps dans la bouche après avoir avaler.

Comme il ne me laissait que peu de répits, beaucoup de pisse de mon partenaire ressortait de ma bouche quand elle était pleine, avant que j'avale. Et comme j'adorais ça, je la laissais se remplir à ras bord avant d'avaler.

Finalement, je décidai d'attraper sa bite d'une main et d'enfourner son gland dans ma bouche et je me mis à boire directement à la source, comme s'il s'agissait d'un bon gros et magnifique biberon. J'avalais ainsi goulûment la pisse à mesure qu'elle sortait de ma tétine. Mon partenaire eut un nouveau râle de plaisir.

  • T'es une sacrée bonne chienne ! s'exclama-t-il, le souffle coupé.

J'avalai ses dernières gouttes. Il se libéra de ma bouche et repris son souffle, il me fit me relever et attrapa nos deux bites d'une seule main pour les masturber au même rythme. Je l'enlaçai. Il se pencha sur moi pour m'embrasser.

Son autre main passa sous mon short et il enfonça son majeur dans mon cul. Je gémis de douleur, mais elle fit vite place à un plaisir incommensurable ; Son doigt allait et venait en moi au même rythme où il nous masturbait tous les jours, pendant ce même temps il m'embrassais sans s'arrêter et profitais de mon haleine au goût de pisse et de merde.

Il allait de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je sentais mon cul s'humidifier et s'ouvrir lentement, ma respiration était haletante, la sueur perlait de mon front et de mon torse et venait se mêler à la sienne. Tandis qu'il me nettoyait la gorge avec sa langue agile, il renifla plusieurs fois de son grand nez. Alors, comme il enfonçait un deuxième doigt en moi, je me mis à lui baiser le cou et la joue avant de venir embrasser et sucer son nez. J'aspirais lentement, je le suçait comme s'il s'agissait de son dur pénis. J'aspirais lentement. Il se moucha directement sur ma langue, j'avalais sans prêter plus d'attention au goût, juste heureux d'être tout à lui.

C'est alors qu'il baissa mon short complètement. Il me retourna de force et me fit me pencher en avant, puis il me plaqua contre la porte. Je le sentis poser ses mains sur mes fesses qu'il massa avec vigueur avant d'enfoncer son visage entre elles. Il lécha mon anus et cracha dessus à plusieurs reprises avant de se remettre à le doigter à trois doigts. Et comme il les enfonçait et les ressortait, chaque fois qu'ils étaient dehors, il crachait su ses doigts pour les humidifier encore plus et m'élargir le trou en le lubrifiant.

Je ne pouvais cacher mon plaisir, entre mes râles, mes gémissements, ma respiration de plus en plus haletante et la façon que j'avais de lui tendre mon cul pour lui offrir pleinement, il ne pouvait que comprendre comme j'étais heureux du moment que nous partagions.

Il se releva et frotta sa bite gonflée entre mes fesses, je sentis alors son gland contre mon anus, ce qui ne manqua pas de me faire glousser. Je tendis mon cul une fois de plus. Sans perdre de temps, il entra en moi, j'étouffai un cri. Mon anus serré se referma sur lui. Chaque passage doux de sa bite essayait de le rouvrir, mais mon cul résistait à ses attaques. Ses coups de reins étaient secs et violent. Petit à petit, l'accès se simplifia et il accéléra à mesure du possible. Comme une brute, il me péta le cul. Je sentais sa bite aller et venir, monter en moi. Elle atteignait des endroits de moi-même que je ne connaissais même pas, mais à chaque fois que la tête de son gland venait frapper ce qu'elle frappait, j'étais au bord de l'orgasme. Je sentais ses couilles qui frappait mes fesses, il les tenait solidement, m'écartait les jambes pour une meilleure prise et toujours améliorer ses coups de burins rapides et violent. Mon anus rougissait de plaisir, je n'avais plus aucun souffle.

Lui-même était aux anges. Il en hurlerait presque. Il était bien dans mon cul et ça se sentait.

Je crus comprendre que sa bite se gonflait en moi à répétition, il était au bord de l'éruption. Il sorti son engin avant de me forcer à me retourner. Sans attendre, je me baissai.

Il m'obligea à gober sa bite que je m'empressai de coincer dans ma gorge. Il repris ses coups de reins au même rythme que dans mon cul. Ma salive déborda de ma bouche, je n'avais plus aucun souffle, je sentis le gland toucher ma glotte. J'étais sur le point de vomir, il ne s'arrêta pas. Il avait plaquer ma gueule de salope contre son engin et il continuai de me pourfendre la gorge. Finalement je gerbai sur son pénis, ce qui ne l'arrêta pas. Moi non plus.

Il ralentit quelques instants pour me laisser reprendre mon souffle et cracher ma salive ainsi que les restes de vomis. J'avalai ce qu'il restait sur sa queue. Sans trop de profondeur dans les coups, il repris un rythme rapide. Il gémit de plus en plus et se mit à trembler légèrement, je le vis qui levai la tête au ciel.

  • Ça vient ! Je vais gicler. m'annonça-t-il. Je reçu alors quatre puissants jets de sperme épais et amère. Les deux premiers vinrent directement se plonger au fond de ma gorge, les deux autres restèrent dans ma bouche, j'en profitais un moment avant de les avaler. Je continuai de pomper sa bite pour m'assurer de ne pas en louper une goutte. Pour finir, il se masturba au-dessus de ma gueule ouverte pour me faire profiter des derniers filets de ce jus si précieux et si délicieux. J'en reçu sur l'arête du nez ainsi que sur la joue ; Il glissa sur moi.

Mon partenaire en récupéra le maximum sur ses doigts et les enfonça dans ma bouche. Je les suçai.

J'allai me relever mais il m'ordonna d'attendre. Il se masturbai encore. Finalement un nouveau jet de pisse vînt s'abattre dans mes cheveux et sur ma gueule. Je le suivis pour toujours rester en dessous et me faire doucher d'un maximum de sa bonne pisse. Je me léchai les babine à mesure que le liquide jaune s'abattait sur moi. Je me léchai également le torse pour en récupérer un maximum des filets qui étaient venus se mêler à ma sueur.

Il me fit me relever et se mit à me lécher et m'embrasser partout sur le visage. Finalement, il s'abaissa pour attraper ma queue qu'il branla sous sa queue pendu. Dans un puissant cri orgasmique je fini par lâcher mon foutre bien chaud sur sa langue et dans sa bouche. Il se releva et me sourit. Une dernière fois il m'embrassa, il avait en fait garder tout mon sperme dans sa bouche qu'il m'offrit en me roulant une pelle mémorable. Il se dégagea un moment pour me cracher un gros mollard dans lequel se mêlaient sperme et salive dans la gorge et me laissa tout avaler.

Alors il se renfila son beau short jaune. Je me rhabillai aussi. Je le vis alors se pencher sur un sachet qu'il y avait derrière lui. Il en sorti une bouteille remplie de quelque chose qui ressemblait à du coca.

  • Tiens je te l'offre, c'est un peu de coca mélanger à beaucoup de pisse. Ma pisse. Pour que tu puisses en boire sans que personne le saches. Visiblement tu kiffes ça alors, ça sera un beau moyen de te souvenir de moi quelques jours.

Il me tendit la bouteille. J'hésitai un moment. Mais finalement je la pris.

Il me fit me décaler et ouvrit la porte de la cabine. Il s'éloigna en me faisant signe de dos.

  • Les douches sont juste derrière, t'en as besoin je crois. me cria-t-il .

Je resterait dix bonnes minutes sans bouger dans la cabine, buvant quelques gorgée de coca à la pisse. Finalement j'allais me doucher et reprendre le court normal de ma vie.

Quelques semaines plus tard, je m'organiserai un nouveau plan cul scatophile pour tenter de me souvenir de mon formidable garçon au short jaune.